Fraction rationnelle

bien l’expression d’une limitation non pas intellectuelle mais bien plutôt psychologique : quelque chose vient faire interférence dans le cours des pensées et trouble la rigueur calculatoire. Et ce qui distrait ainsi d’un enchaînement d’idées rationnel n’est pas forcément annulable par un simple effort de volonté ou de méthode. C’est la même inertie de pensée qui se manifeste quand un individu, en proie à une illusion, est incapable de voir ce qui saute aux yeux de tous ceux qui n’en sont pas

aléas des affaires 37 II. L’analyse partielle des charges 39 A. Les coûts variables 39 B. La méthode des coûts directs 41 C. La méthode des coûts spécifiques 41 III. L’analyse marginale 43 IV. La méthode de l’imputation rationnelle 45 Chapitre 5 : La gestion budgétaire : planification et contrôle budgétaire : 49 Partie 1 : La planification : 49 I) Stratégie et planification d’entreprise : 49 a. Différentes approches de la planification : 49 b. Etapes et processus

un centième près c) A 10-3 près Nombres rationnels Activité 6 Fofo essaie maintenant la touche marqué nombres relatifs. Consigne 1 : brainstorming a) Connaissais-tu le nombre ? b) Que peux-tu dire du nombre ? c) Quel nom peut-on donné aux deux nombres ? Consigne 2 Cite d’autres nombres rationnels Trouve le signe du nombre x dans chacun des cas : a) +9x = +5 b) +7x = -3 Consigne 4 : Consigne 5 Compare les nombres rationnels suivants : 13/3 et -7/5 ; 3/8 et 4/5 ; -13/7

de la consommation A -- Approches traditionnelles 1 -- Approche classique et néo-classique Dans l'analyse classique et néo-classique, c'est le comportement du consommateur qui tient une place essentielle. Le consommateur est censé être rationnel et cherche toujours à optimiser son revenu donc à maximiser, en quelque sorte, sa situation. Comme nous l'avons dit plus haut, les classiques et néo-classiques voient dans toute politique de relance de la consommation une source potentielle d'inflation

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 10 1.2 Fonctions élémentaires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11 1.2.1 Les fonctions polynômiales . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11 1.2.2 Les fractions rationnelles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11 i Table des matières 1.2.3 Les fonctions exponentielles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11 1.2.4 Fonctions trigonométriques . . . . . . . . . . . . . . . . .

est ´quivalente ` e a ((H et non C) =⇒ A) et ((H et non C) =⇒ non A). On suppose que l’hypoth`se H est vraie et la conclusion e C fausse. On montre qu’on a une contradiction : A et non A. √ Exo 2. Montrer par l’absurde que 2 n’est pas un nombre rationnel. – Par la contrapos´e : e On suppose dans ce cas que Buggs Bunny ne peut pas manger la carotte. Comme il est agile, on en d´duit qu’il n’a pas e d’escabeau. Elle consiste ` d´montrer (H =⇒ C) en montrant direca e tement l’assertion ´quivalente ((non

pluridisciplinaire Organisations publié en 1958 et coécrit avec Herbert Simon. Il est également connu pour son ouvrage sur la perspective comportementale sur la théorie de la firme avec Cyert (1963) où il remet en cause l’homo oeconomicus, parfaitement rationnel. Enfin, en 1972, il a travaillé en collaboration avec Olsen et Cohen sur la systémique-anarchique perspective de la prise de décision organisationnelle connue sous le nom de « Garbage can model ». C) Cyert et March Malgré, comme on peut

2006 1 I. Quelques erreurs relevées dans les classes I.1 Algèbre, équations • • • • (a + b) = √a + √b ; (a + b)2 = a2 + b2 ; - (a - b) = - a - b etc .... 3 x = 1 ⇔ x = - 3 ou 3 x = 0 ⇔ x = 1/3 ou 3 x = 0 ⇔ x = -3 Simplifications de fractions abusives Incompréhension d’une vérification numérique de solution d’équation 3 1 2 I.2 Géométrie → • Confusion entre AB, AB (vecteur), (AB) etc... • AB + BC = AC “ Relation de Chasles ” pour les longueurs • Démonstrations sur cas

. . ` ıtre 21.2 Fractions rationnelles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21.2.1 D´composition en ´l´ments simples d’une fraction rationnelle e ee 21.2.2 D´composition en ´l´ments simples dans C(X) . . . . . . . . e ee Recherche des coefficients associ´s aux pˆles multiples . . . . e o 21.2.3 D´composition en ´l´ments simples dans R(X) . . . . . . . . e ee 21.2.4 Primitives de fractions rationnelles. . . . . . . . . . . . . . . . 21.2.5 Primitives rationnelles en sin , cos . .

ıtre 21.2 Fractions rationnelles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21.2.1 D´composition en ´l´ments simples d’une fraction rationnelle e ee 21.2.2 D´composition en ´l´ments simples dans C(X) . . . . . . . . e ee Recherche des coefficients associ´s aux pˆles multiples . . . . e o 21.2.3 D´composition en ´l´ments simples dans R(X) . . . . . . . . e ee 21.2.4 Primitives de fractions rationnelles. . . . . . . . . . . . . . . . 21.2.5 Primitives rationnelles en sin , cos