Femme Soumise

d’égalité en matière de droits politiques est inscrit dans la Constitution marocaine, la Constitution de 1962 a accordé un ensemble de droits et de libertés aux citoyens (confirmé par les constitutions de 1970, 1972, 1992 et 1996) – « l’homme et la femme jouissent de droits politiques égaux » –, que les femmes ont acquis depuis 1963 le droit de vote sans restrictions et que le Maroc a ratifié la Convention sur l’élimination de toutes formes de discriminations à l’égard des femmes le 21 juin 1993 (CEDAW)

position de la femme au sein de la famille a beaucoup évolué du début du XXème siècle jusqu’à maintenant. Tout d’abord, la femme était considérée comme une mère au foyer, qui devait s’occuper des tâches ménagères et éduquer les enfants. En effet, la femme était donc soumise par l’homme, qui lui, occupait une très grande place dans la famille et en dehors. Jean-Michel Gaillard utilise un mot très fort, « l’obéissance de la femme ». Cependant, au début du XXème siècle, la position de la femme dans la société

Catherine est une jeune fille obéissante, soumise et respectueuse envers sa mère. Par exemple, quand Eilif se fait emmener par le recruteur, Catherine, essayant d’aider sa mère, « saute de la carriole et émet des sons rauques. » (p. 20) Emile et Schweizerkas veulent quitter leur mère et joindre l’armée. Les frères réussissent. Mais Catherine n’a jamais pu vivre le vie qu’elle voulait vivre. Catherine veut épouser un homme et avoir des enfants. La jeune femme garde espoir que la guerre se finira promptement

faible statut pour entrer dans la bourgeoisie. Aussi, l’hyperbole : «Le peu que vous étiez» rabaisse à son plus bas la condition sociale d’Agnès. Bref, en rappelant à Agnès les avantages sociaux de cette union, Arnolphe la convainc de devenir sa femme. Ensuite, il vante la bienveillance dont il fait preuve en la mariant. Tout d’abord, le verbe mélioratif «admirer» propose la contemplation de ce qui est magnifique, dans ce cas, la compassion qui habite Arnolphe. De plus : «Je puisse me louer de

femmes -Leur émancipation 2) Contexte Le féminisme apparaît en France sous la révolution, comme doctrine issue du siècle des Lumières et des salons des femmes de lettres du XVIIIème. Olympe de Gouges rédige, en 1791, une déclaration des Droits de la femme et de la citoyenne. Mais ces revendications d'égalité entre hommes et femmes ne sont pas entendues par les révolutionnaires. Le féminisme en France a été en relativement en retard par rapport aux autres pays d'Europe: par exemple, la Grande-Bretagne

La publicité utilise donc massivement le désir sexuel comme un appât. la femme est seulement présente pour attirer le regard, elle ne joue qu'un rôle de provocation. Elle en est réduite à exhiber son corps pour attirer l'attention. Le corps féminin n'en est donc réduit qu'à un simple instrument de séduction ou à un objet de désir. Les femmes sont représentées souvent trop embellies, ne reflètant pas la réalité, ou alors bien souvent dégradées. Puisque l'objectif est d'attirer le regard, les

où elle parle de son éducation à Valmont. Comment est créée ce personnage complet qu'est la marquise ? Dans mon commentaire je vais d'abord vous parler de la marquise et de son apprentissage (libertine et actrice) et de son refus de sa condition de femme. Dans une seconde partie, je vous parlerais de l'esprit de lumière et de comment Mme De Merteuil pervertis cette esprit du XVIIIeme siècle. I).Sur la grande scène du monde a- Les différentes étapes de l'éducation d'une libertine  : La première

 Femme-Enfant Jean Price Mars dans son essai : «  La femme haïtienne de Demain ». a ecrit qu’on reconnait et apprécient le degré et la valeur d’une culture ou d’un pays grâce a la position assignée aux femmes dans cette société. Cette position dérive de tout un ordre de préoccupation et n’est en définitive qu’une conséquence logique d’une certaine conception de la vie elle-même c’est ce qui fait qu’on dit qu’elle est développée, moderniste ou pas.

allant du IVème siècle avant J-C à 1668 après J-C. Le premier, La marmite de Plaute, date du IIIème siècle avant J-C. Dans cet extrait, il s’agit d’une altercation entre un maître tyrannique, Euclion, et son esclave qui ne lui est pas tout à fait soumise, Staphyla. Le second, L’avare de Molière, date de 1668. Il s’agit là d’une tirade mettant en scène un personnage, Harpagon, perdu sans son argent et qui accuse tout le monde et menace donc de les faire pendre . Le dernier texte, Lysistrata d’Aristophane

d'une vie soumise au déterminisme, à l'automatisme.   Critique de la bourgeoisie, Flaubert s’est livré aussi à une dénonciation du romantisme dont le réalisme est l’antidote nécessaire. Ce romantisme est surtout féminin, et il a pu affirmer : «Ma pauvre Bovary souffre et pleure dans vingt villages de France». Il dénonça d’ailleurs aussi l'incompatibilité entre hommes et femmes, le roman étant un tableau d'une certaine condition féminine, une dénonciation de la dépendance de la femme, de sa réduction