Formule de Leibniz

et le conte philosophique, puis dans un second temps, nous verrons en quoi Voltaire c'est écarté du conte traditionnel. Et enfin, nous analyserons critique noblesse et la philosophie de Leibniz. Du conte traditionnel au conte philosophique Ce conte a les marques d'un conte traditionnel. La formule il y avait, ligne 1, rappelle il était une fois. La scène se déroule dans un château, décor par excellence du conte. Le temps de l'action est imprécis comme dans les contes

notre jardin ». Ce rappel des nécessités moque la providence des philosophes, car en attendant il faut bien travailler, et prendre soin de la terre ; les récoltes ne se feront pas seules ; et surtout les théories ne nourrissent pas les familles. La formule de Voltaire évoque aussi l’idée du jardin secret. On devine que ce qui importe est d’abord en nous-mêmes, dans nos sentiments et notre volonté. Que la vraie sagesse est de cultiver son âme, d’en prendre soin, comme disait Socrate. Cependant cette

paragraphe vient de ce que Voltaire adopte le point de vue naïf et intellectuel du jeune philosophe. La bataille se présente à lui d’une manière esthétique, comme « une harmonie ». Le mot renvoie en outre à la doctrine de « l’harmonie préalable » de Leibniz : dans cette perspective, la guerre cesse d’être absurde, car elle s’inscrit dans la logique d’une volonté providentielle qui veille au destin des hommes. L’accumulation des adjectifs et la répétition de l’adverbe intensif « si » traduisent l’émerveillement

philosophique. Formule qui reprend le début des contes « Il y avait ». Décor est un château. Nombreux superlatifs. (‘les plus douces, le plus simple, plus puissants, le plus beau’) 1) Des personnages fortement stéréotypés Personnages issus de la noblesse. Candide porte un nom qui caractérise sa naïveté. Cunégonde archaïde, et le baron avec des sonorités dures et graves. à Allitération en ‘T’. Thunder à tonnerre en anglais à intransigeance du baron. Le philosophe, Pangloss, formules savantes mais

degré, le coefficient dominant et le terme constant de Pn . 13. On considère la fonction g telle que g ( x ) = x 2 f ( x ) . Démontrer que g (n +1) = f (n ) 14. Rappeler la formule de Leibniz relative à la dérivée n-ième d’un produit de fonctions en indiquant les hypothèses. 15. En utilisant la formule de Leibniz pour calculer g (n ) ( x ) , démontrer que : (2) Pn +1 ( x ) = (1 − 2 (n + 1) x ) Pn ( x ) − n (n + 1) x 2Pn −1 ( x ) . CONCOURS COMMUN SUP 2007 DES ÉCOLES DES MINES D'ALBI,

seule liberté de l’homme, la seule chose dont il peut se targuer c’est d’être à l’origine du mal puisque les hommes n’ont pas de mérite si on entend par la gloire et prestige découlant d’élément positifs qui selon la thèse religieuse émane de Dieu. Leibniz, La Théodicé, il va se faire l’avocat de Dieu Mérimée, « La seule excuse de Dieu, c’est qu’il n’existe pas » Platon, Dieu du Thimée, « Dieu est innocent » (C’est un démurge qui n’a fait que donner sens au réel) Si une action est méritoire, elle

Lumières, la question de la liberté humaine est un sujet de réflexion pour les philosophes. Surtout pour Leibniz qui selon lui le mal existe d’abord parce qu’il découle de l’imperfection humaine qui distingue les hommes de Dieu. Puis, Leibniz affirme que Dieu a crée non pas un monde parfait mais « le meilleur des mondes possibles ». De là en découle la notion de Providence et de l’affirmation de Leibniz que « le monde est pour le mieux ». C’est donc ici la notion du « meilleur » et non du « bien » qu’il

Corrigs LEIBNIZ On considre habituellement que les hommes se diffrencient des animaux par leur capacit de rflexion et de raisonnement. Pourtant il est difficilement niable que les animaux ont des comportements qui tmoignent de certaines connaissances et de certaines facults de rflexion. Lorsquune corneille verse de leau dans une souche pour rcuprer les noix qui restent sinon inaccessibles au fond, elle fait preuve de connaissances sur la nature de leau et des noix ainsi que dune certaine capacit

par une démonstration logique. Selon Leibniz la démonstration | | |est un enchaînement de propositions qui se déploie par déductions à partir d’hypothèses tenues pour| | |assurées. Prenons ce raisonnement : 2+2=4 ; 1+3=4 donc 2+2=1+3. Dans ce raisonnement, les | | |hypothèses sont constituées des deux premières formules qui sont tenues pour assurées. La

Candide, chapitre I (lignes 1-51) Voltaire emprunte son incipit à la tradition des contes merveilleux ; ainsi, les premiers mots du texte reprennent la formule consacrée, le « Il y avait… » étant un écho évident des « Il était une fois… ». L’imparfait, qui est le temps dominant du passage, renvoie au temps indéfini des contes et légendes ; le décor de l’extrait semble lui aussi emprunté au conte : on retrouve un château, un baron puissant et une « princesse » désirable. Quant au héros du