Finalisme

permettant une « connaissance par corps assurant une compréhension pratique du monde ».(« familier ») (p 197). Digression sur l’aveuglement scolastique. Habitus et incorporation: l’habitus permet d’éviter deux écueils: « le mécanisme et le finalisme ». « Le sens pratique est ce qui qui permet d’agir comme il faut sans poser ni exécuter un « il faut » (kantien) ». Il y a une place importante de l’affectivité dans l’apprentissage « par corps ». Le corps devient « comme un pense-bête ». Une

qui se heurte partout à l’inertie de la matière. La nature est le lieu et le résultat de cet affrontement. La science moderne a tenté d’expliquer la nature en faisant abstraction de la vie, cette spontannéité incompréhensible au mécanisme et au finalisme. Or la nature, selon Bergson, nous averti par la joie que notre destination est atteinte. La joie et non le plaisir, car ce dernier ne serait qu’un artifice pour la conservation de la vie. La joie en revanche annonce toujours que la vie a réussi

univers qui n’est pas inerte mais vivant. Correction §20 : mais il y a quand même le refus de l’idée de « finalité » car elle ne pose qu’une seule voie où il fallait aller, un seul accomplissement possible. L’évolutionnisme de Bergson n’est pas un finalisme métaphysique : il porte en son cœur la notion de l’imprévisible. S’il n’y a rien de « prévisible » il n’y a aucune

l'analyse des stratégies de concurrence doit subordonner une description "interactionniste" (producteurs conscients) à une analyse structurale des conditions qui délimitent l'espace des stratégies possibles. Ceci permet d’éviter le piège, la fallacy du finalisme. Dés lors, considérant l’homologie entre l'espace structuré des producteurs (et de leurs produits) et l'espace des clients (notamment « segmenté » avec l’existence de « niches »), on observe bien que "la compétition n'est jamais qu'un conflit indirect"

perpétuer l'espèce et entrer en rapport avec Dieu. Les causes ici sont mêlées. La science s'occupe des trois premières causes mais la métaphysique étudie la cause finale, plus difficile et plus importante. La philosophie d'Aristote est donc un finalisme. c) Distinction entre forme et matière, acte et puissance. On trouve aussi chez Aristote une théorie de la substance c'est à dire de l'être qui se suffit à lui-même qu'il faut opposer à l'accident c'est à dire ce qui ne fait pas partie de l'essence

fondamental de l'humanité selon Auguste Comte, qui pousse l'homme à améliorer sans cesse sa condition. Durkheim a formulé toute une série de critiques à l'égard de la sociologie de Spencer. Ces critiques dévoilent le caractère pré - scientifique du finalisme spencérien. Pour lui, la finalité n'est pas la causalité. Il ne suffit pas de postuler l'existence d'une finalité commune à tous les hommes, encore faut-il s'assurer qu'il existe. Durkheim a montré par ailleurs qu'une fin individuelle ne peut en

l'enfant tend à attribuer des sensations, des sentiments et des intentions aux objets inanimés. Il est alors victime d'animisme (il plaint le rideau coincé dans la fenêtre), d'artificialisme (les montagnes ont été fabriquées par les hommes) et de finalisme (la lune a été placée dans le ciel pour permettre aux marins de s'orienter). Bref, il échoue à séparer le champ du subjectif de celui de l'objectif. Sur le plan spatial également, il éprouve des difficultés à imaginer qu'un même paysage peut être

un adulte à cet âge. L’animisme : pour l’enfant de ces âges, les objets ; les minéraux, les végétaux, les animaux sont animés d’une vie psychique et physique, il leur parle comme s’ils étaient capables de l’entendre et de le comprendre. Le finalisme correspond au besoin que l’enfant a de donner une explication à toute chose et à tout phénomène (le fameux « pourquoi »). C’est aussi la raison pour laquelle il est difficile d’en venir à bout. L’évolution morale : la morale de l’enfant n’est

moins croyant qu’un croyant des religions monothéiste ou autre, croire en Dieu c’est savoir qu’il existe, Spinoza c’est que la nature existe. Il s’oppose à 4 choses point par point; à la transcendance, le spiritualisme, l’anthropocentrisme et le finalisme. Pour lui un Dieu est à l’oeuvre dans la nature et c’est la nature elle même, il n’est pas autre aux autres scientifiques comme Averroès qui combine foi et savoir, l’activité scientifique me permet de croire en Dieu en le retrouvant dans la nature

Athéisme 1L’athéisme n’est pas que celui qui nie l’existence de Dieu. C’est une partie de la définition de l’athéisme mais elle ne regroupe pas toutes les questions. L’athéisme est une position attachée à des thèses philosophiques. L’âge classique regroupe différentes définitions de l’athéisme. Ralph Cudworth dans un traité de 1678, distingue quatre formes d’athéisme :- hylopathien. Ceux qui pensent que la matière sent. La matière inerte produit les formes.Anaximandre. Thèse en opposition avec la