Explication De La Crise Selon Keynes

Le krach de 1929 est une crise boursière qui se déroula à la Bourse de New York entre le jeudi 24 octobre et le mardi 29 octobre 1929. Cet événement marque le début de la Grande dépression, la plus grande crise économique du XXe siècle. Les jours-clés du krach ont hérité de surnoms distincts : le 24 octobre est appelé jeudi noir, le 28 octobre est le lundi noir, et le 29 octobre est le mardi noir. |Sommaire | |[masquer]

leurs encaisses, les agents vendent leurs titres contre de la monnaie, ce qui conduit à un excès d’offre sur le marché des titres. Par conséquent, les prix des titres baissent (loi de l’offre et de la demande) et le taux d’intérêt augmente (effet Keynes, le taux d’intérêt augmente pour rééquilibrer le marché de la monnaie via la demande de monnaie pour motif de spéculation qui est une fonction décroissante du taux d’intérêt). Cette augmentation du taux d’intérêt à des effets négatifs sur l’investissement

les esclaves de quelque économiste passé. Les illuminés du pouvoir qui se prétendent inspirés par des voies célestes distillent en fait des utopies nées quelques années plus tôt dans le cerveau de quelque écrivailleur de Faculté[1]. » John Maynard Keynes, Théorie générale de l'emploi, de l'intérêt et de la monnaie, chapitre 24, 1936 Sommaire [masquer] 1 Les précurseurs de l'économie 1.1 Le Code d'Hammurabi 1.2 La pensée économique de l'Antiquité orientale et grecque 1.2.1 Thalès 1.2.2 Xénophon

distinguent les sous-emploi des ressources humaines (chômage) et les sous utilisations des capacités de production (matières premières). Excédent de production par rapport aux dépenses = entreprise débauche de la main d’œuvre, l’économie est en crise si la baisse de production et l’augmentation du chômage sont importantes. L’économie est en récession si ces phénomènes ont une faible amplitude. C’est la théorie de l’emploi et la théorie des cycles. Problème 5 : Est-ce

cesse de diminuer, notamment du fait de la fameuse « spirale prix-salaire ». Dès lors, certains attribuent la « crise » des années 1970 et 1980, les « vingt piteuses », à l’insuffisance des profits, qui expliquerait l’insuffisance de l’investissement, un investissement ici donc vu comme autofinancé. Tend alors à s’imposer une vision connue sous le nom de « théorème de Schmidt », selon laquelle « les profits d’aujourd’hui font les investissements de demain et les emplois d’après-demain »… On ne peut

être le primum mobile, le revenu serait l'une des dernières explications . La consommation ne s'explique pas par le revenu . A revenu identique, la consommation diverge ; à revenu médiant, il y a des personnes qui vivent très bien et d'autre mal . De plus, il y a le problème de goûts, cultures, .. => vers les années 60, on se dirige vers des explications macro. 1.1.1 La fonction de consommation selon la macroéconomie : Cette approche est la première et la

grandes fonctions de l'économie Introduction: Cette distinction entre acteur et fonction est récente, elle relève de la COMPTABILITE NATIONALE( analyse entrée /sortie). Ce système née au milieu du 20ème ( 30-50). On doit la comptabilité nationale à KEYNES et à W.LEONTIEF(1905-1999, http://fr.wikipedia.org/wiki/Wassily_Leontief). Cependant, lorsque l'on parle de comptabilité nationale MODERNE on l'a doit au Français FRANCOIS PERROUS (hétérodoxe) et à J.FOURASTIE(1907-1990,à l'origine de l'expression

circuit. Trois auteurs macro-économistes ont majoritairemt travaillé sur les théories du circuit et la dernière expression est celle de Keynes. Son raisonnement : Une première catégorie d’agents prête à une seconde qui achète pour vendre à une troisième qui vend pour acheter. Il est aujourd’hui considéré comme le père fdateur de la macro-économie et malgré la crise qu’à subit le keynésianisme à cause d’une mauvaise interprétation, son analyse est toujours appliquée ntmt en compta nat et sa vision

classique: -liaison: représentation de l'économie en terme de classe social antagoniste (travail source principal de richesse; l'accent sur le travail est une vision pessimiste voir catastrophique sur le devenir du système capitaliste) - rupture: selon Marx, le fait qu'il n'existe pas contrairement ce que pensaient les économistes classiques qu'il existait une loi économique naturelle. Pour Marx l'économie est dans la société et la société est dans l'histoire d'où la relativisation des lois économiques

économique, et les économistes se sont attachés non seulement à mesurer ces cycles, mais aussi à en trouver des explications et surtout à proposer des mesures qui permettent de contrer les manifestations de ces cycles quand ils ne paraissent pas souhaitables. Seulement, l’intérêt que portent les économistes aux fluctuations de l’activité apparaît très différencié selon les périodes et selon les régions. L’étude des cycles à longuement constitué un thème de prédilection des auteurs anglo-saxons parce