Forces Faiblesses Systeme Bancaire

EXPERIENCE DU MAROC POUR PROMOUVOIR LA CROISSANCE ET L’INNOVATION DES PME PARIS, 26 OCTOBRE 2009 PLAN 2  Situation de la PME au Maroc :  Définition, en chiffres  Forces et faiblesses de la PME  Mesures adoptées en faveur de la PME…  Expérience de la Caisse Centrale de Garantie dans le financement de la PME  Présentation de la CCG  Nouvelle  PME stratégie:2009-2012 dédiés au financement des PME  Instruments Situation de la PME au Maroc 3 Problématique:

II. Analyse SWOT : FORCES * L’innovation dans les produits. * Large réseau de distribution. * L’Utilisation des nouveaux moyens de communication. | FAIBLESSES * Mauvais accueil dans les agences * Relation peu chaleureuse entre le banquier et ses clients * Services des autres banques plus intéressants. | OPPORTUNITEES * Un réseau de 63 agences bien intégrées au tissu régional * La possibilité de développer la vente de produits non bancaire (assurance, voyage) | MENACES

EXPERIENCE DU MAROC POUR PROMOUVOIR LA CROISSANCE ET L’INNOVATION DES PME PARIS, 26 OCTOBRE 2009 PLAN 2  Situation de la PME au Maroc :  Définition,  PME en chiffres  Forces et faiblesses de la PME  Mesures adoptées en faveur de la PME…  Expérience de la Caisse Centrale de Garantie dans le financement de la PME  Présentation de la CCG  Nouvelle stratégie:2009-2012  Instruments dédiés au financement des PME Situation de la PME au Maroc 3 Problématique: Décalage entre: - potentiel

Ghita[LE MARKETING BANCAIRE]Sommaire Introduction Partie 1 : Marketing bancaire 1- Définition du marketing bancaire  Le marketing bancaire et ses spécificités  Les caractéristiques du marketing bancaire 2- Les stratégies marketing  La stratégie de fidélisation  La stratégie de segmentation  La stratégie de positionnement 3- Le mix marketing  La politique de produit / service  La politique prix  La politique de distribution  La politique de communication 4- Le système de servuction  Le support

Plan Introduction 3 I. Analyse interne 3 A) Les forces  4 B) Les faiblesses  4 C) Facteurs d’influence : micro-environnement 4 II. Analyse externe 5 A) Opportunités  5 B) Menaces  5 C) Facteurs d’influence : macro-environnement 5 III. Décision stratégique 7 A) Stratégie adoptée 8 B) Logique, motivation et cohérence de la décision 8 IV. Préconisations 8 Conclusion 9 Le secteur des services s’est considérablement développé ces dernières

3 3 ▪ Loyauté du client ▪ Recherche commerciale 5 5 5 • Part relative de marché : A l’image du secteur bancaire, la structure des ressources de la BMCI est caractérisée par une prépondérance des dépôts à vue (plus de 60% des ressources de la Banque). Les comptes à échéance continuent cependant d’afficher une progression notable, malgré le relatif abaissement

hypothécaires. Nous avons vu aussi plus récemment, que la crise des crédits hypothécaires n’est pas la seule cause de l’effondrement de l’économie mondiale. Une forte croissance des fraudes et malversations financières dans le secteur bancaire. Nous pouvons citer entre autres l’affaire de la Société Générale Française, dans laquelle le trader Jérôme Kerviel[2], a fait perdre cinq milliards d’euros à sa banque en faisant des placements à risque et en ne respectant pas les procédures

| | |FONCTIONS |FORCES |FAIBLESSES | | | |

lesquels l’entreprise entend être présente et allouer des ressources de façon à ce qu’elle s’y maintienne et s’y développe ». Cette définition nous rappelle que la notion de la stratégie était déjà mise en pratique au niveau des intérêts dans les systèmes de guerre qui consistaient à atteindre une situation de conquête et de victoire. Dés lors, la stratégie nécessite qu’il y ait une ambition avec un projet et une vision lointaine avec des objectifs qui au niveau de l’entreprise permettra de réduire

entreprises qui ne présentent que 8%, créent 90% de valeur ajoutée et distribuent 84% de la masse salariale. L'industrie marocaine présente plusieurs traits de faiblesse. Le taux de croissance industrielle qui est d'environ 3.5% a été en dessous du taux de croissance du PIB pendant les 10 dernières années (4,1% en 2005). Cette faiblesse du secteur industriel se traduit par un apport moyen annuel de 16% du PIB durant les 10 dernières années soit 123 Milliards de dirhams en 2003. Sur la même période