Faut Il Respecter Une Loi Injuste

Chapitre 1 : Comment peut-on définir le droit? « Les juristes cherchent encore pour une définition du droit ». KANT Avec l’absence de droit, de règles, ce serait l’anarchie. La règle de droit est une règle de conduite sociale dont le respect est assuré par l’autorité publique. La règle de droit est décidée et sanctionnée par l’état. Le droit, c’est d’abord les interprétations « tout condamné à mort aura la tête tranchée ». Le droit c’est la richesse du métier de juriste. Section

précis : il s'agit de savoir quel type de bien est la justice et en particulier si elle est un bien en elle-même. s’il vaut mieux commettre l’injustice pour servir nos intérêts personnels en dépit de la vertu qu’elle suppose ou bien s’il faut préférer la justice au service de l’intérêt collectif. Glaucon et Socrate sont tous deux partisans de la justice, néanmoins ils vont chercher à exposer les deux thèses suivantes : l’une en faveur de l’injustice, Attention, il s'agit ici

de la loi morale III) À quelles conditions l'obéissance aux lois peut-elle nous rendre justes ? A. L'homme comme être à la fois égoïste et capable de moralité B. Droit et morale sont donc complémentaires pour réaliser la justice C. Mais l'obéissance doit se douter d'une volonté d'obéir Conclusion Intro : Un début de problématisation ... Que faire alors face à une loi injuste ? Le Criton développe la solution classique. Le citoyen juste doit faire passer son respect de la Cité

personnel mais l’imposition d’une restriction dans notre liberté. Elle est très vaste et on peut la visualiser sous différents angles comme la culture, le pays, la religion… Alors jusqu’où peut-on l’atteindre ? Peut-on être totalement libre ? Quel effort faut-il faire ? La Déclaration des droits de l’Homme et du citoyen de 1789 affirme lors de son premier article : « Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits ».Ce qui donne comme droit à chaque être humain d’avoir une liberté, de plus

on veut désigner le système juridique alors qu'avec le « d » les prérogatives de chacun comme un salarié qui dirait j'ai le droit à un salaire. Ce sont les droit subjectifs, cad les droits de chacun. Il faut distinguer la notion du droit mais pas confondre le droit. L'approche extrinsèque il faut étudié le droit en lui même non pas avec les notions exterieurs mais aussi avec l'intérieur (intrinsèque). a) L'approche extrinsèque Il entretient des rapports étroits mais se confond pas il y a trois

NON-RESPONSABILITE (Faits justificatifs) §1 La justification par l’ordre de la loi ou le commandement de l’autorité légitime Si sous l’ancien Code Pénal, il fallait retrouver les deux conditions (ordre de la loi et commandement de l’autorité légitime), le nouveau Code Pénal retient l’ordre de la loi et l’ordre donné par une autorité légitime (si l’acte n’est pas manifestement illégal) comme deux causes de justification. A Ordre de la loi Article 122-4 al. 1 du Code Pénal : « N’est pas pénalement responsable

d’opinion et de pensée. Mais une manifestation peut dépasser la limite de l’obéissance. D’autres exemples le démontrent bien, comme la grève. C’est en cela que nous allons nous demander si la désobéissance est un accès direct à la liberté. Quel sens faut-il donner à la désobéissance ? S’imposer grâce à la désobéissance peut mener jusqu’à la liberté ? Peut-on être libre si on obéit ? Est-il possible d’allier obéissance et désobéissance ? La question de la liberté et de la désobéissance en impose implicitement

mais en aucun cas il n’a voulu faire de compromis avec les juges puisqu’il était fidèle à ses valeurs. Même quand Criton lui avait proposé de s’évader, il a fait passer la justice avant tout puisqu’il se sentait obligé, selon ses valeurs, de respecter la loi. Il a donc été exécuté en espérant que ses croyances allaient se perpétuer au-delà de sa mort et que la cité allait permuter pour le mieux. Bref, la sagesse socratique a commencé à l’oracle de Delphes et a eu une mauvaise réputation même si tout

lui-même dans cette situation. Ainsi, il explique que l’Homme veut bien une « loi » pour limiter la liberté, mais surtout celle des autres car son égoïsme prend le dessus pour conserver tout de même ses intérêts. C'est à dire que même si l'homme peut faire certaines concessions pour la vie en société, il ne se dépossédera pas volontairement de sa liberté individuelle et des atouts donnés par la nature. Pour Kant il faut donc un « maître » qui renonce à ses intérêts, qui encouragerait l'homme à se

= intérêt des plus faibles ? [342 e] —} on blâme l’injustice par crainte de la subir et non de la commettre [344c] - [348a] réflexions sur la vertu et le vice : Position de Socrate : juste = vertu / injuste = vice Position de Thrasymaque : juste = ingénuité d’une bonne nature/ injuste = discernement judicieux, sagesse - « le juste ne prend pas avantage de son semblable, mais de celui qui n’est pas juste comme lui », tandis que l’injuste se joue de tout le monde [359d] - position