Fin De L Hégémonie Européenne

Jusqu’à la fin des années 80, les relations internationales ont été profondément marquées par la bipolarisation et le face à face entre les Etats-Unis d’Amérique et l’URSS même en l’absence de l’affrontement direct suite à l’effondrement du bloc de l’Est, ce système bipolaire disparait donnant lieu au concept du Nouvel Ordre Mondial. Caractérisez les relations internationales depuis le démantèlement du bloc soviétique jusqu’à nos jours ? PLAN INTRODUCTION I- LA TERMINOLOGIE DE LA FIN DE LA

« Sortir de la guerre (1917-1920) : un défi européen» Introduction Le 11 novembre 1918, l’armistice est conclu entre les derniers belligérants encore engagés dans la Première Guerre mondiale ; le 10 août 1920, le dernier traité de paix est signé entre vainqueurs et vaincus. Ces dates semblent marquer clairement la fin d’un conflit long de plus de quatre ans et responsable de près de neuf millions de morts. Pourtant, pour les Etats et les populations impliquées, notamment en Europe, sortir

anglais et français de la ville mais aussi à Berlin-Est et par là même en RDA. ■ La situation de ce document situé au milieu des deux autres a pour objectif de pointer la position centrale et déterminante des États-Unis lors de la guerre froide dont la fin est évoquée dans le document suivant. DOCUMENT 3 : L’Europe sans rideau de fer Les chefs de gouvernement de deux pays du bloc Ouest et du bloc Est cisaillant ensemble les barbelés de l’ancien rideau de fer sont les représentants d’une Europe nouvelle

d’Europe politique a-t-il évolué depuis 1948, générant progressivement un modèle mais montrant aussi des limites ? I. L’histoire du projet politique européen : une alternance d’avancées et de crise 4 grandes étapes se dégagent dans la construction d‘une Europe politique. 1. Le congrès de la Haye, véritable point de départ de la construct° européenne - Une impulsion décisive est donnée par Winston Churchill. * En mai 1948, il est pdt d’honneur d’un Congrès à la Haye qui réunit 750 délégués

Sujet : Peut-on encore parler aujourd’hui de l’hyperpuissance américaine ? Introduction La fin de la Guerre Froide, provoqué par la chute de l'URSS en 1991, a semblé démontrer l'excellence du modèle américain. A la fin de cette guerre, les États-Unis demeurent la seule grande puissance à l'échelle de la planète. En effet, première puissance économique mondiale, celle-ci a les moyens d'influer sur l'évolution du monde. Mais cette superpuissance est aussi à l’origine de réactions de rejet,

colonisateur, les Européens n’hésitent pas à utiliser la population locale pour extraire les ressources souterraines. Pour ce faire, le système de l’encomienda (l’attribution d’un lot d’Indiens à civiliser en échange d’un tribut en nature et en services) est, dans un premier temps, largement appliqué à Potosi. En effet, avec la rumeur des richesses du Cerro Rico, beaucoup d’Espagnols affluent vers le Pérou en espérant devenir encomendero. On en compte 130 dans la région à la fin du XVIe siècle bien

Les causes profondes de la Révolution Industrielle « La Révolution Industrielle est un processus lent, graduel, se jouant sur la longueur » La première cause est liée à la créativité des pays européens. Charles Morazé a écrit à propos de la créativité des Européens : « l’Europe a crée un raffinement de civilisation qui porte en lui-même le ferment du progrès. Ce progrès n’est pas celui de la pensée seule, c’est celui des exigences, du confort, du luxe, tout autant que de la raison. » Seront

en donnant aux États-Unis un rôle décisif dans la victoire des Alliés, avec toutes ses conséquences, en particulier au plan financier, un volet qui leur manquait jusque là. C’est également l’Europe qui leur fournit le tremplin pour conforter leur hégémonie dans deux autres domaines, monétaire et stratégique, à l’issue de leur intervention dans la seconde guerre mondiale. Malgré les apparences, la ligne de conduite des États-Unis est loin d’être linéaire. Disons qu’elle est pour le moins sinueuse,

américain, les Etats-Unis occupent une place importante. Ils font partie de l’ALENA (Accord de Libre-Echange Nord-Américain), zone à laquelle adhèrent aussi le Canada et le Mexique, et de la ZLEA (Zone de Libre-Echange des Amériques), projet lancé fin 1994 auquel participent les trois Amériques (Nord, centrale et Sud), à l’exception de Cuba. La ZLEA, qui n’est autre que l’extension de l’ALENA à toute l’Amérique, aurait pour vocation de faciliter les échanges au sein du continent. Et les Etats-Unis

absolue, fixé à 2 dollars de revenu par jour et par personne, l’intéressé n’étant alors plus comptabilisé comme « pauvre ». A cette fin, ils s’étaient engagés à affecter 0,7 % de leur produit intérieur brut (PIB) à l’aide publique au développement. Quinze ans plus tard, en 1989, les mêmes groupes annonçaient que, à la suite de la disparition de l’Union soviétique, la fin du XXe siècle et le début du XXIe siècle allaient se caractériser par une nouvelle ère de paix mondiale. Il n’y aurait plus besoin