Germinal Personnification De La Mine

l’alambic. Effectivement, au début du passage, l’alambic est avant tout considéré comme un objet étrange, comme le montre la périphrase de la ligne 19 à la ligne 22, mettant en valeur sa fonction et son rôle néfaste sur le peuple. Par ailleurs, la personnification de l’alambic en tant que travailleur silencieux à la ligne 9 accentue le coté sinistre de l’alambic. Enfin, son aspect étrange est renforcé grâce aux mots « sans » et « pas » aux lignes 19 et 8 contribuent à terminer la présentation de l’alambic

différents membres de la famille des Rougon-Macquart…). – Documentation sur les colonies à travers les récits des grands aventuriers (Diderot pour le Supplément au voyage de Bougainville…). – Recherches presque scientifiques de Zola (sur la mine pour Germinal, sur le chemin de fer pour La Bête humaine, sur les mutations du commerce pour Au Bonheur des dames…). 4. Par sa réflexion, le recul qu'il a sur le monde L'écrivain réfléchit sur ce monde (voir le texte de Valéry, qui suggère une nécessité

description sert à détourner du réel, à donner une fausse image du réel, et qu’elle a une fonction fantastique. Partie 1 : Dans un texte la forme de la description se manifeste par l’utilisation de l’imparfait de l’indicatif, (voir dans la mine dans Germinal de Zola, « ils tapaient tous », « les bruits prenaient », « on ne distinguait », des connecteurs spatiaux qui servent à l’organiser (voir quatre-vingt-treize de Victor Hugo, « sous les étoiles », « sur les armes », « contre un pan de mur »,

GERMINAL Première partie chapitre 1 : l'arrivée d'Etienne De "Dans la plaine rase..." à "...qu'on ne voyait point." Introduction Ce texte se situe au début du roman, publié en 1885. Ce roman évoque les luttes sociales de la fin du 2nd Empire auxquelles s'ajoutent les événements de 1880 et 1884 (révoltes des mineurs). C'est le début du texte de la 1e partie du roman qui en comporte 7. Le 1er chapitre débute avec l'entrée en scène du héros, personnage anonyme pour l'instant, dans un

de grands seigneurs et de bourgeois donnent des fêtes ou s'engraissent au coin de leur [...] ».Mais aussi les conditions de vie des Hommes vivant au XIX ème siècle, comme, notamment dans Germinal, où Zola nous parle de la misère des ouvriers travaillant à la mine: « il montrait toute cette famille usée à la mine, mangée par la Compagnie, plus affamée après cent ans de travail [...] »; ; «  […] Il avait étudié les maladies des mineurs […] l'anémie, les scrofules, la bronchite noire, l'asthme qui étouffe

Paris, (1873), La conquete de Plassans (1874) La faute de l’abbé Mouret (1875), Son excellence Eugène Rougon (1876), L’assomoir (1877), Une page d’amour (1878), Nana (1880), Pot-Bouille (1882), Au bonheur des dames (1883), Le joie de vivre (1884) Germinal (1885), L’œuvre (1886) La terre (1887), Le reve (1888), La bete humaine (1890), L’argent (1891), la débacle (1892) Le docteur Pascal (1893). La plupart de textes qui composent Les Rougon-Macquart racontent l’histoire d’un seul membre de la famille

cycle du temps qui se répète. Il utilise les déterminants ordinaux pour montrer le rythme des saisons : « le premier hiver » (l.6), « le second hiver » (l.7). Il insiste sur l’impact des saisons sur leur misère avec l’allégorie de l’hiver. La personnification du mois de décembre : « ce gredin de décembre » (l.4) donne l’impression que décembre est une personne qui passe chez eux tous les ans et qui cause des dégâts sans se soucier des conséquences. Il est représenté comme le responsable de tous leurs

celle d'une coupe anatomique: les "enroulements sans fin de tuyaux" font penser aux intestins, à un ventre, et nous reconnaissons là un fantasme de Zola repérable aussi bien dans le titre Le Ventre de Paris que dans la topographie des galeries de mine de Germinal ou dans le tunnel de La Bête humaine, d'où le "souffle intérieur", le "ronflement souterrain" avec les jeux de sonorités qui imitent une respiration humaine ou animale ou digne d'un monstre : d'une sorte de Minotaure enfermant son labyrinthe

lexical La fosse du Voreux comparée à un ogre dans Germinal Texte poétique ou épique, où la réalité est transfigurée cliché Image devenue banale pour avoir été très souvent employée, au point de ne plus avoir conscience du procédé Un teint de lys et de roses Dans la langue courante personnification Image consistant à attribuer à un animal ou un objet un comportement humain Les animaux dans les Fables de La Fontaine « l’alambic gardait une mine sombre » (L’Assommoir ») Textes de fables, contes

| |Métaphore filée |Métaphore ou comparaison prolongée sur une |La fosse du Voreux comparée à un |Texte poétique ou épique, où la | | |certaine longueur (un §, un chapitre, un |ogre dans Germinal |réalité est transfigurée | | |poème…) grâce à un réseau lexical | | | |cliché |Image devenue banale pour