Génétique médicale

mineur par ses parents pour des raisons religieuses. Règle applicable : Le principe de l’inviolabilité du corps humain consacré par l'article 16-3 du Code civil, interdit qu’une atteinte soit portée à l'intégrité physique sauf pour des raisons médicales et avec le consentement de l’intéressé, ou de ses représentants légaux s’il est mineur. Une certaine tolérance est cependant admise pour la circoncision religieuse. Solution Les parents peuvent faire circoncire leur fils par un médecin à condition

« cohérence » entre leurs opinions, attitudes et comportements ! Cfr le phénomène de boucs émissaires, ou les effets parfois inattendus des sondages d’opinions. ETIOLOGIE : étude des causes 1) Les causes des déficiences : causes acquises et causes génétiques A ce cours le professeur nous a fait comprendre que face à plusieurs personnes ayant la même déficience était forcément différente car pas le même vécu de la déficience, pas nécessairement le même degré de handicap, et pas la même CAUSE

théorie transformiste. A. Weismann a démontré par l’exemple le caractère douteux de l’idée de transmission des caractères acquis. Puis, par les découvertes récentes de la biologie moléculaire, nous savons qu’il est impossible de modifier le code génétique, de la protéine à l’ADN, il ne peut y avoir transformation d’information c'est-à-dire que le milieu ne peut influencer l’hérédité. Jacob dans La logique du vivant énonce : « Ce qui peut arriver à un individu n’influe pas sur sa descendance. »

La solution des bébés médicaments est-elle éthique ? Lorsqu’un ou deux parents sont porteurs d’une série de mauvais chromosomes, il est possible que leur enfant souffre d’un trouble génétique grave (comme par exemple une Anémie de Fanconi). L’enfant sera alors condamné à une mort proche. Il aurait besoin d’un transfert d’organe ou de sang compatible ce qui est souvent introuvable. L’aîné malade est condamné à une mort proche… à moins qu’un petit frère ou une petite sœur compatible HLA[1] puisse

adopté par l’Assemblée Nationale, fait entrer la génétique dans l’ère d’une utilisation non plus simplement médicale et judiciaire mais dorénavant dévolue au contrôle étatique. Cette nouvelle donne pose trois séries de problèmes fondamentaux. Tout d’abord, des problèmes d’ordre éthique. En effet, l’utilisation de tests ADN pour savoir si un enfant peut venir ou non rejoindre un parent en France pose d’emblée cette question : depuis quand la génétique va t’elle décider de qui a le droit ou non de s’établir

Devrait-on choisir quel embryon devrait vivre selon son génome (et par conséquent son sexe) et créer l’individu parfait? Le 18 mai dernier n’était pas une journée banale dans le monde médical, plus précisément celui de la biotechnologie. Aux États-Unis, Connor Lévy a été le premier enfant à voir le jour grâce à une toute nouvelle biotechnologie consistant à analyser le génome complet de l’embryon. Cette méthode est bien meilleure en plusieurs points par rapport au diagnostic prénatal utilisé depuis

son corps, le corps humain est inviolable. Art 16-2 donne au juge les moyens d’intervention en cas d’atteinte au corps, ou éléments et produits du corps. Art 16-3 interdit l’atteinte à l’intégrité du corps sauf si nécessité médicale pour la personne et à titre exceptionnel dans l’intérêt thérapeutique d’autrui (rajouts loi 2004). Inviolabilité : impossibilité du corps de la personne par un tiers. Intégrité : impossibilité d’une atteinte par toute personne même par

aucune | Transformation de la molécule H en molécule A. | (A) | B 1er chrms 9 = --------------------- O 2ème chrms 9 | Enzyme B inactif / aucune | Transformation de la molécule H en molécule B. | (B) | Arbre génétique d'une famille (......) phénotype A = combinaison d'alléles A Un même gène peut exister en plusieurs versions (=Alléles). Puisque chaque individu posséde ces chromosomes en double exemplaire, pour un même gène, un individu peut donc

production de glucose dans les deux cas. ( Analyse de la Fig-6 (= Bordas 3 p 165). Q-12 : Indiquez à quoi peut-être dû le DNID . II) LES FACTEURS A L’ORIGINE DES DIABÈTES 2.1) Le cas du diabète de type 1 2.1.1) Des facteurs génétiques Dans la population générale, le risque de survenue d’un DID est d’environ 0,2 %. A partir de données familiales on a pu estimer que le risque de survenue est de : | |Lien de parenté avec un sujet

photolitotrophes appelés photoautotrophes -les hétérotrophes chimioorganotrophes appelés chimiohétérotrophes -les hétérotrophes photoorganotrophes -les autotrophes chimiolithotrophes 26- Citer les différents matériels de transferts génétiques chez les bactéries ? -la transformation -la transduction -la conjugaison 27- Enumérer les différents types de plasmide connus ? -le facteur F ou facteur de fertilité( plasmide conjugatif) -Bactérie F+= donatrice -Bactérie F-= réceptrice