Flux Migratoires Enjeux Espaces

la pertinence du découpage du monde en aires civilisationnelles, et d’autre part nous demander s’il est possible de cartographier une telle réalité. I. Qu’est-ce qu’une aire de civilisation ? Combien y en a-t-il ? Une aire de civilisation est un espace caractérisé par la prédominance d’une civilisation, constituée par l’ensemble d’une culture, d’un mode de vie et de pensée particuliers. En comparant le découpage civilisationnel de Samuel Huntington avec celui d’Yves Lacoste, on constate qu’ils n’ont

composition de l'Observatoire. 9 -> Les liens avec l'extérieur. 10 -> Le recueil d'informations : ses techniques et ses méthodes de recherches. 11 Dernière Partie : Les études récemment menées par l'Observatoire des territoires. 12 -> Étude n°1 : Les espaces urbains et leur population (Étude de 2011) 12 -> Étude n°2: Part des jeunes non insérés (Étude de 2009) 17 -> Les chiffres les plus importants : 19 Conclusion 20 Annexes 21 Bibliographie 23 Introduction Tout d'abord

historiques et géographiques pour lire le monde 2012 – 2013 Table des matières QUESTION 1 : LA MONDIALISATION EN FONCTIONNEMENT Chapitre 1.1 : La mondialisation : processus, acteurs et territoires I. II. III. IV. V. VI. 4 Un monde de flux croissants.......................................................................................................4 Des sociétés hyper-mobiles.........................................................................................................6

d'hectares) et un quart de toute la surface émergée du globe. En Europe, dans certaines régions du sud, en Espagne, au Portugal, en Grèce, 60 % du territoire présente des risques de désertification. La dégradation (‘perte des fonctions') des sols est un enjeu fort de développement durable : ses effets sont environnementaux, à la fois locaux (érosion des sols, dégradation de la fertilité et de la structure des sols, pollutions des nappes souterraines) et globaux (appauvrissement de la biodiversité

mondialisation d’avant 1914 est inégale Deux types de flux semblent valider l’hypothèse d’une mondialisation (ouverture mondiale) : - Les flux migratoires sont particulièrement spectaculaires entre 1901 et 1914. Flux intercontinentaux : l’Europe est de loin le principal pôle émetteur – les populations émigrantes se dirigent principalement vers les Etats-Unis, mais aussi vers les pays neufs (Amérique latine, dominions) et les colonies. Flux intracontinentaux : canadiens et mexicains vers USA, diaspora

Tourisme, développement et enjeux politiques : l’exemple de la Petite Côte (Sénégal) Introduction Au cours de la dernière décennie du XXème siècle, le secteur touristique sénégalais a connu une croissance soutenue : les flux internationaux sont passés de 246 000 arrivées en 1990 à 427 000 en 2002. Avec plus de 210 millions de $US en 2003 (contre 167 millions $ US en 1990), le tourisme est devenu le second fournisseur de revenus après la pêche ; ses revenus devancent désormais ceux des phosphates

se souvenir du passé sont condamnés à le répéter. » Les flux migratoires actuels ne sont pas un phénomène de génération spontanée. Ils sont intimement liés à des mécanismes plus larges d'intégration économique qui ont en quelque sorte « rétréci » la planète ces cinquante dernières années. Des régions reliées entre elles par des échanges de biens, de capitaux, de produits de base et d'information sont également reliées par des flux migratoires, mécanisme que l'on appelle désormais « la mondialisation

« Mare Nostrum » des Romains ou « mer du milieu » chez les Arabes, la Méditerranée n'est plus aujourd'hui le centre du monde. Aujourd'hui, elle s'étend du détroit de Gibraltar à celui du Bosphore et son espace englobe les États littoraux. La Méditerranée reste aujourd'hui encore un espace important puisqu'elle constitue une des interfaces les plus actives entre pays du Nord et du Sud. S'y côtoient, en effet, un pôle majeur de la Triade (UE), des PED, des pays de l'OPEP et des pays émergents (pays

dispositifs d’accompagnement et d’encadrement des migrants, à travers les passeurs, les njatigui/coxers [1], aussi bien dans les pays traversés que dans les pays d’accueil. Depuis le début du troisième millénaire, le durcissement des politiques migratoires dans les pays traversés et d’accueil et les conditions de vie de plus en plus difficiles dans les pays de départ, ont changé le visage de la migration clandestine. Elle est devenue massive et trop risquée. Elle devient une migration de désespoir

caractères généraux envisagés principalement d’un point de vue quantitatif. » Dictionnaire démographique multilingue, ONU, 1958 On étudie particulièrement les raisons de l'évolution de ce stock (population) grâce notamment à des flux. On va étudier la dynamique, l'ensemble des flux afin de prévoir ce que va être le stock dans le futur. On peut généraliser la démographique comme une étude statistique des populations humaine (structures et mouvements). Pour ensuite essayer de comprendre les facteurs de