Freudo-marxisme

JOSEPH SCHUMPETER : LE TALON D'ACHILLE DU CAPITALISME Par Denis Clerc Schumpeter ne croit pas à l'avenir du capitalisme. Mais, contrairement à Marx ou Keynes, il pense qu'il est essentiellement menacé par la disparition des entrepreneurs. Une analyse qui conserve tout son intérêt, même si sa conclusion ne s'est pas vérifiée. À la fin des années 30, alors que l'Europe résonne de bruits de bottes, que les nations démocratiques ne parviennent pas à se sortir de la grande crise dans laquelle elles sont

I.- Nécessité de la critique La révolution russe est sans conteste le fait le plus considérable de la guerre mondiale. La façon dont elle a éclaté, son radicalisme sans exemple, son action durable, tout cela réfute admirablement l'argument à l'aide duquel la socialdémocratie allemande s'est efforcée, dès le début, de justifier la campagne de conquêtes de l'impérialisme allemand, à savoir la mission réservée aux baïonnettes allemandes de renverser le tsarisme et de délivrer ses peuples opprimés

la concurrence du capitalisme libéral. Harry Truman applique la politique du « contrainement ». il faut endiguer l’expansion du communisme et sauver l’Europe du désespoir. Est URSS : ruinée par la guerre a choisit depuis octobre 1917 la voix du marxisme = léninisme communisme. Staline (mort en 1953) applique la doctrine Jdanov = théoricien du communisme qui applique l’idéologie et la politique communisme contre l’impérialisme. RIDEAU DE FER EST – OUEST En 1947 on lieu de très grandes grèves

fait les États-Unis continuent à construire des alliances militaires et à renforcer leurs moyens dans ce domaine. Le monde reste une enceinte dans laquelle les forts cherchent à opprimer les faibles. Ceci reflète évidemment les valeurs réalistes du marxisme). Exemple 3 : le tiers-monde a tendance globalement à considérer la différence de richesse entre les pays développés et les autres et à estimer que l'insécurité du monde est la conséquence de ce fossé : la paix dans le monde exigerait

qu'il existe une « filiation » ou une relation de cause à effet entre l'idéologie marxiste et le résultat de la révolution russe: le totalitarisme stalinien. Cette remarque est intéressante dans la mesure où le marxisme apparaît impuissant à expliquer le stalinisme. En effet, pour le marxisme, l'histoire va dans un sens. Il y' a un processus historique qui va vers le progrès, la société sans classes. Or cette idée de progrès s'avère incapable d'expliquer l'avènement d'un Etat total, qui est une des

Le marxisme : Le marxisme est un courant à la fois philosophique, politique, économique et sociologique qui se réclame des idées de Karl Marx (1818-1883) et de Friedrich Engels (1820-1893). philosophes et théoriciens socialistes allemands L’humanité vivait au début dans ce qu’ils appelait « Le communisme primitif » ou il n’y avait ni classe politique ni état ni propriété privée… Pour Marx et Engels, "l'histoire de toutes les sociétés humaines jusqu'à nos jours n'est que l'histoire de la lutte

aujourd'hui largement délaissé dans la pensée sociologique française et, lorsqu'il est employé, rarement clairement défini (Lemel, Oberti, Reiller, Traoré, 1996). La non distinction entre son usage sociologique et son usage politique (par le ou les marxismes) y est naturellement pour beaucoup. Encore une fois, c'est donc dans le cadre du premier usage que nous situons notre discussion. Ce qui ne signifie pas que cette dernière en soit simplifiée, bien au contraire : nombre de sociologues pensent qu'il

contingente, au point qu'elle pourrait regrouper des individus appartenant à des classes différentes ? Dans ce second cas, le concept de « volonté collective » pourrait avoir été un moyen pour Gramsci d'échapper à un déterminisme de classe excessif dans le marxisme de son temps. Ces débats ont notamment fait rage autour de l'interprétation de Gramsci d'Ernesto Laclau et Chantal Mouffe, développée dans Hégémonie et stratégie socialiste1. Laclau et Mouffe privilégient une conception « contingentiste » de la volonté

Marx est un historien, journaliste, philosophe, économiste, sociologue, essayiste et théoricien révolutionnaire socialiste et communiste allemand du XIXeme siècle, célèbre pour sa critique du capitalisme et sa vision de l'histoire à l'origine du marxisme (théorie qui explique explique comment les prolétaires (« ceux qui n’ont rien d’autres à vendre que leur force de travail ») pourront s’organiser pour renverser le capitalisme et bâtir le socialisme. ) Il a fait partie des "hégéliens de gauche" 

Thème : Imaginez que toutes les entreprises d’un pays soient basées sur le modèle SCOP. Quel en serait les avantages et les inconvénients ? Au cours des trois premiers quarts du 19ème siècle, les ouvriers cherchaient à défendre leur droit au travail et leur autonomie. Des associations ouvrières ont été créées de façon clandestine, certaine loi comme celle de Chapelier de 1791 les interdisant. Les apports de théoriciens et de praticiens utopistes, popularisant les idées de communauté et de démocratie