Femme Nue Femme Noir

terre. Ce ruisseau remonte en sa source, Un bœuf gravit sur un clocher, Le sang coule de ce rocher, Un aspic s'accouple d'une ourse, Sur le haut d'une vieille tour Un serpent déchire un vautour, Le feu brûle dedans la glace, Le Soleil est devenu noir, Je vois la Lune qui va choir, Cet arbre est sorti de sa place.Théophile de Viau Théophile de Viau est un dramaturge et poète du XVIIème siècle. Il écrit Œuvres poétiques en 1621 dont Un Corbeau devant moi croasse… est extrait. Ce poème baroque

(signifiant à la fois le confort et la mollesse)montre, bracelet doré et sac en skaï noir (ostentation).Les bleus peuvent laisser penser qu’il s’agit d’une femme battue. Elle a le regard vide, fatigué. Son attitude est à la fois décontractée et pataude. L’ensemble (apparence, vêtements, accessoires) donne au personnage une image disgracieuse, de mauvais gout, voire vulgaire. On Louise : peut penser que cette femme fait partie d’une catégorie sociale plutôt modeste. Elle est ainsi très éloignée des

l’œuvre Description de l’œuvre : Sur cette peinture, la première chose qui nous interpelle est la femme nue ( Gala, la femme de Dali) qui est représenté sur une sorte de plate-forme, elle est entourée d’objets et d’animaux qui sont particuliers. On peut voir deux tigres, le premier a l’air de se faire attaquer tandis que le deuxième donne l’impression de pointer une carabine sur la jeune femme. Dans le ciel, nous pouvons voir un éléphant qui est en train de voler comme une sorte de montgolfière

la guerre, la paix et les 4 parties du monde. Tout d’abord la guerre > Dans cette partie de la fresque on voit au premier plan un char on pourrait penser à un corbillard. Il roule sur un sol recouvert de sang. Sur le char on voit une grande personne nue, elle tient d’une main une épée ensanglantée.  Il porte sur son dos une sorte de hotte où sont entassés des crânes humains. 

réaliste, relatant le désespoir et l’ennuie d’une femme prénommée Emma, qui rêvait à l’amour depuis son enfance. Mariée à un homme inintéressant (Charles Bovary), sa recherche du bonheur et de la passion ne fut pas comblée. Ce désespoir l’entraîna à tromper son mari à plusieurs reprises, avec des amants différents. Ces liaisons furent toutes aussi passionnantes les une que les autres. Une menace de saisie menaça ensuite Charles et Emma. La pauvre femme qui n’en revenait pas, en est tombée gravement

représente un jeune couple dans un lit. La jeune femme assise à califourchon sur son ami se tient le bras pendant que le jeune homme lui fait une injection. L'acte est presque érotique, la jeune femme est à demi nue, le poing serré et appuyé fort contre le torse de son ami. On voit toute la tension du corps de la jeune femme et l'on ressent toute l'intensité et la souffrance de cet échange. La seringue et au centre de l'image et le visage de la jeune femme est hors cadre ce qui donne l'impression quelle

enfant baptisé Jeanne, elle aussi. A la suite de sa naissance, l’état de santé d’Amedeo s’est aggravé, il ne lui restera plus que quelques années à vivre. Modigliani mourut de la tuberculose, à paris à l’’âge de 36 ans en 1920. Le lendemain sa femme se suicida laissant leur fille, Jeanne, orpheline. Avant de s’intéresser à la peinture, Amedeo va d’abord s’exercer aux dessins et aux sculptures. Les premières sculptures et premiers tableaux de Modigliani vont annoncer un faible

soixante pas où sa route est bornée, Son pied sonore et vigilant; Le sommeil du tombeau pressera ma paupière. Avant que de ses deux moitiés Ces vers que je commence ait atteint la dernière. Peut-être en ces murs effrayés Le messager de mort, noir recruteur des ombres, Escorté d'infâmes soldats, Ébranlant de mon nom ces longs corridors sombres, Ou seul dans la foule à grands pas J'erre, aiguisant ces dards persécuteurs du crime, Du juste trop faibles soutiens, Sur mes lèvres soudain va

à quelques couleurs : ocre rouge, ocre jaune, terre verte, noir. ntre-temps, l'intérêt du public est venu. Toujours soutenu par Durand-Ruel, qui avait organisé une grande exposition de Renoir en 1892, le peintre peut travailler librement. Malgré les rhumatismes qui, à partir de 1898, commencent à ruiner son corps et le condamneront à la paralysie, il poursuit jour après jour son effort créateur, à Paris, à Essoyes – le pays de sa femme, en Bourgogne –, dans le Midi surtout, où il se retire à Cagnes

avaient l’habitude de les idéaliser, mais que leur souffrance avait tout autant d’intérêt. L’atelier du peintre Courbet a peint ce tableau en 1855. La technique qu’il a utilisée est l’huile sur toile, et il commençait toujours ses toiles par un fond noir. Son nom complet est L’Atelier du peintre. Allégorie Réelle déterminant une phase de sept années de ma vie artistique (et morale). Il se trouve actuellement au musée d’Orsay à Paris. Il utilise le format de peinture historique pour représenter ce tableau