Giorgio Moroder

Andrea del Sarto Gustave Planche, Portraits d’artistes - Peintres et sculpteurs -, Paris, 1853. Andrea Vannucchi, plus connu sous le nom d'Andrea del Sarto, était fils d'un tailleur, et fut, dès l'âge le plus tendre, mis en apprentissage chez un orfèvre. Il paraît, d'après le témoignage de Vasari, qu'il employait dès lors la meilleure partie de son temps à dessiner. Son maître était lié avec Gian Barile, artiste sans originalité, mais qui a su pourtant exécuter avec un talent remarquable les

échec, comme par exemple son prototype de scaphandre qui tuais son utilisateur, ou encore ses machines volantes qui en réalité, n'ont jamais vraiment volées. Dans l'extrait de "Léonard de Vinci", Vie des peintres, paru entre 1560 et 1570, l'auteur Giorgio Vasari décris l'artiste en question comme étant pratiquement bénit de Dieu, et tout ce que le document dit ne fait que son éloge, disant à quel point il est doué autant manuellement que mentalement, et à quel point il est aussi beau physiquement qu'au

contribuant régulièrement à la revue Lacerba. Ainsi que le démontrent les Décompositions de verre, son oeuvre est particulièrement marquée par le cubisme. Toutefois, son engagement dans le futurisme est de courte durée, puisque dès 1916, il se lie à Giorgio de Chirico et fonde avec lui la "peinture métaphysique".                                              Umberto Boccioni Antigrazioso, 1912 huile sur toile, 80 x 80 cm collection privée                     Umberto Boccioni met le futurisme

de l’histoire de l’art allemand. L’identité de Mathias reste incertaine, cet artiste s’appelait en réalité Matthias Gothardt Pictor ou Mathis Nithart. Ce nom lui fut donné, de manière assez arbitraire, par Joachim von Sandrart (1606–1688), « le Giorgio Vasari allemand », Ces œuvres : • La Cène, sainte Dorothée et sainte Agnès, v. 1500 • Retable de Lindenhardt, v. 1502 • Crucifixion v. 1502, Kunstmuseum Bâle • La Dérision du Christ, 1504, Alte Pinakothek de Munich • (quatre volets en

Rosso Fiorentino - Florence 1494 – Fontainebleau 1540 Rosso est un peintre maniériste qui a vécu la plus grande partie de sa vie à Florence. Il a été formé dans l'atelier du maniériste Andrea del Sarto, tout comme Pontormo. Il voue une grande admiration pour Michel-Ange, qu'il considère comme le plus grand peintre de son époque. En 1516, il intègre la corporation des peintres florentins de l'Académie du dessin de Florence, sans nier son style maniériste. En effet, dès sa formation, il rejette

Renaissance est une notion discutée et sans doute discutable. Tous les traits caractéristiques de cette période se retrouvent en plein Moyen Age. Et pourtant, on ne peut négliger la conviction des contemporains, à la suite du peintre et critique d'art Giorgio Vasari, de vivre un véritable renouveau. La Renaissance pourrait se définir alors comme la «sensation», puis la mise en place de structures nouvelles. Entre 1450 et 1550, l'Europe va poser les bases de son hégémonie tant économique que politique

à Lessines en Belgique, dans le Hainaut, et mort à Bruxelles le 15 août 1967, est un peintre belge surréaliste. La mémoire est directement inspirée de Giorgio de Chirico, cette oeuvre garde en mémoire la vie silencieuse que dénient les natures mortes. En 1923, le poète Marcel Lecomte lui montre une photographie du Chant d'Amour (1914) de Giorgio de Chirico. C'est le choc et le début de sa grande période surréaliste avec, en 1926, la réalisation de " Le Jockey perdu ". Il s'installe ensuite en

dissidents. Peu à peu, la dispersion du groupe s’accentue. En 1938, Breton rencontre Trotski au Mexique et en 1941, il s’exile à New-York où il forme un nouveau groupe surréaliste. Les peintres Max Ernst, Francis Picabia, Salvador Dali, René Magritte et Giorgio de Chirico se rallient au mouvement. Luis Bunel introduit le surréalisme dans l’art cinématographique en collaborant avec Dali pour le tournage de « Un chien andalou » puis de L’Age d’or. Le surréalisme n’est pas une forme poétique. Il est un cri

maniérisme, qui prospère dans la Renaissance tardive. Preuve de l'admiration que lui vouent ses contemporains, deux biographies sont publiées de son vivant même, l'une incluse dans Le Vite, recueil des biographies des artistes de la Renaissance, de Giorgio Vasari, en 1550, l'autre par son élève, Ascanio Condivi en 1553.

Dalí naît un an après la mort de son frère aîné, dont on lui donne le nom : cet évènement pourrait expliquer sa mégalomanie légendaire... Il commence à dessiner très tôt et s’essaie à tous les styles, avant de découvrir la peinture métaphysique de Giorgio de Chirico et d’adopter sa manière lisse et fine. Grâce à son compatriote catalan Miró, il fait la connaissance en 1928 d’André Breton et, ayant rejoint le groupe surréaliste, développe son exploration de l’inconscient, à travers les thèmes de