Glaive Epee

du Vénérable Maître : Le plateau du Vénérable Maître sur l’estrade est décoré de la manière suivante : • Un flambeau à sept branches (trois lumières sont nécessaires pour le premier degré) du côté Nord. • Un maillet. • Une épée flamboyante orientée la pointe au Nord. • Au pied du plateau au centre de l’estrade : la patente de la Loge. Décors des plateaux des Officiers : • Un chandelier à une branche à l’angle le plus proche du Naos pour le plateau des Premier

coup sur les paupières et les a recouvertes d’un voile tiède et épais. Mes yeux étaient aveuglés derrière ce rideau de larmes et de sel. Je ne sentais plus que les cymbales du soleil sur mon front et, indistinctement, le glaive éclatant jaillit du couteau en face de moi. Cette épée brûlante rongeait les cils et fouillait mes yeux douloureux. C’est alors que tout a vacillé. La mer a charrié un souffle épais et ardent. Il m’a semblé que le ciel s’ouvrait sur toute son étendue pour laisser pleuvoir du

d’hommes d’âge moyen, et les triarii , des plus âgés. Pour ces trois groupes, chacun constitué de 10 turmes et de 30 cavaliers, l’équipement est le même, soit un casque et une cuirasse. Ils sont aussi tous armés d’une épée de combat, le glaive, et d’un bouclier. La seule différence se retrouve en ce qui concerne le pilum, soit le lourd javelot à pointe aigue, puisque seuls les hastati et les principes lancent celui-ci.

fois de plus moins pour lui-même que pour la source de lumière qu’il représente, ce qui donne lieu à cette formule curieuse : « le glaive éclatant jailli du couteau », c’est-à-dire une lame sortie d’une lame, ce qui témoigne de la confusion qui règne dans l’esprit de Meursault. Le glaive, au fur et à mesure que la douleur devient de plus en plus insoutenable, se fait « épée brûlante ». Le narrateur achève alors la description de son état physiologique : la chaleur commence littéralement à le dévorer

apparaissent. Avec les tercets se produit une nette évolution : les indices alarmants prennent le dessus. La position du jeune homme « les pieds dans les glaïeuls » est ambiguë : les glaïeuls sont étymologiquement de petits glaives (du latin « gladiolus » de « gladius » épée, glaive) et annoncent symboliquement les « les deux trous rouges » de la fin. Le pas est franchi au vers 10 avec l’expression « Souriant comme / Sourirait un enfant malade ». Pour la première fois, un indice ouvertement morbide est

front, utilisés également de cette façon contre Carthage. Les deux unités sont équipées de façon très similaire. Un casque en bronze, souvent munis de plumes est utilisée comme couvre-chefs, et les deux unités portent aussi une épée à leur taille, appelé gladis ou glaive. Un ou deux pila font aussi partie de leur équipement, soi-disant des javelots lourds. Aussi, les trois unités utilisent un large bouclier rectangulaire, appelé scuta. Cependant, la grande différence entre les deux est présente dans

oeuvre dont le fond est très brun représente au milieu, le Roi Salomon assis sur son trône, et faisant un geste au soldat. A sa droite se tiennent deux soldats, l’un en tenue de soldat et l’autre dénudé, tenant un glaive. Nous pouvons aussi voir un enfant, tenu par le soldat tenant le glaive et une femme. En contrebas du Roi se trouve un enfant mort dont le teint est déjà grisatre. À la gauche du Roi se tiennent deux hommes âgés, dans la pénombre, ainsi qu’une femme femme agenouillée, les mains sur

ils s'affrontent en septembre -31 lors de la bataille d'Actium. Après leur défaite, à cause d'une stratégie navale d'Agrippa, Cléopâtre et Antoine rentrent en Egypte. A la fausse annonce du suicide de Cléopâtre, Antoine se tue en se jetant sur son épée. Cléopâtre est conduite devant Octave, qui la laisse se retirer avec ses servantes. Elle se suicide peu de temps après. Introduction : Notre sujet étant : La représentation de la mort de Cléopâtre, nous allons analyser plusieurs œuvres traitant

pour la nuit, au milieu de son troupeau. Les héros furent glacés d'horreur.  Le souvenir de cet effroyable repas les empêcha de dormir.  Ils implorèrent avec désespoir l'aide de Zeus.  Quant à Ulysse, il se demandait s'il ne devrait pas tuer avec son épée le géant endormi.  Mais s'il le supprimait, qui déplacerait le rocher qui bouchait l'entrée de la caverne ? En réunissant toutes leurs forces ils n'y arriveraient pas. Le lendemain matin, le monstre ralluma le feu, et procéda à la traite des brebis

(lignes 2, 5, 6, 9, 11, 16, 22). Cela montre qu’il a une place prédominante dans l’extrait. Un Soleil néfaste et maléfique qui devient une arme cruelle avec les comparaisons comme «  longue lame étincelante » (l.12), les métaphores« glaive éclatant » (l.16) et «  épée brûlante » (l.17). L’accumulation des verbes et participes passés avec pour thème le Soleil tels que « giclé », « atteignait »,  « rongeait », « fouillait » et « jailli » traduit la violence du Soleil. Les courtes propositions juxtaposées