Formule de Leibniz

à des éléments de doctrine (le cours est censé vous apporter ces informations, d’où la nécessité de le prendre en note). La problématisation du sujet. Le point de part d’une dissertation de philosophie est le plus souvent un sujet formulé sous la forme d’une question qui comporte au moins généralement deux notions mises en relation par un groupe verbal. C’est sur cette relation qu’on vous demande de réfléchir : son existence et sa nature. Exemple choisi et développé ci-dessous :

qu’il faut déduire d’un récit ou d’un discours. Cela concerne les Fables ou les apologues, qui sont des récits plaisants et divertissants qui ont pour but de délivrer une leçon de morale. Dans Candide, Voltaire cherche à s’attaquer à la thèse de Leibniz, laquelle énonçant que tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes. Il va ainsi la mettre à l’épreuve en faisant sortir son protagoniste, Candide, de son château utopique de Thunder-ten-tronckh pour qu’il puisse affronter le monde réel. À travers

à la vie humaine (chiffres doublés par rapport à la bataille de l'époque) Sujet : armes hommes = chair à canon D) La critique de Leibniz "ôta du meilleur des mondes environ 9 à 10 000 coquins qui en infectaient la surface" Si "tout va bien dans le meilleur des mondes", les morts ne peuvent être que des "coquins" "raison suffisante" E) Une formule fulgurante "boucherie héroïque" = oxymore => Opinion de Voltaire sur la guerre = massacre sanglant et inutile qui démystifie la notion

persanes, pour mieux dénoncer ce qu'il condamne. L'auteur le plus célèbre de contes philosophiques, Voltaire invite le lecteur à prendre conscience de l'imperfection humaine et de l'omniprésence du mal sur la terre tout en s'opposant à la théorie de Leibniz caricaturé sous les traits du Docteur Pangloss dans Candide, ce qui donne aussi une dimension satirique à l'œuvre. Le conte devient un moyen plaisant pour faire réfléchir le lecteur sur la place de l'homme dans l'univers, en réunissant la fiction

repousse à ce poser des questionnements de réflexion générale. Ceci nous ramène à Descartes qui s’est longtemps questionné sur le comportement animal quant à la comparaison avec l’humain tel le cas avec les mimiques et les cris. Une citation de Leibniz ‘’On y oppose ce qui vient a nous par le sens et ce qui est en nous’’ amène à deux sujets : la perception et l’aperception. Qui se conclu par il ne sait pas, il pense s’avoir. Sartre explique de belle manière la pensée de l’homme, au moment qu’il

civilisation. Rousseau est le seul philosophe des Lumières qui remette en cause la notion de “ progrès ” (au sens d’évolution nécessaire et bénéfique) de l’humanité. Cartésianisme Philosophie de Descartes et de ses disciples (Malebranche, Leibniz etc..) qui place le sujet conscient au centre de la connaissance, et qui considère que la raison (le ” bon sens “) est coextensive à l’homme et le définit. Avec une connotation péjorative, en particulier chez Heidegger : approche rationaliste et

cette critique de la philosophie de Pangloss, Voltaire critique celle de Leibniz. Allez, un petit extrait de la philosophie de Leibniz : La raison suffisante, parfois nommée « la raison déterminante » ou le « grand principe du pourquoi », est le principe qui a guidé Leibniz dans ses recherches : rien n'est sans une raison qui explique pourquoi il est plutôt qu'il n'est pas, et pourquoi il est ainsi plutôt qu'autrement. Leibniz ne nie pas que le mal existe. Il affirme toutefois que tous les maux ne

l'affirmer plus avant de peur d'être condamné par l'Église. Mais peut-être aussi que sa conviction profonde était celle d'un monde simplement indéterminé quant à sa forme et que sa véritable question n'était pas là. * C'est Descartes qui le premier formule les principes de la science nouvelle et la cosmologie mathématique : reductione scientae ad geometriam. Particularité du Dieu de Descartes qui n'a pas d'images dans le monde, hors notre âme, et qui ne manifeste que son immutabilité (qui est principe

Bergson assigne à la communication et la fonction que Leibniz avait assignée aux monades. Dans un processus de création continuée Dieu dispose toutes les monades de manière à ce qu’elles expriment sa pensée à travers la matière. Ces monades seraient pour chacune d’entre elle spécifique mais toutes reliées les unes aux autres par un dispositif en miroir. Il faudrait ramener le système global de Leibniz à l’échelle de l’humain mais les écrits de Leibniz ont du constitué un élément d’inspiration non négligeable

et particulièrement dans l’arithmétique et dans la géométrie, doivent avoir des principes dont la preuve ne dépende point des exemples, ni par conséquence des témoignages des sens, quoique sans les sens on ne se serait jamais avisé d’y penser. » Leibniz Préface aux Nouveaux essais sur l’entendement humain 1. Les « sens » sont les diverses fonctions de la sensibilité (la vue, l’ouïe, l’odorat, etc.). 2. Les « connaissances actuelles » sont les connaissances « en acte », c’est-à-dire en tant que