Fordisme Aspects Négatifs

accidents de travail Fin 19ème, analyse de Taylor organisation scientifique du travail, la tâche de travail qu’on étudie dans les moindres détails. Après il s’élargit et apparait le fordisme, système qui va être appliqué pendant les 30 glorieuses  NIVEAU de vie qui est bien, société de consommation. Fin des années 70, le fordisme va être remis en cause et le toyotisme apparait  plus de flexibilité et de responsabilisation des travailleurs II. Les frontières de l’économie du travail : Il y a une histoire

l’enfant dans le couple devient primordiale. Modèle de la famille à 2 enfants. - La post-transition : faible mortalité et natalité. Vieillissement fort de la population. Équilibre naturel proche de 0. L’Allemagne et la Hongrie ont un équilibre négatif (nombres morts > nombres nés). Plusieurs modèles de transitions démographique : - Modèles parfaits qui servent d’exemple. En Europe de l’Ouest (notamment en Grande Bretagne et en Suède) les transitions démographiques sont longues et durent

créatrice d’emplois, source de revenus, rôle majeur dans le développement économique local, régional ou nationale. De plus en plus, les entreprises veulent apparaître comme « citoyenne » (responsabilité écologique, sociale, morale, culturelle). Effets négatifs : pollution (bruit, fumées nocives, déchets), licenciements économiques. - - - Notions à retenir : Types d’objectifs Environnement (micro-environnement, macro-environnement) Relations clients/usagers, relations fournisseurs THEME

passer d‟un système artisanal à un système industriel, propice à la production de masse. Le développement de la technique permet une production de masse sans mesure avec la production des siècles précédents. L‟efficacité s‟accroit (taylorisme et fordisme), les échanges internationaux et les échanges entre secteurs se transforment, entrainant d‟une part une production importante mais également une augmentation du pouvoir d‟achat. On entre dans une période de retournement complet et de changement radical

keynésianisme (Nixon : « nous sommes tous des keynésiens ») II. 1973 ne prend pas par suprise : les signes inquiétants abondaient A. Le terme de surprise paraît adapté au cas du choc pétrolier B. Il l’est beaucoup moins en ce qui concerne les limites du fordisme et de la société de consommation C. … ou en ce qui concerne els déséquilibres de l’économie mondiale (crise monétaire en 1971, montée de l’inflation dès 68) III. Toute crise surprend : l’économie n’est pas une science exacte A. Dans le passé,

terme. Il faut également s’intéresser aux chocs d’offre. Il apparaît rétrospectivement que l’après GM2 était favorable aux politiques keynésiennes : reconstruction, rattrapage, acclimatation du fordisme, croissance nationale relativement autocentrée. Ensuite, internationalisation des économies, crise du fordisme, démantèlement partiel de Bretton Woods, globalisation financière : cela a réduit les marges de manœuvre rendant les conjonctures beaucoup plus dépendantes de l’environnement international (échec

contrario, un autre groupe de pays que l'auteur baptise "pays marginalisés", qui compte deux milliards d'habitants et comprend essentiellement les pays africains, a vu sa situation se dégrader au cours des années 80-90, avec un taux de croissance moyen négatif du revenu par 19 Par "stratégie extravertie", on entend une stratégie de développement basée en partie sur les exportations. 23 tête. Il s'agit de pays dont l'économie repose sur quelques matières premières de base, ce qui les rend particulièrement

secteur tertiaire. Un autre auteur SIMON a fait beaucoup évoluer les pensées contemporaines. Le point de départ de son analyse est de considérer que les structures ne correspondent pas seulement à une division technique ou sociale mais que des aspects informationnels et décisionnels doivent être pris en compte au sein d’une étude conduite en terme systémique. SIMON reformule tout d’abord la rationalité Taylorienne fondée sur le principe classique de maximisation. Pour lui, l’homme est condamné

secteur tertiaire. Un autre auteur SIMON a fait beaucoup évoluer les pensées contemporaines. Le point de départ de son analyse est de considérer que les structures ne correspondent pas seulement à une division technique ou sociale mais que des aspects informationnels et décisionnels doivent être pris en compte au sein d’une étude conduite en terme systémique. SIMON reformule tout d’abord la rationalité Taylorienne fondée sur le principe classique de maximisation. Pour lui, l’homme est condamné

| |La gratitude | |Ainsi les employés sont prêts à servir leur entreprise. En améliorant le fordisme par le Toyotisme de l'ingénieur Ohno Taiichi. Il permet d'améliorer | |sans cesse la production en multipliant les cercles de qualité , groupes de travail composés d'opérateurs et de cadres qui sont constitués parallèlement | |au principe de