Gîte

Les princes de la Renaissance sont des princes protecteurs. Ils sont riches et ont le goût du luxe. Ils aiment l’art. Ils sont instruits, savants, et même érudits. Ils entourent de personnes de qualité (écrivains, artistes) auxquels ils offrent le gîte, le couvert et la protection ; ces princes sont des mécènes. C) Une circulation des idées plus facile. Après l’invention de l’imprimerie par Gutenberg en 1450, les centres d’imprimerie se multiplient en Europe dans les villes commerçantes

une vaccination est-elle appropriée? Bon nombre de personnes, en particulier de jeunes parents, sont déconcertés face au débat actuel sur les vaccinations. Que croire? Les maladies telles que la poliomyélite ou la diphtérie, la tétanie, la ménin-gite, la rougeole, les oreillons et la rubéole sont-elles toujours très dangereuses? Ou a-ton en revanche vaincu ces maladies? «Il est certain que les vaccinations préventives réalisées sur tout le territoire au cours des années 50 et 60 du siècle dernier

j'ai négocié les tarifs des activités mais pour le logement cela n'était pas possible. Le moniteur m'a tout de même donné les coordonnées d'un gîte. J'ai donc appelé le gîte communal, j'ai dû négocier puisque ce gîte accueil pour 3 nuits maximum ; et nous devions être logé pour 6 nuits. La directrice du gîte a accepté et nous a réservé un dortoir. Le gîte communal se compose de 3 dortoirs de 6 lits. Une grande salle a mangé et une petite cuisine commune aux 3 dortoirs. J'ai donc réussi à faire

où la chaleur s'accumule comme lieu de reproduction, greniers et combles pour les murins et le grand et le petit rhinolophe ou fissures et petites cavités pour les petites espèces, pipistrelles et barbastelles. Le dessous des ponts est souvent un gîte de transit. Les ponts ferroviaires désaffectés ainsi que les tunnels d'égoût ont les faveurs des chauves-souris. Le recensement des populations est un travail complexe; les mâles se déplacent tout le temps; seule une nurserie découverte permet de

autres enfants qui tentèrent même, une nuit, de le tuer. Durant toute sa vie, il fut docile, obéissant et très bon employé. Lorsqu'il devint premier compagnon, il ne demanda même pas de salaire et se contenta d'une pauvre nourriture et d'un pauvre gîte. Lui qui vivait de façon très simple, n'avait ni amis, ni relations et voulait qu'on le laisse en paix. On trouvait d'ailleurs "sa société insipide et sans intérêt". Il s'était rendu inintéressant et passait pour un pauvre imbécile. Situation qui le

récit comique. Des verbes d’action comme « s’en allait » (vers 1) et « s’emparer » (vers 2), le verbe conjugué « empaqueté », ou encore la chosification du mort en trésor du prêtre ont pour effet de dédramatiser le mort. La périphrase « son dernier gîte » (vers 2) est un euphémisme, et la métaphore au vers 7, ont pour but de dédramatiser tout ce qui concerne le mort. Celui-ci est présenté comme s’il était vivant. On remarque une répétition du mot robe, « robe d’hiver, robe d’été » (vers 8) qui use

longue et animée par des virgules, le rythme de la lecture et définie par la ponctuation. Dans la suite nous avons une progression vers l’action, vers l’élément perturbateur. Nous avons comme une situation initiale. « Ouvrier sans travail et sans gîte » (l.18-19) et ensuite apparait l’élément perturbateur a partir de « lorsque » (l.20). « Lorsque » indique quelque chose de brutal, quelque chose qui va tout déclencher dans le roman. Ensuite il y a un verbe au passé simple «  il aperçut » (l.21),

personnage principal comme un homme quelconque, errant sur les routes dans de difficiles conditions. L’absence d’informations et le fait de savoir que cet homme à la tête vide du fait qu’il n’ait pas de travail, mais également qu’il n’ait plus, ni de gîte, ni de quoi manger, permet à travers son anonymat de rendre ce personnage proche de chaque chômeur en quête de travail et d’un nouveau départ, parcourant des kilomètres afin de gagner un peu sa vie dans l’objectif de survivre. Cet homme démuni est

la répétition de « l’homme » et « il ». On peut voir qu’il est une victime et démuni, « le coton aminci » nous fait penser que par ces habits il est pauvre, et qu’il n’a pas de maison fixe, qu’il est exclu, un paria « ouvrier sans travail et sans gîte », qu’il avait peu d’espoir, « tête vide ». Ce n’est qu’a partir de la deuxième partie de l’extrait que le personnage se révèle à nous, « Je me nomme Etienne Lantier, je suis machineur » et qu’il est à la recherche urgente d’un emploi, « il n’y a

les personnages) utilisation d'un ton léger et non solennel « notre défunt », « notre curé », le « messire » ; faux respect le mort est empaqueté le prêtre a un nom qui fait référence a Rabelais pour désigner un objet/lieux ; euphémisme son dernier gite ; tombe « robe d'hiver, robe d'été » Que les morts de dépouillent guère avec un petit commentaire amusé 3) La chute du récit ironie de La Fontaine (faire dire qqchose en faisant comprendre que l'on ne le pense pas) vs 24 ironie ; « sur cette agréable