Fukushima

et militantisme. Cet artiste provocateur décide de faire de la rue son moyen d'expression. Combo se fait connaître en 2012 , à Tchernobyl, en Ukraine où il colle des affiches dénonçant les ravages que provoquent les accidents nucléaires suite à Fukushima. Combo n'aime pas la censure et le fait savoir. En 2013 sur les murs des rues de Hong Kong, en Chine. Lors de son projet Golden Shield le street artiste colle des copies d'écran de pages Google censurées en Chine, pays qui possède un programme

le résultat de la libération brusque d'énergie accumulée par les contraintes exercées sur les roches. Le 11 mars 2011, un puissant séisme de magnitude 9 frappait le Japon, entraînant un violent tsunami qui a déclenché la catastrophe nucléaire de Fukushima. Le Japon est pourtant un pays très sensibilisé aux séismes, et se pensait préparé pour faire face à un tel évènement. Ainsi, comment prévoir et prévenir le risque sismique ? Nous nous attacherons alors à analyser les caractéristiques d’un séisme

autant d’espoirs suscitent aussi de la méfiance et de la suspicion, donnant lieu à de vifs débats qui peuvent aller de la controverse au refus de l’utilisation de ces avancées. Les exemples ne manquent pas comme celui de l’accident nucléaire de Fukushima qui a déclenché une mise en question et une contestation répandues. Cette attitude de la part de la société doit nous interpeller afin de mettre en exergue l’importance qui doit être donnée à l’accompagnement de toute avancée scientifique par la

ne nous disons même plus bonjour. Et en plus de cela, ce qu’il nous apporte n’est pas toujours bon pour l’homme. Et les preuves ne peuvent malheureusement pas se compter sur les doigts de notre main : la catastrophe de Tchernobyl, d’Hiroshima, de Fukushima,… Il serait injuste de fermer les yeux sur ces « petits incidents » qui ont coûté la vie à des millions de personnes. Alors, certes, progresser est naturel chez l’homme, cependant, celui-ci est libre de choisir comment il utilisera ce qu’il aura

largement du facteur humain ainsi, le réchauffement climatique avec les gaz à effet de serre engendre une destruction de la faune mais aussi de la flore, de plus on observe une non maitrise de la technique notamment dans le nucléaire. La catastrophe de Fukushima illustre bien cet argument. (Hannah Arendt, Condition de l'homme moderne).On peut ainsi dire que le mal vient de la nature humaine sur la question du progrès technique L’homme est naturellement égoïste et individualiste, il ne se préoccupe pas

actuellement à la surface. - L'installation d'une centrale est coûteuse et nécessite des précautions énormes. Malgré ces dernières, le système demeure dangereux, plusieurs accidents sont survenus dans le passé (Tchernobyl) et même récemment (Fukushima). III/ L'alternateur La partie commune à toutes les centrales électriques (sauf la centrale solaire photovoltaïque) est l’alternateur. L’alternateur est constitué d’un rotor : une turbine ou galet qui tourne grâce à la force des énergies

grave en France », que le président de l’Autorité de l’autorité nucléaire (ASN) André-Claude Lacoste a brisé un tabou. Car même s’il tient à préciser « l’avoir toujours dit », une telle appréciation n’avait jamais eu autant d’écho. L’accident de Fukushima (Japon) du 12/03/2011 constitue un tournant pour la filière nucléaire française et le regard que la société porte sur ce secteur. Les collectivités locales sur le territoire desquelles les centrales sont installées en tirent de confortables ressources

L'étude de M. Hirata prend en compte la nouvelle donne créée par le séisme de magnitude 9 qui a ravagé la côte nord-est du Japon, le 11 mars 2011, provoquant une catastrophe en chaîne avec un tsunami géant responsable de l'accident de la centrale de Fukushima. Depuis, l'activité sismique a augmenté dans la région de Tokyo. L'Agence de météorologie japonaise a enregistré une moyenne quotidienne de 1,48 séisme de magnitude supérieure à 3 dans cette zone (577, du 11 mars au 31 décembre 2011). La terre tremble

zones entière qui pourrais être utiliser pour l’agriculture ou dédiées à la construction de nouveau logements. L’histoire nous à également démontré que cette énergie n’est pas sans risques. Les accidents nucléaire des centrales de Tchernobyl et Fukushima on laissé des dégât physiques et psychologiques irréparables. Ces dernières années on néanmoins fait apparaitre des groupes, associations qui s’opposent catégoriquement à l’utilisation du nucléaire comme Greenpeace. Aujourd’hui la population semble

précipitées face à un désastre, mais il y a bien des sortes de chaînes de solidarité qui se forment, l'aide de tout un chacun ressurgit lorsqu'il s'agit d'aider une population à se reconstruire après un tremblement de terre. Les 129 pompiers de Fukushima, bien qu'ils soient volontaires, sacrifient très certainement leur santé dans leur objectif d'éviter que la situation n'empire au niveau de la centrale. Ils donnent la primauté à la survie des autres en dépit de la leur. Les catastrophes ont ceci