Génocide culturel

mondiale et l’expérience combattante * Guerre totale. * Brutalisation. * Banalisation de la violence. II) La Seconde Guerre mondiale : guerre d’anéantissement et génocide des Juifs et des Tziganes. * La place de l’idéologie. * L’extension géographique. * L’ampleur des destructions. * Le génocide. * INSISTER SUR LE FAIT : Disparition de la distinction entre combattants et non-combattants. III) Les espoirs de paix. A- La SDN : espoirs déçus. B- L’ONU :

défendre l'intérêt d'une nation. On peut donc considérer que cette forme de violence est légitime mais il faut quand même qu'il respectent les règles élémentaires de la guerre comme par exemple ne pas s'acharner sur les civils, ne pas commettre de génocide, respecter le but militaire fixé. S'ils ne respectent pas ces droits, cette violence n'est plus légitime et on peut incriminer soit l'état soit les soldat responsables de ces actions.

Le génocide juif : un crime contre l'humanité. Pourquoi le génocide juif est-il un crime contre l'humanité ? Document 1: La «solution finale» appliquée à Auschwitz. Source: Manuel d'histoire,géographie, éducation hachette 2010. Présentation: Ce document intitulé la solution finale provient du manuel d'histoire, géographie, éducation hachette. «C'est un discours du commandant d'Auschwitz, la découverte - maspero» Il traite de l'extermination des juifs dans les chambres à gaz en 1942

procédure de destitution en cas de manquement du chef de l'Etat à ses devoirs manifestement incompatible avec l'exercice de son mandat telle qu'elle est prévue par l'article 67 (B). A) La responsabilité du Président de la République en cas de génocide ou de crime contre l'humanité La compétence de la Cour pénale internationale instituée par la convention de Rome du 18 juillet 1998 pour juger les « crimes les plus graves qui touchent l'ensemble de la communauté internationale » s'applique à

Carlevan. Ce mémorial a vu le jour, grâce notamment au travail de Georges Carlevan, président de l'Association pour un musée de la Résistance et de la Déportation du Pays d'Arles4 ainsi que diverses associations qui œuvrent pour la reconnaissance du génocide des Tsiganes. À l'heure actuelle, ce mémorial est le seul de ce type en France3. En effet, dans d'autres lieux d'anciens camps, des plaques commémoratives ont été posées, mais à Saliers c'est un monument qui a été inauguré. Aussi, dans son discours

passé, la mémoire collective et officielle sera toujours marquée par un sujet sensible : le génocide. III. Le génocide ou le devoir de mémoire A) Lente émergence de la mémoire du génocide Dans ce contexte de joie de fin de la guerre, les juifs survivants se sentent coupable de l'être et ont du mal à témoigner des horreurs qu'ils ont vécu. Cette lente émergence de la mémoire du génocide est due à 3 choses : 1961 : Le procès d'Eichmann est basé sur des témoignages (1ère fois

1987 pour avoir la traduction française de l’œuvre. Dans la préface, l’auteur décrit les projets et buts de l’œuvre. Il la qualifie même d’« étude dépassionnée de l’âme humaine » (préface). Cette œuvre, écrite sur un ton sobre et posé, raconte le génocide hitlérien et le fonctionnement des camps de concentration. L’extrait lu en classe appartient au chapitre 2 qui a pour nom « le fond » et prouve que les juifs détenus dans les camps ont « touché le fond ». L’œuvre est un témoignage

titres. Il est en effet le premier grand procès d'une justice internationale. Il faudra attendre les années 1990 pour qu'une justice internationale soit de nouveau en vigueur (cour de La Haye jugeant les crimes en ex-Yougoslavie, d'Arusha pour le génocide rwandais, cour pénale internationale). Il y a 12 condamnations à mort, 7 à la prison à vie, et 5 acquittements. Au nombre des condamnés, des personnalités importantes du régime nazi comme Hermann Gœring (numéro deux du Reich), Von Ribbentrop (ministre

peu d’images (photos) d’Auschwitz et ses dessins sont un témoignage de ce qu’il se passait là-bas. Ils montrent la vie du camp : l’appel, le départ au travail. Ces dessins des chambres à gaz et des fours montrent l’horreur et sont des preuves du génocide car ils représentent la réalité crue. Les dessins montrent les morts, les prisonniers habillés en vêtements rayés, la bestialité des SS. David Olère se représente lui-même dans plusieurs dessins. Certaines peintures en couleurs sont moins réalistes

[2] ; – Les guerres civiles ou les génocides, comme au Rwanda (1994) ou en ex-Yougoslavie (1995) [7] ; – « L’assistance aux victimes en cas de catastrophes naturelles », comme pour le séisme en Indonésie en 2004 ou en Haïti en 2010 [2, 3]. QUESTION 2 : Les formes de l’ingérence [2, 3, 4, 7] ■ Les formes de l’ingérence peuvent être : – la sécurisation des populations menacées en les regroupant dans des camps ou des zones démilitarisées, comme pendant le génocide rwandais en 1994 ; – la distribution