Explication De La Crise Selon Keynes

John Maynard KEYNES (1936) Théorie générale de l’emploi, de l’intérêt et de la monnaie Traduit de l’Anglais par Jean- de Largentaye (1942) Livres IV, V et VI Un document produit en version numérique par Jean-Marie Tremblay, professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi Courriel: jmt_sociologue@videotron.ca Site web: http://pages.infinit.net/sociojmt Dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales" Site web: http://www.uqac.uquebec.ca/zone30/Classiques_des_sciences_sociales/index

- !1 / 6 - ! ! ! A. Le problème du chômage dans les pays développés. ! 1. Définition et mesure du chômage. ! Définition. a. ! Selon le Bureau international du travail (BIT), est considéré comme chômeur (donc au chômage), !✏ un actif sans emploi (de plus de 15 ans), à la recherche d'un emploi et immédiatement disponible pour travailler. ! définition très restrictive amène à comptabiliser 2 326 900 chômeurs au mois de janvier 2006 mais ce nombre Cette BTS 2 – ÉCO. G. Objectifs du

d’organisation de la production a donné aux entrepreneurs et à l’État un rôle clé dans la croissance ? C’est le fordisme qui a donné aux entrepreneurs et à l'État un rôle fondamental 4) Quels sont les déterminants centraux de la croissance selon les auteurs de la régulation ? Ce sont les rapports sociaux et les règles institutionnelles qui les encadrent 5) Qu'est-ce qui distingue PIB et PNB ? Le PIB correspond au PNB + ce qui est produit par les entreprises étrangères

valeur volume : fiche de rappel 2. le PIB par hbt C. un cycle économique étude d'un document : taux de croissance du PIB français en volume (base 2000 en %) au vidéo projecteur mise en commun et correction retenons : vocabulaire : expansion, crise, ralentissement, récession, dépression et reprise II. une croissance inégale A. dans le temps: * un phénomène récent : étude et mise en commun  : TCAM du PIB/hbt * un phénomène irrégulier :............................................:

théoriques en matière de politique économique autour de trois grands courants de la pensée économique: –Le courant classique: •Avec ses différentes ramifications, il se méfie de l’Etat et est plutôt favorable au laisser faire. –Le courant keynésien: •Keynes postule que l’économie n’est à l’équilibre qu’accidentellement; la politique économique vise à corriger les déséquilibre constants. –Le courant marxiste: •Pour Marx, la propriété privée est une aberration. L’Etat a donc une vocation exclusive à

baisse de l'inflation Cette mutation ne se fait pas toujours sereinement et des craintes apparaissent: * risque d'une trop grande financiarisation de l'économie nuisant à l'investissement productif et à l'emploi, et favorisant la spéculation (la crise des subprime peut illustrer les risque de la financiarisation dans un cadre mondialisé) * risque d'une croissance ralentie, moins dopée par le crédit, et nécessitant une forte épargne préalable Conclusion: Ces dépenses étant supérieur à ces

l’orientation politique d’un gouvernement, selon qu’il privilégie ou non l’intervention de l’État dans les processus économiques. 1. LES DIFFERENTES PRINCIPES La politique budgétaire constitue, avec la politique monétaire, l’un des principaux leviers de la politique économique de l’État. Elle consiste à utiliser certains instruments budgétaires (dépenses publiques, endettement public, prélèvements fiscaux) pour influer sur la conjoncture économique. Jusqu’à la crise des années 1930, la gestion des finances

désindexation 6.6 Changement de monnaie 7 Aperçu historique des théories économiques de l'inflation 7.1 Les prémices de l'analyse classique 7.1.1 Selon la doctrine des effets réels 7.2 L'analyse classique de l'inflation 7.2.1 Théorie quantitative de la monnaie 7.2.2 La demande de monnaie 7.3 L'école keynésienne 7.3.1 Les descendants de Keynes 7.3.2 L'analyse de la Synthèse néo-keynésienne 7.3.3 L'analyse post-keynésienne 7.4 L'analyse monétariste 7.5 La nouvelle école classique 8 Notes

commerce extérieur. On n’a pas confiance dans le commerce (un gagnant/un perdant et on essaye d’être le gagnant). Adam SMITH* (cf). Puissance des états/enrichissement des marchands/Commerce international. Il n’accorde aucune valeur au mercantilisme =/= KEYNES*. 1. L’époque mercantiliste Cette période se caractérise par des progrès décisifs et des transformations sociales importantes. En 1450, marqué par des pb comme recule démographie, famine, épidémies, guerres (des 100 ans)

monnaie n’est pas le retrait en billet ou en pièce sur le compte d’un particulier. Cette notion d’encaisse monétaire désirée est apparue en Angleterre chez des économistes de l’école de Cambridge (PIGOU et ALFRED MARSHALL qui seront les professeurs de KEYNES) mais également en France. On trouve cette notion dans l’ouvrage de LEON WALRAS dans Traité d’économie pure. La demande d’encaisse monétaire peut être définie soit en terme nominaux exprimés en unité de compte = encaisse monétaire nominale, soit