Gîte

pas déguisé ? ne le croyait-on pas mort ? Cependant depuis quelques jours il se passait des choses qui devenaient singulières. Il ne lui en fallait pas davantage. Il était déterminé à ne plus rentrer dans la maison Gorbeau. Comme l'animal chassé du gîte, il cherchait un trou où se cacher, en attendant qu'il en trouvât un où se loger.

aux excès et dans un moment de colère et d'ivresse, il tire deux coups de feu sur son ami, le jeune Arthur Rimbaud. La prison représente un havre de sécurité pour le poète car il peut se consacrer là à la lecture et à l'écriture sans se soucier du gîte et du couvert. Ses œuvres en prose sont moins connues que celles poétiques, mais elles gagnent à être lues. Mes prisons nous ouvrent la porte sur l'univers carcéral de cette époque. La prose du poète se fait savante et laborieuse dans cet ouvrage d'une

et temporelles (mars, deux heures...) Description motivée et construite autour du motif de la marche du personnage : on suit cet homme qui souffre. Cet incipit nous fait compatir avec un héros souffrant.
C’est un vagabond, « sans travail et sans gîte », un ouvrier « à la tête vide », fatigué, souffrant, qui n’a qu’un espoir : que le froid « soif moins vif »... la description de sa tenue : veste « aminci[e] », « petit » paquet sans un « mouchoir » qui, ironiquement le gênait « beaucoup ».
Personnage

questions qu’il ne donne de réponse Pauvreté du personnage appuyée par : - la description des vêtements et du bagage : « coton aminci » qui souligne la vétusté, « petit » qui indique le peu de biens - la notation « ouvrier sans travail et sans gîte » qui indique son statut de chômeur sans domicile, statut de vagabond exclu de la vie sédentaire + « tête vide » évoque l’idée qu’un personnage sans travail est un personnage dont la personnalité est amoindrie. . Homme faible  car la description

fenêtres encrassées ». Pour la description du personnage, Emile Zola ne nous donne pas de renseignements sur l’aspect physique de l’individu qui reste pour le moment anonyme. Par contre il nous informe sur sa condition sociale « sans travail et sans gîte » « sous le coton aminci de sa veste et de son pantalon » Cependant, il livre au lecteur une multitude de renseignements sur ce que ressent l’homme par rapport à la rudesse de son environnement « des mains gourdes que les lanières du vent d’est faisaient

réactions par( Victor Hugo nous entraine dans sa lecture , il nous amene à ressentir ce que lui ressent . -Poésie: «  Elle était sèche , rèche , revêche »I,5,8 -Rhétorique: Gradation : Protase => Acmé + Chute «  Il n'avait pas de gîte , pas de pain, pas de feu , pas d'amour ; mais il était joyeux parcequ'il était libre . » LIVRE 3 , L.1 Chp.13 Oxymore LIVRE 3, , L5 , excellence du malheur => Titre projeté : la belle et bonne misère Début ou fin des chapitre : Oxymore

gênait beaucoup »l.11-12, « les mains gourdes » l.13 et aussi des pensées et des sentiments : « il fut repris de honte » l. 35. D’autre part le point de vue interne permet de donner des indications sur la situation du personnage : « sans travail et sans gîte » l. 15. Dans le texte de Malraux, nous constatons les mêmes effets : nous connaissons les pensées du personnage, notamment grâce au discours indirect libre : « Découvert ? Combattre, combattre des ennemis qui se défendent, des ennemis éveillés ! »

malgré tous les efforts de communication fournis, les propriétaires des maisons non sélectionnées n’ont pas tardé à exprimer leur mécontentement. Le fait que le propriétaire de l’une des maisons sélectionnées ait retiré sa proposition d’abriter un gîte pour des raisons familiales inattendues, a permis de satisfaire une des deux familles des maisons non sélectionnées. L’autre famille restante a été convaincue de l’inutilité d’avoir deux gîtes dans deux maisons voisines. Les travaux d’aménagement

récit comique. Des verbes d’action comme « s’en allait » (vers 1) et « s’emparer » (vers 2), le verbe conjugué « empaqueté », ou encore la chosification du mort en trésor du prêtre ont pour effet de dédramatiser le mort. La périphrase « son dernier gîte » (vers 2) est un euphémisme, et la métaphore au vers 7, ont pour but de dédramatiser tout ce qui concerne le mort. Celui-ci est présenté comme s’il était vivant. On remarque une répétition du mot robe, « robe d’hiver, robe d’été » (vers 8) qui use

Un Corbeau Tout à l'heure annonçait malheur à quelque Oiseau. Je ne songerai(3) plus que rencontre funeste, Que Faucons, que réseaux (4). Hélas, dirai-je, il pleut :             Mon frère a-t-il tout ce qu'il veut,             Bon soupé, bon gîte, et le reste ?              Ce discours ébranla le coeur             De notre imprudent voyageur ; Mais le désir de voir et l'humeur inquiète L'emportèrent enfin. Il dit : Ne pleurez point : Trois jours au plus rendront mon âme satisfaite ; Je