Ferdinand Ier d'Aragon

s'intéresser aux questions maritimes. Sa situation géographique fait de lui le finistère de l'Europe ; il participe peu aux échanges méditerranéens, c'est un pays mis sur le banc de touche. Au début du XVème siècle, en 1415, le roi du Portugal, Jean Ier, décide ce lancer l'ouverture de la grande période des découvertes, avec Ceuta, découverte en 1415, mais fût déçu des îles découvertes : il ordonna de descendre encore plus au Sud. Henri le Navigateur (1394-1460) donne une participation active aux

l’Amérique est un hasard : Christophe Colomb désire gagner les Indes pour des raisons économiques en passant par l’ouest. Pour cela il demande l’équipement nécessaire au roi du Portugal qui refuse. Il se tourne vers le roi et la reine d’Espagne, Ferdinand II d’Aragon et Isabelle I de Castille nommés les rois catholiques, et ils acceptent. Au final, Christophe Colomb réalise 4 voyages en Atlantique et c’est lors de son 1er voyage qu’il débarque dans les Caraïbes, le 12 octobre 1492. C’est ensuite autour

l'Asie en faisant voile plein ouest, il essuie de sa part un net refus. C'est finalement en Espagne que Colomb parvient à trouver les moyens nécessaires à la réalisation de son ambition. En 1492, les «rois catholiques» Isabelle de Castille et Ferdinand d'Aragon viennent en effet d'achever la reconquête de la péninsule sur les Arabes, en s'emparant du dernier royaume musulman, Grenade. Ils accueillent favorablement le projet de Colomb, en espérant qu'il permettra, en cas de succès, la diffusion du christianisme

du nom de Christophe Colomb pense pouvoir atteindre le même but en navigant vers l'Ouest sur l'Océan Atlantique. Partant du principe que la terre est ronde, il finira bien par atteindre les Indes. Il soumet son projet aux souverains espagnols Ferdinand d'Aragon et Isabelle de Castille qui acceptent en 1492 de financer son expédition.(parler des voyages de C.Colomb) Les voyages de Christophe Colomb permettent aux espagnols de s'établir tout d'abord dans les îles des Antilles où ils pensent trouver de

multitude de cité-Etat. En principe, ces dernières reconnaissent l'autorité de l'empereur du Saint Empire Romain Germanique (qui est Maximilien Ier, de 1508 à 1518), mais dans la pratique, les différents empereurs viennent rarement jusqu'à leurs possessions italiennes, et quand c'est le cas, c'est pour percevoir le tribut (comme l'a fait en 1510 Maximilien Ier). Mais au-delà de cet aspect féodal de loyauté d'un vassal envers son suzerain, les habitants de l'Italie sont libres de se faire la guerre les

chute de Constantinople (date retenue d'un point de vue académique français pour marquer la fin du Moyen Âge et le début de la Renaissance) en 1492 : prise de Grenade qui marque la fin de la Reconquista Espagnole (2 janvier 1492) alors que Ferdinand II d'Aragon et Isabelle de Castille éliminent le dernier royaume musulman de la péninsule espagnole, puis découverte de l'Amérique par Christophe Colomb et finit avec la mort de: Charles Quint (1558) Henri IV (1610) -date retenue d'un point de vue français-

marins partent d'un point connu et de dirigent avec leur boussole, en s'aidant des indications des portulans pour trouver leur route 17. Débuts de l'exploration portugaise (1400-1460) En 1297, après la fin de la Reconquista portugaise, le roi Denis Ier de Portugal s'intéresse personnellement au commerce et signe en 1317 un accord avec le marchand génois Manuel Pessanha , faisant de lui le premier amiral de la marine portugaise avec pour mission de défendre le pays contre les pirates musulmans 18.

III joue un rôle majeur dans la préparation de las Navas de Tolosa. Dès 1210, il promet des indulgences à tous ceux qui s’investiront par les armes ou par l’argent à cette guerre. Il ordonne aux évêques de France de prêcher la guerre. Jacques Ier d’Aragon prend la croix en 1236 et bénéficie de bulles de croisade. La politique des papes en péninsules donne à la reconquête une dimension internationale et universelle, inscrite dans la lutte globale de la chrétienté contre l’islam. Ainsi, le

rôle capital au cours de la première partie du xvie siècle : elle exerce une influence profonde en diplomatie et manifeste un certain intérêt pour les idées nouvelles, encourageant les artistes tant à la Cour de France qu'à Nérac. Sœur du roi François Ier, elle est la mère de Jeanne d'Albret (reine de Navarre et mère du futur Henri IV). Elle est aussi connue pour être, après Christine de Pisan et Marie de France, l'une des premières femmes de lettres françaises, surnommée la dixième des muses. Sa

dévolution de la couronne, première loi fondamentale du royaume de France. Avant cet évènement, il était considéré comme normal que les femmes héritent de fonctions politiques en l’absence de mâle dans la succession (exemple : Jeanne de Navarre ou Jeanne Ier reine de Navarre 1274 qui épouse en 1284 Philipe le Bel) En France, la reine n’est donc que l’épouse du roi. 1 La femme comme enjeux politique : le lignage Il est un des rôles de la femme qui ne déroge à aucune règle, c’est le lignage. Ainsi,