Gaxie Rétributions Du Militantisme

sous la V République : UNR : Union pour la nouvelle République 1958-1967 UDR : Union des démocrates sous la République 1967 – 1976 parti de cadre RPR : Rassemblement sous la Republique1976 – 2002 parti de masse qui s’appuie beaucoup sur le militantisme UMP : Union pour un mouvement populaire 2002 – 2015 Les républicains 2015 Introduction : Accroche : Nicolas Sarkozy en 2015 a décidé de changer le nom du parti UMP pour proratiser le parti Les républicains. Sa stratégie est de remobiliser

d’Attac-Rhône . . 1. Les approches sociologiques contemporaines du militantisme . . 2. Les facteurs des fluctuations de l’engagement . . 2.1. Générations militantes . . 2.2. Cadre organisationnel de l’engagement . . 2.3. L’épuisement . . 2.4. Les moments forts du militantisme . . 2.5. Ruptures biographiques . . 2.6. L’inscription du militantisme dans l’espace des pratiques sociales ordinaires . . 2.7. Variabilité des rétributions militantes . . 2.8. Formes de sociabilités . . 2.9. Désengagement

négociées entre ces adversaires. Document 2 : Georg Simmel : le conflit, une forme d'association guère de conflit, puisque celui-ci serait sans objet. F. Vandenberghe, La sociologie de Georg Simmel, La découverte, coll. Repères, 2011 Document 3 : Le militantisme et l'intensité des relations sociales Pourquoi certains militent alors que d'autres demeurent passifs ? En travaillant à partir des dossiers individuels remplis par des étudiants volontaires pour soutenir le mouvement des droits civiques aux États-Unis

communication. VI/ Militantisme et construction identitaire 3 processus se sont greffés à la « mobilisation des ressources » : - réintroduction de l’attention au vécu des acteurs - reprise de la problématique des NMS (identité, sensibilité…) - attention à la dimension politique, au rôle de médias et mises en scènes des mvmts socx dans l’espace public qui passe par des emprunts aux problématiques « constructivistes ». A) Une approche sociologique du militantisme Déterminants et rétributions du militantisme

éléments mais essaie de voir plus précisément de qu’il en est = déconstruction des comportements. Autres indicateurs : * Le refus de l’engagement partisan et de l’engagement militant dans le domaine associatif. * Les mutations du militantisme : il se porte sur des objectifs ponctuels pour des causes clairement identifiées centrées sur la vie quotidienne ou la solidarité internationale, ou la défense de certains groupes (sans-papiers, immigrés). Concernant l’intérêt pour la politique

à un répertoire d'action collective limité, c'est à dire des moyens d'agir en commun sur la base d'intérêts partagés. L'état des rapports de force avec l'adversaire. On improvise à partir de ce que l'on connait déjà. Rétribution du militantisme: Daniel Gaxie en 77 s'inspire de la théorie d'oison sur les incitations sélectives des entreprises politique (syndicat/association). Elle peuvent être d'origine matérielles (logement/emplois) ou symbolique (acquisition d'un capital collectif)

manifestante. Les dividendes de l’innovation Importance de ce courant car il a contribué à connecter l’étude des mobilisations et la réflexion sur les grands changements sociaux liés au poids de la technique, du savoir, de la communication. 6) Militantisme et construction identitaire Trois processus se sont greffés à la “mobilisation des ressources” : - réintroduction de l’attention au vécu des acteurs - reprise de la problématique des NMS (identité, sensibilité,...) - attention

fait que les individus s’engagent dans des «  trajectoires d’activités cohérentes » selon Foote. Toutefois, on peut penser que l’individu peut varier dans le temps selon son parcours individuel. Olivier Fillieule insiste beaucoup sur ce point. Le militantisme, l’engagement est un processus social qui articule, au cours de la vie, des phases d’enrôlement et des phases de défection. C’est ce processus qu’Olivier Fillieule a conceptualisé sous la notion de « carrière militante ». Si la structure du groupe

Notes on Committed Youth. New York, Harcourt Brace Janovitch, 1968. D epuis la publication de Logique de l’action collective par Mancur Olson en 1965 1, la question des coûts de l’engagement se trouve placée au centre de la littérature sur le militantisme et l’action collective 2. Diverses théories se sont développées pour tenter de répondre au fameux paradoxe olsonien. Certains auteurs, dans la lignée du paradigme du choix rationnel, ont proposé des modèles alternatifs reposant sur l’intentionnalité

Dossier thématique ------------------------------------------------- Le désengagement militant Le militantisme désigne l’ensemble des pratiques par lesquelles des individus s’engagent pour la défense d’une cause, donnent de leur temps et éventuellement prennent des risques. Le domaine d’engagement peut concerner la politique, le syndicalisme ou encore l’associatif. Le but du militantisme étant de parvenir à une transformation économique, idéologique ou sociale. A l’origine, les personnes qui