Famille de gènes

Genetics October 1, 2004 vol. 168 no. 2 1087-1096) 1087 Les gluténines et les gliadines sont des protéines des grains de blé qui jouent un rôle essentiel essentiel dans la panification. Les chercheurs ont localisé sur les chromosomes du blé tendre les gènes codant pour ces protéines. Ils sont notés respectivement Glu et Gli. Document 4A : Reconstitution de l’histoire évolutive des blés Document 4B : Un scénario pour la formation des blés blé dur et tendre : une hybridation d’hybridation suivie d’une

[pic] II. Les familles multigéniques (II a). Cinq gènes Esr pourraient intervenir dans le développement du grain de Maïs. Question : A partir de l'exploitation du document, trouvez des arguments pour montrer que ces gènes appartiennent à une famille multigénique. Remarque : Attention, j'attends une argumentation solide étayée par des explications précises. Document  Le génome du maïs contient 5 gènes Esr (Esr 1 à Esr 5) qui codent les 5 séquences d'acides

vivantes. Au cours des dernières années, des entités intermédiaires ont été découvertes : le mimivirus, infectant une amibe, possède dans son génome 1 200 gènes (davantage que certaines bactéries). Certains de ces gènes participeraient à la synthèse protéique et à des mécanismes de réparation de l’ADN12. Il existe chez le mimivirus une trentaine de gènes présents habituellement chez les organismes cellulaires mais absents chez les virus. Le virus ATV d’archées présente lui aussi des caractéristiques étonnantes

quantitative Identifier et quantifier les sources de variations des caractères quantitatifs : Effet du génotype Effet de l’environnement Effet de l’interaction Proposer un modèle pour le déterminisme génétique des traits quantitatifs : un grand nombre de gènes (déterminisme plurifactoriel), souvent inconnus. Mesurer la variabilité génétique sur les traits quantitatifs : notion d’héritabilité (h²). Déterminer le potentiel d’évolution (Est-ce qu’il va répondre à la sélection). Déterminer les corrélations génétiques

déroulement anormal de la méiose au sein des cellules germinales. Lors de la méiose, une translocation est transfert de fragments de chromosomes entre chromosomes non homologues. Elle peut aboutir à des gamètes sans perte d’information génétique et de gènes, on parle de translocation équilibrée ou à des gamètes possédant moins ou au contraire plus d’information génétique que les gamètes « normaux », on parle de translocation déséquilibrée. Si l’organisme « transloqué » est viable et fertile, la méiose

recherche sur des bactéries informe sur la nature d’un cancer… • La capacité à réparer les altérations de l’ADN retarde l’accumulation de mutations. • Le cancer du colon de type HNPCC • Prédisposition au cancer/cancer sporadique • Le Syndrome XP • Les gènes impliqués dans le contrôles de la division • La chronologie du développement d’un cancer 2 Les généralités sur le cancer Pour un organisme pluricellulaire, le rythme de division doit être contrôlé. Le cancer: une maladie dont l’origine est la

supérieur dans une famille présentant déjà des individus malades. Il y a donc une composante génétique à cette maladie. Dans le document que nous allons vous présenter ci-contre, on étudie le cas d’une famille de 5 personnes. On sait que l’insuline en se fixe sur des récepteurs spécifiques présents à la surface des cellules cibles à l’aide d’un gène. Ainsi, le séquençage de ce gêne à était effectué pour y voir le niveau d’insulino-résistance et hyperinsulinémie des membres de la famille. Cependant,

Homo sapiens sapiens (notre espèce) apparaît il y a – 160 000 ans : c’est l’Homme de Crô-Magnon - L’Homme de Néanderthal serait une espèce différente d’Homo sapiens (en discussion) - toutes les populations humaines actuelles possèdent les mêmes gènes et les mêmes allèles : ils appartiennent à la même espèce - la différence entre les populations actuelles réside dans la fréquence des allèles variable selon la population - Homo sapiens serait une espèce née en Afrique ou au Proche-Orient et qui

71 4.11 RNA polymerase II 72 4.12 Initiation de la transcription 73 4.13 Liaison TFIID sur le DNA 74 4.14 Regulation de la RNA polymerase 75 4.15 Elongation de la transcription 76 4.16 Elongation de la transcription 77 4.17 Discontinuite des genes 78 4.18 Exon 79 4.19 Exon 1 80 4.20 Fin de la transcription 81 4.21 Modifications du transcrit 82 4.22 Enzyme coiffante 83 4.23 Coiffe d�fun messager 84 4.24 Queue polyA 85 4.25 Le transcrit primaire 86 4.26 Excision - epissage 87 4.27 Formation

C'est que, semble-t-il, nous n'avons que 30.000 gènes (contre 50.000 à 100.000 annoncés précédemment ), « perdus au sein de vastes étendues désertiques », ne servant apparemment à rien. 30.000 gènes alors que la mouche du vinaigre en a plus de 13,000, tel ver près de 20.000, cela bouscule notre approche de la relation entre nombre de gènes et complexité des capacités de l'espèce, en l'occurrence l'espèce humaine ! Cela veut dire aussi que les gènes n'expliquent pas tout, qu'un gène a sans doute plusieurs