Givre

et jaune,On sort le pain,Quand, sous les poutres enfumées,Chantent les croûtes parfumées, Et les grillons,Que ce trou chaud souffle la vie, Ils ont leur âme si ravie Sous leurs haillons,Ils se ressentent si bien vivre, Les pauvres Jésus pleins de givre !- Qu'ils sont là, tous,Collant leurs petits museaux roses Au grillage, grognant des chosesEntre les trous,Mais bien bas, - comme une prière...Repliés vers cette lumièreDu ciel rouvert,- Si fort, qu'ils crèvent leur culotte,- Et que leur lange blanc

lorsqu' il introduit plusieurs répétitions du mot «pleurer ».Donc, il évoque un sentiment de tristesse dans ce poème. Dans ces vers il y a aussi du symbolisme car il se compare au froid. Cela explique le champ lexicale du froid (la neige, jardin de givre, gelé, février) .Cela explique la sensation du froid qui est dépriment. Donc, il a été profondément influencé par plusieurs poètes comme Octave Crémazie. Un autre poète canadien-français qui devient très populaire par ses œuvres. Crémazie est né

eaux du sol et le carbonate de calcium contenu dans le mur. Il était produit dans les provinces du Sichuan et du Gansu et était autrefois récolté dans les lieux humides tels que les caves ou les grottes. Les gens appelaient ce phénomène le « givre des murs ». Le salpêtre possède des propriétés très intéressantes : il active et entretient la combustion. Le charbon de bois est depuis la préhistoire un matériau très utilisé comme combustible. Sa fabrication remonte naturellement bien plus loin

Illustration du poème « L’amour » par Stanisław Ignacy Witkiewicz, L'amour   C’est parfois un serpent magicien, Lové près de ton cœur. C’est parfois un pigeon qui roucoule, Sur la fenêtre blanche.                 C’est parfois sous le givre qui brille La vision d’une fleur. Mais mène, en secret, à coup sur, Loin de la joie tranquille.                 Il sait pleurer si doucement Dans la prière du violon, Il fait peur quand on le devine Sur des lèvres que jamais on n’avait vues

d'hospitalité entre 2 personnages : une personne (le narrateur, le poète) et un pauvre très banale (vers 1 : " Un pauvre "). Comportement civique de Hugo (vers 3). Il reçoit le mendiant. La scène se passe en décembre, ce qui aggrave la détresse « le givre et le vent », « le vieillard grelotait de froid » . En arrière plan du décor : " paysans accroupis sur leurs bâts ", " âne " " marché " ; scènes simples représentant la réalité quotidienne La transformation du réel a. Une comparaison"Semblait un

pauvreté de leur habillement, la comparaison implicite avec des petits animaux sans défense ("Ils sont blottis" ; "leurs culs en rond" ; "collant leurs petits museaux roses" ; "grognant"), l'hostilité du décor hivernal ("neige", "brume", "vent", "givre"). Mais la compassion, ici, ne va pas sans quelque moquerie. Les enfants sont décrits "à genoux", "tout bêtes, faisant leurs prières". Ils sont "bêtes", peut on comprendre, parce qu'ils s'agenouillent devant le boulanger comme s'il était un prêtre

préférence Les gens allaient sans yeux pour vous le jour durant Mais à l'heure du couvre-feu des doigts errants Avaient écrit sous vos photos MORTS POUR LA FRANCE Et les mornes matins en étaient différents Tout avait la couleur uniforme du givre À la fin février pour vos derniers moments Et c'est alors que l'un de vous dit calmement Bonheur à tous Bonheur à ceux qui vont survivre Je meurs sans haine en moi pour le peuple allemand Adieu la peine et le plaisir Adieu les roses Adieu la

îles glacés - Salade des îles glacées - Ecumes hawaïennes délice des tropiques - Bonheur des vahinés - Jardin des Tropiques - Reine glacée Les desserts glacés : - Banquise d'été - Douceur du soleil - Délice glacé - Le bouquet givré - Tendresse givrée - Vol au pôle nord - Reine des fjords - Aristocratie glacée - Sprhère glacée - Survol du Pôle Nord - Fée blanche glacée Les salades de fruits : - Fruits en folie - Surprises du verger - Senteurs au milieu des pétales Les tartes

il était pâle, certes, il était pâle, très pâle. Tout d’un coup, cette pensée entra en lui à la façon d’une balle : "Demain, à cette heure-ci, je serai peut-être mort." Et son cœur se remit à battre furieusement. » Champ lexical froid : hiver, givre, gelée Au début du texte la voiture est en pleine compagne : « le ciel » « le soleil » « au loin» puis on passe « sous un bois » « dans une avenue, par un petit chemin. »

aussi gai. Mais une idée folle vint à l’oiseau et il dit au sapin : « Tu ferais un adorable sapin de Noël – Mais je suis trop petit ! – Au contraire, c’est parfait – Mais je n’ai aucune envie d’être un sapin de Noël ! – Pourtant, ici, tu es couvert de givre tout l’hiver, le pied dans la neige, alors que, si tu étais un sapin de Noël, tu serais dans une jolie maison, avec toutes sortes de choses colorées sur tes branches ! Allez, mon sapin, fais moi plaisir… » L’oiseau a supplié, menacé de partir pour