Gavroche Dehors

obligée de confier son enfant, Cosette, aux Thénardier. - Cosette, la fille de Fantine, sera laissé en nourrice chez les Thénardier qui la maltraiteront . - La famille Thénardier, un couple de cabaretiers sordides qui exploite Cosette. - Gavroche, gamin de Paris, jeté sur les pavés comme beaucoup d’autres enfants, est seul, sans amour, sans gîte, sans pain, mais joyeux car libre. - Marius, étudiant, petit-fils d’un grand bourgeois, Monsieur Gillenormand, et fils d’un colonel disparu à

rien, parce que les fenêtres étaient fermées; après quelques moments, elle commença à voir que le plancher était tout couvert de sang caillé. (Charles Perrault) ………………………………………………………………. 2) Liés à nos frères par un but commun et qui se situe en dehors de nous, alors seulement nous respirons et l'expérience nous montre qu'aimer ce n'est pas nous regarder l'un l'autre mais regarder ensemble dans la même direction. Pourquoi nous haïr ? Nous sommes emportés par la même planète, équipage d'un même navire

reflet d’une époque ? Objectifs : Percevoir les évolutions de la notion de héros Comprendre comment s'articulent personnage et héros (deux notions qui ne coïncident pas toujours) Lectures analytiques Texte 5 : V. Hugo, Les Misérables, 1862, la mort de Gavroche. Texte 6 : L-F. CELINE, Voyage au bout de la nuit, 1932, la guerre. Textes et documents complémentaires -FLAUBERT, Madame Bovary, 1857, mort d’Emma -ZOLA, arbre généalogique des Rougon-Macquart Synthèses -Notions de narration : -les caractéristiques

............... 11 2 COMMUNIQUE DE PRESSE LES MISÉRABLES, un roman inconnu ? Exposition du 10 octobre 2008 au 1er mars 2009 Bien sûr, tout le monde connaît Les Misérables : Jean Valjean, Javert, Fantine, Cosette, Gavroche… On connaît le film, la comédie musicale, on en a étudié un passage à l’école. Mais le livre, le vrai, l'original, l'a-t-on lu? Nous en avons une connaissance parcellaire, réduite de facto au seul mélodrame. Cette exposition propose de découvrir

Le conteur en profite pour reprendre son récit : « Enfin, elle se lève et range ses papiers. Elle tend la main vers la lampe, la pièce devient noire. Quelques minutes passent, puis le portail de l’immeuble s’ouvre. Une jeune fille se glisse dehors. Ses cheveux dansent sur ses épaules. Elle se met à courir et disparaît bientôt au bout de la rue. Et moi je reste là, tout triste. Il me faudra patienter jusqu’à demain avant de la revoir. » Guillaume se tait. Personne ne bronche : tous les

meilleur ami, Doudou, élève de cinquième comme lui, qu’il regarde de sa fenêtre, dans l’immeuble d’en face, une vieille dame qui écrit toutes les nuits. Lorsque sa lampe s’éteint, quelques minutes plus tard, étrangement, une jeune fille se glisse dehors. Cette nuit, Guillaume a décidé de lui parler. La jeune fille, qui ne doit pas avoir plus de quinze ans, porte des escarpins terriblement démodés. Guidé par le bruit de ses talons, le garçon pénètre, à sa suite, par une porte dérobée, dans la bibliothèque

dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne,Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends.J'irai par la forêt, j'irai par le montagne.Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps.Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées,Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit,Seul inconnu, le dos courbé, les mains croisées,Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit.Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe,Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur,Et quand j'arriverai, je mettrai sur

peut être utile», détermine «ses frontières», fait «un peu d’Histoire», considérant qu’on retrouve en lui «la vieille âme de la Gaule», qu’il «exprime Paris», qu’il représente «l’avenir latent dans le peuple». Enfin, il fait le portrait du «petit Gavroche», fils de Jondrette, un miséreux qui occupe avec sa femme et ses deux grandes filles une chambre de la masure Gorbeau. Leur voisin, un étudiant très pauvre, qui a vingt ans, se nomme Marius Pontmercy. Livre deuxième : ‘’Le grand bourgeois’’ En

à l’heure où blanchit la campagne, Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m’attends. J’irai par la forêt, j’irai par la campagne, Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps. Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées, Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit, Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées, Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit. Je ne regarderai ni l’or du soir qui tombe, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur , Et quand j’arriverai

meilleur ami, Doudou, élève de cinquième comme lui, qu’il regarde de sa fenêtre, dans l’immeuble d’en face, une vieille dame qui écrit toutes les nuits. Lorsque sa lampe s’éteint, quelques minutes plus tard, étrangement, une jeune fille se glisse dehors. Cette nuit, Guillaume a décidé de lui parler. La jeune fille, qui ne doit pas avoir plus de quinze ans, porte des escarpins terriblement démodés. Guidé par le bruit de ses talons, le garçon pénètre, à sa suite, par une porte dérobée, dans la bibliothèque