Femme Nue Femme Noir

à l'ombrelle, 1867 Bal du moulin de la Galette, 1876 Au jardin - Sous la tonnelle au moulin de la Galette, 1876 Madame Charpentier et ses enfants, 1878 Déjeuner des canotiers, 1881 Les Grandes Baigneuses, 1887 Jeunes filles au piano, 1892 Femme nue couchée, 1906 Claude Renoir en clown, 1909 IV) Description de l’œuvre - Présenter l'œuvre Le moulin de la galette, a été peint par Pierre-Auguste RENOIR en 1876. Il est plus connu sous le nom du Bal du moulin de la galette. La scène se déroule

improvisation, improvisation et encore improvisation ! Rico donnait un thème et 3 ou 4 personnes allaient improviser dessus. Avec Elise, Aude et un garçon on a eu le thème « Vous êtes un couple et vous allez au restaurant pour que le mari demande sa femme en mariage, elle refuse et dit pour quelle raison. » Aude avait le rôle de l’épouse, le garçon du mari, Elise de la serveuse et moi le chef du restaurant. On a choisi qu’Aude avait un amant et n’aimait plus son mari. C’était très comique ! Après

régulateur. À ses pieds se trouve un chat blanc. Devant la toile, un petit berger comtois, pieds nus dans ses sabots, avec les cheveux en bataille, regarde la toile. Il est le symbole de l'innocence et de la vie. À droite du peintre se trouve une femme nue, son modèle qui regarde le peintre travailler ; elle est de profil et est coiffée d’un chignon ; elle retient avec ses deux mains une grande draperie qui traîne sur le sol ; ses habits sont jetés négligemment sur un tabouret. Serait-elle un modèle

l'artiste, j'avais uniquement devant les yeux cette toile qui renferme toutes les autres. Nous avons ici, comme disent les amuseurs publics, une gravure d'Epinal. Olympia, couchée sur des linges blancs, fait une grande tache pâle sur le fond noir; dans ce fond noir se trouve la tête de la négresse qui apporte un bouquet et ce fameux chat qui a tant égayé le public. Au premier regard, on ne distingue ainsi que deux teintes dans le tableau, deux teintes violentes, s'enlevant l'une sur l'autre. D'ailleurs

thématiques abordées au cours de notre analyse. 2) Présentation rapide de Blake Edwards et des differents thématiques abordées au cours de notre analyse 3) Analyse générale de l'homme qui aimait les femmes ( Truffaut ) 4) Analyse générale de l'homme à femme ou the man who loved women ( Blake Edwards ) 5) Analyse comparée de la séquence du départ de Bezier pour Montpellier 6) Analyse comparée de la séquence de l'imprimerie Sorti en 1977. L'Homme qui aimait les femmes est un film français de Francois

rencontre sa femme, Gala qui deviendra à la fois sa femme (civilement en 1934 puis religieusement en 1958), son amante et sa muse (Dali peindra de nombreuses fois celle qu'il à épouser et follement aimé). Dali développa un style propre et se transforma à son tour en une référence, il absorbait les influences de divers courants artistiques (futurisme, cubisme ...), il aborde dans ses œuvres différents thèmes comme le rêve, la sexualité, le comestible, la religion et comme dit précédemment, sa femme Gala

et de nombreux détails descriptifs. Ce panneau, connu sous le titre Gabrielle d'Estrées et une de ses sœurs, relève d'un thème très caractéristique de l'école de Fontainebleau, celui de la dame à sa toilette. Selon une composition récurrente, la femme, nue, est présentée à mi-corps devant un fond d'intérieur domestique traité en perspective. Gabrielle d'Estrées et la duchesse de Villars – identité supposée et non établie des deux femmes – renvoie à l'esthétique de la beauté féminine, tout empreinte

commun, ce sujet est la femme aimée. Baudelaire était très inspiré par ce thème et on peut remarquer que de très nombreux poèmes font référence à ce thème. La section Spleen et Idéal est très importante dans ce recueil, c’est pourquoi trois des cinq poèmes choisis appartiennent à cette section. Tout d’abord ; Le Balcon. La Beauté. Avec ses vêtements ondoyants et nacrés. Et ensuite dans le reste du recueil ; Lesbos. Les Bijoux Ces cinq poèmes font tous référence à la femme aimée qui est le principal

Vélazquez. Il est alors à l'apogée de sa carrière et le titre de Premier peintre de la Chambre vient enfin récompenser ses efforts. Il travailla également pour l'ambitieux Manuel Godoy, dont il immortalisa la maîtresse et future femme Pepita Tudó sous les traits de la sulfureuse Maja nue (v. 1799-1800) et de la Maja vêtue . Mais ce point culminant de la carrière de Goya est aussi marqué par une grande déception : ses Caprices (Los Caprichos), un recueil de gravures à l'eau-forte et à l'aquatinte publié en

et lointain. Au pied de son lit git une femme morte à demi allongée. Le calme du roi contraste avec le reste de la scène. Tout autour de lui se déroule un drame : une série de meurtre. En bas de la diagonale, un oriental musclé, au regard féroce, transperce le dos d’une femme avec son épée. Cette femme comme toutes les autres dans ce tableau est quasiment nue. A gauche de cette scène, un cheval gris richement orné subit le même sort mais cette fois par un noir. Les meurtres se poursuivent en arrière-plan