Fides

la foi chrétienne (p. 83). ----------------------- [1] Ce travail se fonde sur l’ouvrage reproduisant et présentant la Déclaration, publié conjointement en 2000 par Bayard Editions – Centurion, Fleurus – Mame, Les Editions du Cerf et Labor et Fides. Sauf indication contraire, les références se rapportent à ce livre. [2] Heinrich Denzinger, Symboles et définitions de la foi catholique, édité par Peter Hünermann pour l’édition originale et par Joseph Hoffmann pour l’édition française, Les Editions

l'existence de tout principe divin. Dans tous les cas, la croyance que l'on choisit n'est manifestement pas entièrement rationnelle. Raison et transcendance La question du rapport entre la foi et la raison est développée dans l'encyclique pontificale Fides et Ratio. Cette encyclique constate l'écart entre les deux termes, elle donne un éclairage sur les différents courants philosophiques de ces deux derniers siècles, et souligne les apports de la linguistique et de la sémantique dans le monde contemporain

consiste à des lois. Le Corpus Juris Civilis (Le Code Justinien) de Justinien Ier (483-565 après JC) rassemblent un grand nombre de règle de conduite dans la société romaine. Il parle surtout du respect du contrat, l'honnêteté dans les échanges (bona fides), la responsabilité des acheteurs d’être sur ses gardes et le juste prix. Par rapport à ce dernier concept, le droit romain établissait qu’un individu qui à été amené à payer plus de 50% de plus que le juste prix, pouvait demander compensation devant

plaga conciderit, ignominia senatus. Oportunum est, ut arbitror, explanare nunc causam, quae ad exitium praecipitem Aginatium inpulit iam inde a priscis maioribus nobilem, ut locuta est pertinacior fama. nec enim super hoc ulla documentorum rata est fides. Un rapport simple sur 2 pages Sed fruatur sane hoc solacio atque hanc insignem ignominiam, quoniam uni praeter se inusta sit, putet esse leviorem, dum modo, cuius exemplo se consolatur, eius exitum expectet, praesertim cum in Albucio nec Pisonis

réciproques. Le contrat de prêt est en principe gratuit et si le créancier souhaite se faire payer des intérêts il doit joindre au mutuum une stipulation qui va correspondre au versement d’une somme d’argent. - - La « fiducie » : a été formée sur le mot « fides » qui signifie la confiance. La fiducie est un contrat qui comporte le transfert de propriété d’une chose assortie d’un pacte de fiducie par lequel l’acquéreur s’engage à restituer la chose acquise. Ce type de contrat été utilisé à l’origine à Rome

guerres de religion. 2) Foi et religion: vérité ou illusion ? a) Le problème de « la vérité religieuse »: Pour comprendre les rapports entre religion et vérité il faut commencer par expliquer la nature de la foi religieuse; le mot foi vient du latin «  fides  » qui a donner en français « fidèle » et qui signifie confiance; le fidèle accorde toute sa confiance à un être supérieur/ suprême qui le nomme Dieu ou non et cet acte de confiance relève du sentiment immédiat donc n’a pas besoin de preuve pour se

qui est éclairé d'ailleurs, & l'opinion ne le peut pas sans y mettre de l'incertitude. Mais, dira - t - on, s'il n'y a point d'obscurité, il n'y aura point de foi, puisque la foi est des choses obscures, selon la définition de l'apôtre saint Paul: Fides est argumentum non apparentium. Je réponds à cela que l'obscurité essentielle à la foi reste toujours, parce que cette obscurité n'est pas celle de l'entendement, mais seulement celle des motifs de la révélation. Ainsi pour faire un acte de foi, il

thème “ Citoyenneté et intégration ” : - Atkinson T. (dir.), Pauvreté et exclusion, Rapport du Conseil d’analyse économique, La Documentation française, 1998. - Bauberot J., La Laïcité, quel héritage ? De 1789 à nos jours, Labor et Fides, 1990 ; Religions et laïcité dans l’Europe des douze, Syros, 1994. - Bihr A. et Pfefferkorn R., Déchiffrer les inégalités, Syros, 1999. - Bourdieu P., La Misère du monde, Seuil, 1993. - Castel R., Les Métamorphoses de la question sociale : une chronique

par le juge en équité selon l'Article 700 du code de procédure civile. De plus, le juge peut aussi faire preuve de bonne foi s'il y a un problème de loi injuste. Selon H. Mazeaud, « les notions de droit, de justice et d'équité » Aequitas und bona fides, certaines législations ont donnné « au juge la mission de juger la loi elle même quand elle viole les grand principes de justice édictés par la Constitution ». En Suisse, le juge peut aussi faire preuve de bonne foi selon l'article 4 du code civil

symbolique des Chapitres en franc-maçonnerie. Je dois vous dire mes FF. que je trouve cette définition un peu restrictive : je préfère cent fois celle proposée par André Comte-Sponville dans son livre7 sur « Une spiritualité sans Dieu », c’est-à-dire fides, fidelis8, autrement dit la Fidélité. Nous savons en effet que depuis saint Paul, les chrétiens retiennent les 3 vertus théologales citées dans le Rituel de Consécration du Chevalier R+C : pour eux elles sont censées avoir Dieu pour objet et qui sont