Figure Maternelle Dans La Vie Devant Soi

souviens de la chaleur de la cuisine et du fourneau brûlant, une lourde cuisinière en fonte où l'on voyait le feu, quand avec un crochet en déplaçait les ronds de la plaque, et qui comportait un réservoir constamment plein d'eau chaude. Ma mère avait mis devant le fourneau une chaise sur laquelle je me tenais debout tandis qu'elle me lavait et m'habillait. Je me rappelle cette délicieuse sensation de chaleur, et le plaisir que j'éprouvai à être, dans cette chaleur, lavé et habillé. Je me souviens qu'à chaque

comme Darwin ou Claude Bernard. Son œuvre s’inscrit parfaitement dans le mouvement du naturalisme, à la fin du XIXème siècle, dont il est le chef de file. Son roman L’Assommoir , appartient aux « Rougon-Macquart » et suit la vie de Gervaise, une femme de la classe ouvrière, de ses débuts à Paris jusqu’à sa déchéance et sa mort. Cet extrait est une description de l’alambic de L’Assommoir, un café fréquenté où l’alcool provoquera la mort de Coupeau et Gervaise, bien qu’ils soient

valeurs et dans l'apprentissage de la différence entre le bien et le mal, l'instituteur ne pourra jamais remplacer le curé ou le pasteur, même s'il est important qu'il s'en approche, parce qu'il lui manquera toujours la radicalité du sacrifice de sa vie et le charisme d'un engagement porté par l'espérance. » Nous avons alors délimité des bornes chronologiques allant des années 1950 à aujourd'hui dans le but de mettre en avant cette période de grand changements pour les instituteurs. Le professeur surnommé

poète romantique écrit un poème intitulé « La Mort du Loup » paru dans le recueil Les Destinées : il y évoque une chasse nocturne qui se termine par la mort du Loup suivie d’une réflexion morale sur les Hommes et sur la vie. Comment le poète parvient-il à ennoblir le figure du Loup pour mieux dénoncer l'influence morale de l'Homme ? II) Le Loup : un héros et un symbole 1) La transformation d’un animal sauvage 
en combattant sublime Progressivement le Loup, présenté d’abord comme un animal

Il y’a des personnes qui nous inspirent, des personnes totalement particulières, des personnes qui chargent un grand espace dans notre cœur ainsi que dans notre vie, que personne ne pourra jamais prendre. Parfois c’est très dur d’être loin d’elles, de ne pas entendre leurs voix, c’est difficile de voir à quel point notre bonheur dépend de ces personnes pas comme les autres. Généralement, ces personnes sont les gens qui nous ont mis au monde, nos chers parents qui nous ont donné la chance de venir

Le Bal     Introduction :  Le  Bal  est  une  nouvelle  qui  raconte  la  vie  difficile  d’une  jeune  fille  vivant  dans  une  famille  juive  allemande, à Paris. La nouvelle, écrite par Irène Némirovsky, a été publiée en 1930.     Irène Némirovsky, Biographie :  Irène  Némirovsky  est  née  à Kiev, en Ukraine,  en  1903, dans une  famille de banquiers  juifs. Son père  Léon,  était  un  banquier  très   riche   en  Russie  et  elle  a  grandi  entourée  par  la  richesse  et  l'élégance  à  Saint­Pétersbourg

soleil, la main sur la poitrine » (v. 13)4. b)Justification du choix du passageCe passage démontre qu’il ne bouge pas et qu’il est sans vie. Déduction5. a) b) Thèmes opposés : Vie et mort Il est tragique de voir le jeune homme mort dans un lieu où la vie continue, dans un décor magnifique; cela accentue le sentiment d’absurdité de cette mort.Réseau d’imagesRepérage des illustrationsInterprétationProcédés

agonisent, et d’autre part, il y a celles qui se perdent, qui se renient puis meurent dans l’oubli. Il y a également celles qui passent leurs journées à affronter la vérité. Des âmes torturées et perturbées en quête de leur personnalité, leur identité. La vie n’est qu’une sorte de course poursuite haletante, on doit savoir ce que nous sommes et ce que sont les autres. Ne pas nous fondre dans la masse pour ne pas être que l’ombre d’une autre personne qu’on a rencontré ou côtoyé. Que devons-nous faire ? Vivre

pour nous plus qu’un élément : une présence. Que pourrions-nous donc prendre pour une présence derrière cet élément ? Qu’est-ce que se cache derrière l’imagination de l’eau ? Premièrement, c’est l’image des eaux claires, brillantes qui donne la vie aux images fugitives et faciles matérialisant le mal. Ce sont les images superficielles qui ne laissent pas à l’esprit imaginant le temps pour travailler la matière et qui après une contemplation profonde deviennent « un organe du monde, un aliment

la personne de Rimbaud. Ainsi, alors que nous nous attendions principalement à la description d'une femme, une Bohème, le lecteur est probablement surpris de découvrir un tout autre personnage. B. un vagabond, un voyageur On a dans ce poème la figure du vagabond. Rimbaud semble réinventer l'amour dans le voyage comme il pourrait se ressourcer auprès d'une femme, il trouve son repos dans ce qui l'entoure. Omniprésence d'une personne toute autre que la femme attendue ; un vagabond aux vêtements