Génétique comportementale

différences génétiques? Les différences de l’environnement? sur qui nous L’éducation?impact somme comme individue et nous La culture? caracterise La génétique du comportement : Génétique du comportement: Étude du pouvoir et des limites relatifs de la génétique, et des influences environnementales sur le comportement etude du pouvoir et limit genetic vs environnement La génétique du comportement : 1. Gênes 2. Études de jumeaux et d’adoption 3. Tempérament et hérédité 4. La génétique moléculaire

phénotypes Contrairement à la majorité des ind, de son espèce un H albinos présent un phénotype caractéristique : absence de pigmentations de la peau, de l'iris. Ce phénotype est héréditaire. Quel lien existe entre l'ADN support de l'info génétique et le phénotype? 1) Différents niveaux de définition du phénotype. Les symptômes de cette maladie permet de déf le phénotype à l'échelle de l'organisme, échelle macroscopique. Grâce au microscope ns avons accès au phénotypes cellulaire

naturaliste, sont superficielles et secondaires : elles n’influent pas l’intelligence, ou les capacités individuelles ou collectives. On ne peut pas en faire une faute éthique. Les différences existent : des plus intelligents et des moins : c’est un fait génétique. La nature crée des différences, rien ne sert à les nier. Nous classons les choses en fonction des différences que nous voyons : la différence c’est la base de la distinction. Une classification c’est une prise en compte des différences. Les

oublier qui est en face de vous Vieillissement : Ensemble de processus physiologiques et psychologiques qui modifient la structure et les fonctions de l ’organisme sous l ’action du temps ; il résulte des effets intriqués de facteurs intrinsèques (génétiques) et des facteurs environnementaux auxquels est soumis l ’organisme au cours de la vie. Quel nom ? • • • • • • Vieux vieillard (féminin ?) senior 3ième ou 4ième Age ancien personne âgée 1 Quel critère discriminant ? • Critère d ’âge :

le mécanisme de transmission par les descendants par la sélection naturelle. En 1910 le biologiste Devries découvre les mutations génétiques, les modifications aléatoires du code génétique permettent d’expliquer la variabilité naturelle des caractères individuels. En 1940 quelques pionniers ont fondés la théorie synthétique de l’évolution qui englobe la génétique, la biologie et la paléontologie. Mécanisme de l’évolution La biologie moléculaire montre que l’évolution des espèces provient

comparaison de l'ours brun et de l'ours polaire montre qu'ils occupent des niches écologiques différentes. Elle permet de confirmer l'appartenance de ces deux ours à des espèces différentes, à partir de critères morphologiques, physiologiques, comportementaux, écologiques (doc 2). Tous ces arguments sont donc en faveur d'un maintien de la distinction entre ces deux espèces d'ours. Cependant, des cas d'hybrides fertiles existent (doc 3). C’est le cas entre l’ours brun et l’ours polaire : le pizzly (descendant)

en utilisant une démarche scientifique avec un raisonnement par déduction suite à de multiples expériences qui peuvent être falsifiables. Ces expériences sont réalisées un grand nombre de fois qu’elles soient morpho-anatomiques, embryologiques, génétiques… Ces expériences et observations permettent de mieux connaître le vivant en validant ou en contredisant certaines hypothèses afin de corriger des erreurs. Les choses de la nature sont réparties en trois classes comme l’affirme Foucault : « les minéraux

de l’autisme restent vagues et plutôt mystérieuse. La cause serait t’elle du à des facteurs génétiques psychologiques environnementaux ou d’autres encore. Les origines exactes de ce trouble restent toujours introuvés car on connait mal cette maladie ou du moins sa cause. Une cause très claire de l’autisme n’est détectable que pour 10% des cas rencontrés. Certaines personnes souffrant de maladies génétiques bien connues comme l’X fragile sont souvent autistes. De plus des causes environnementales

unanimité n’est présente au sujet d’une théorie spécifique. Néanmoins, deux d’entre-elles sont les plus proéminentes : le modèle biochimique, qui se base sur des théories de nature génétique et neuroanatomique ainsi que le modèle cognitif et psychanalytique, qui lui se base sur des théories cognitives et comportementales. Le but de cette recherche sera donc d’évaluer et de comparer ces deux théories pour tenter de discerner laquelle pourrait donner une meilleure idée sur l’origine du trouble obsessif-compulsif

ours à des espèces différentes, cette fois-ci à partir de critères morphologiques , physiologiques, comportementaux, écologiques. Tous ces arguments sont donc en faveur d'un maintien de la distinction entre ces deux espèces d'ours. Les cartes indiquent aussi que le Pizzly a été retrouvé à la frontière de la banquise et de leurs aires de répartitions géographiques, au nord est du canada. 3. Génétique et hybridation chez les Ours. Le taxon des Ursidés réunit 8 espèces présentes en Eurasie et en