Femme Nue Femme Noir

Descriptions naturalistes semaine + tard) Présentation des personnages secondaires 1 jour Premier repas chez Sandoz : harmonie entre les amis IV (30 pages) Août 1862 – Amitié Claude/Christine, leurs promenades. Mars 1863 En mars, Christine pose pour la femme du tableau de Claude 8 mois V (30 pages) 15 mai 1863 Le salon des Refusés – rires de la foule face au tableau de Claude 1 jour « Plein air » et fureur de Claude Première nuit d’amour avec Christine VI (32 pages) Mai 1863 – Idylle à Bennecourt. Naissance

chante une rivière Accrochant follement aux herbes des haillons D'argent; où le soleil, de la montagne fière, Luit: c'est un petit val qui mousse de rayons. Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue, Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu, Dort; il est étendu dans l'herbe, sous la nue, Pâle dans son lit vert où la lumière pleut. Gustave Courbet, l'homme blessé, 1844 Gustave Courbet, l'homme blessé, 1844 Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme Sourirait un enfant

psychosomatique 2008/2 (n° 50), pages 19 à 35 & Citer ou exporter " Ajouter à une liste # Suivre cette revue $ % MADAME ROSA OU LA VIEILLESSE AU FÉMININ UN VIEUX CORPS SEXUÉ « Plus profondément surgie de l’inconscient, la terrible vision de Rosa nue, corps obscène, hypertrophié, où se renversent et se confondent les hiérarchies corporelles, renvoie à quelque fantasme effrayant de “Tête de Méduse” dans lequel Freud percevait l’effroi du garçon devant la castration [8]. » UN VIEUX CORPS SOUFFRANT

haleine, échauffe-moi la vie, Mille et mille baisers donne-moi je te prie, Amour veut tout sans nombre, amour n'a point de loi. Baise et rebaise-moi ; belle bouche pourquoi Te gardes-tu là-bas, quand tu seras blêmie, A baiser (de Pluton ou la femme ou l'amie), N'ayant plus ni couleur, ni rien semblable à toi ? En vivant presse-moi de tes lèvres de roses, Bégaie, en me baisant, à lèvres demi-closes Mille mots tronçonnés, mourant entre mes bras. Je mourrai dans les tiens, puis, toi ressuscitée

lourdes. Je me rendais compte de l’absurdité de ma situation, mais j’étais incapable de faire quoi que ce soit pour sortir de cette stupeur dense et monotone. Soudain, j'aperçus une île nue et apparemment déserte, mais une vieille femme solitaire s'y trouvait: elle avait un visage exactement comme sur les photos noir et blanc que j’avais vues sur Internet. Son visage était beau, mais ridé et froid. Elle était là, toute seule, avec sa tenue élégante. Elle était assise d'une manière pittoresque sur les

trois   œuvres   («   Le   mariage   de   la   Vierge   »   de   Raphaël,   la   «   Madeleine   aux   deux   flammes   »   de   Georges   de   la   Tour,   et   «   La   femme  du  roi  »  de  Paul  Gauguin)  tout  l'intérêt  de  s'intéresser  à  des  œuvres  religieuses   qui,   tout   en   reprenant   un   certain   nombre  d'éléments  de  représentation

avérés », Huysmans entreprend, dans Là-bas en 1891, d'étudier le phénomène du satanisme en partant du cas historique de Gilles de Rais et en poursuivant son sujet jusque dans ses manifestations contemporaines. Il se documente en assistant à une messe noir, fréquente les milieux ésotériques, s'initie à la kabbale et se plonge dans l'étude du symbolisme et de l'occultisme. Le symbolisme est un mouvement littéraire et artistique de la fin du XIXème siècle apparu en France et en Belgique, en réaction

Tête de la galerie des rois de Notre-Dame de Paris COMMENTAIRE DE DOCUMENT : 1. Description : Cratère à figure rouge, centre un perso nue qui porte une massue, une peau de Lion et un arc ; motifs végétaux en guise d’ornement qui encadre la scène. Femme habillée casque, lance. Lignes représente le relief 2. Problématique : Sur la rupture vase à figure noir/ rouge Thème de la guerre (mais avoir connaissance pour comparer)  Historique : En quoi cette scène témoigne du style du vie/ de la manière

« l'art dégénéré » en 1937 à Munich. Description L’œuvre est composée de couleurs vives, chargées de dégager une émotion, les traits sont simples et peu travaillés, c'est un art inspiré du Moyen-age. Ce sont des couleurs pures (blanc, jaune, rouge, noir), la couleur dominante est le jaune qui permet de se focaliser sur les personnages et le rouge attire le regard, mettant ainsi le christ en évidence. Les expressions sont radicales et les personnages grotesques. Les personnages bibliques sont représentés

changent  L'été taille la nue au tablier des anges Le ciel n'est jamais bleu comme il l'est sur les blés Les vents chassent en vain les chagrins de l'azur Tes yeux plus clairs que lui lorsqu'une larme y luit Tes yeux rendent jaloux le ciel d'après la pluie Le verre n'est jamais si bleu qu'à sa brisure Mère des Sept douleurs ô lumière mouillée Sept glaives ont percé le prisme des couleurs Le jour est plus poignant qui point entre les pleurs L'iris troué de noir plus bleu d'être endeuillé