Fusion Bnp Fortis

résume Cyril Meilland, analyste chez Crédit agricole Cheuvreux. Pour preuve, les grandes valeurs bancaires de la zone euro ont toutes fini l’année boursière 2010 dans le rouge. Balayée la bouffée d’oxygène de 2009. Avec leurs pertes de 14% à 23%, BNP Paribas, Société générale, Crédit agricole ont pourtant limité la casse. En Espagne, considéré comme la possi- “C Les grandes valeurs bancaires de la zone euro ont toutes fini l’année boursière 2010 dans le rouge ble “brebis galeuse” de cette

de la bancassurance, pour qu’ensuite dans la deuxième section, nous allons développer, la définition, les avantages et les modèles de la bancassurance. Section I : Historique : La bancassurance a prit naissance en 1865, en Belgique suite à la fusion de deux organismes ; le premier est la Caisse Général de Retraite, le second est la Caisse d’Epargne qui donna naissance à la Caisse Générale d’Epargne et de Retraite qui était une seule entité juridique pratiquant la banque et l’assurance. Ce concept

suisse a déjà perdu 43 millions de dollars et y a laissé sa réputation. En effet, entre avril et juin 2008, les retraits d’argent des clients d’USB se sont élevés à 16 millions de dollars. L’article retrace le parcours de Marcel Ospel ; après la fusion entre le numéro un USB et le numéro trois, la Société de Banque Suisse en 1998, Marcel Ospel devient président de l’USB et souhaite s’implanter aux Etats-Unis. Il rachète donc Paine Webber, une modeste société de courtage. Ospel a un but : il veut

entreprises du secteur automobile n’ont que peu de choix face à la crise économique mondiale. Soit le regroupement en des « méga-entreprises » issues de la fusion nécessaire pour leur survie des firmes. Dans le secteur bancaire, ce genre de schéma est en train de se multiplier depuis la crise, à l’image récemment de la fusion entre Fortis et la BNP Paribas, ou encore HSBC et la CCF. Pour assurer leur stabilité les groupes se réunissent pour mettre en commun leurs pouvoirs. Ceux qui ne cherchent pas

de Paribas par la BNP, du CCF par HSBC, du CIC par le Crédit mutuel ou encore du Crédit Lyonnais par le Crédit Agricole. Ce mouvement s’étendra ensuite partout dans l’Union Européenne, les établissements bancaires se sentant à l’étroit sur leur marché intérieur. De surcroit la création d’un réseau bancaire ex-nihilo est plus couteuse en terme de temps, de ressources financières et humaines aussi le recours à cette croissance externe se généralise en Europe avec des méga fusions : la disparition la

les crédits de trésorerie, les financements du commerce extérieurs, le financement des investissements, la gestion des excédants de trésorerie, l’analyse du bilan…. 2) Les différentes formes de concurrence Banques française privées Groupe BNP Paribas : Banque de Bretagne Groupe Crédits agricole SA : LCL Groupe Société générale : Boursorama banque, Crédit du nord (80%) Dexia (groupe franco-belge) Banque coopératives ou mutualiste BRED Le Crédit Coopératif Crédit mutuel Natixis

|4 |HBOS (uk) | |5 |Barclays(uk) | |6 |BNP-Paribas (France) | |7 |SCH | |8 |Lloyds TSB (uk)

traitées (augmentation K, augmentation gratuite) Opérations mondiales, pour exercer ce métier il faut énormément de K, de systèmes informatiques. Il y a des écos d’échelle importantes. Secteur où il y a eu concentrations importantes (opérations de fusion-acquisition) Gestion d’actifs : Gestion privée : clients gérés dans lieux particuliers. En principe, seuils d’accès particuliers. Peu de clients, mais qui pèsent très lourd. Plusieurs segments : Gestion de patrimoine (gestion portefeuilles), souvent

relations de travail. I 18 Chapitre 1 : Principaux acteurs de la bancassurance. Chapitre 1 : Principaux acteurs de la bancassurance. La banque et assurance ou plus communément appelée « bancassurance » est comme son nom l’indique la fusion des métiers de la banque et de l’assurance. Rares sont aujourd’hui les banques de réseau à ne pas afficher l’une de ces deux mentions au fronton ou vitrine de leurs agences. Dans ce chapitre nous essayerons dans un premier temps de parler de la

marché, a fortement baissé au cours du trimestre) ; * d'un net ralentissement des activités de banque d'affaires et de marché qui avaient été les moteurs des bénéfices des années précédentes (titrisation, financement des LBO et des hedge funds, fusion-acquisition, gestion d'actifs, etc.). Les grandes banques d'affaires américaines et européennes ont enregistré d'importantes dépréciations d'actifs au troisième trimestre 2007[24] : * Goldman Sachs : 1,5 milliard de dollars. * Bear Stearns :