Existence

- Un honnête Homme Un honnête homme qui veut plaire. (Dumarsais) La nature de l’homme est sociable, parce qu’il aime bien-être et il se plait dans un état de sécurité. C’est la nature d’un être qui cherche à se conserver, qui veut rendre son existence heureuse et qui saisit avec ardeur les moyens d’y parvenir. - Un Homme actif Un homme né pour l’action, et qui se propose comme idéal, la bienfaisance envers son prochain. Il n’attend rien des hommes, il sait être ami. - Un Homme de dialogue

À première vue, le bonheur dans ce texte est un thème très exploité. Selon Créon, le bonheur, c’est de dire « oui ». Avant tout, le bonheur pour Créon se résume à un bonheur simple et tranquille, d’une existence humaine, avec la vieillesse et dans l’acceptation comme par exemple : se marier avoir des enfants, vieillir… D’ailleurs, selon celui-ci , la vie est synonyme de bonheur et les gens ne connaissent pas la véritable valeur du bonheur, cela s’explique par la citation suivante : « C’est une eau

Larocque et des réseaux sémantiques sur la philosophie : "Définition de la philosophie"et "Définir le concept de questionnement philosophique." La philosophie est une discipline réflexive qui porte sur le sens que l'être humain doit accorder à son existence, sur le monde dans lequel il vit et sur les différentes dimensions de la connaissance et de l'action . Ces réflexions demandent du calme et une attitude réfléchie de la part du philosophe. La philosophie est un discours qui porte sur "les problèmes

savoir. Nous venons de voir que ce qui apparaît comme un mal, être une personne “simple d’esprit”, peut être en réalité un bien ; pour Socrate, ce fut la même chose pour sa mort, rappelons que pour lui, c'était néfaste de perdre la valeur de sont existence alors qu’en réalité ce fut une libération à l'égard du corps. Socrate disait que la vie s’était se préparer a mourir, et que tout ce qu’il savait, c’est qu’il ne savait rien. Sa vie tournant vers la soif de connaissance, il ne voulait donc pas être

comporter une dimension vécue que l'on ne saurait réduire à ce qui précède. Ces deux plans de l'existence humaine ne sont pas nécessairement compatibles : par exemple, l'existence des libertés juridiques est constatable, alors que la réalité (son existence dans nos actes) et l'essence (la conception que nous nous en faisons) de la liberté posent problème. Le premier point peut faire l'objet d'une enquête socio-politique ; son fondement métaphysique et le second point concernent plus particulièrement

Jérôme et Sylvie ont également un groupe d’amis qui leur ressemble dans leur vision de la vie, mais ces derniers vont, eux, petit à petit, chacun trouver un emploi stable qui va les éloigner de Jérôme et Sylvie et de leur vision de leur vie. Leur existence devient de plus en plus chaotique, ils n’ont rien construit de réelle et ce constat mine de plus en plus leur moral. Soudain, la guerre d’Algérie va les sortir peu à peu de vie cette vie frustrée. Effectivement, Jérôme et Sylvie vont s’engager dans

l’avenir. Transition I  II Si l’arbitraire est la seule garantie de la liberté, alors nous pouvons nous demander très sérieusement si la liberté vaut la peine d’être défendue. A quoi bon la liberté si tout ce qu’elle nous promet c’est une existence absurde, dénuée de sens ? Mais il est de toute façon faux de dire que l’arbitraire représente le degré le plus élevé de la liberté, car il en est manifestement, au contraire, le degré le plus bas. En effet, remettre toutes ses décisions au hasard

couple seront plus fréquentes. D’autre part, l’affection d’Adolphe pour sa conjointe commence à prendre une allure différente passant d’un bel amour frivole à un attachement influencé par le bonheur d’Éllénore. En effet, le fait de  «  déranger son existence » le fait irrémédiablement trembler. De plus, la date fixée pour le nouveau départ d’Adolphe approchait et « en y passant, un mélange de plaisir et de regret ; semblable à ce que ressent un homme qui doit acheter une guérison certaine par une opération

qu'à condition que je porte mon regard sur lui, il devient alors en fait : mon propre monde, car il ne serait pas comparable à celui d'une autre personne. Mais si le monde est perçut grâce à ma conscience, il à besoin de moi pour exister, mais mon existence à moi, elle ne dépend que du monde humain.

veux prendre la chaise de poste, n'étant pas assez fort pour faire la route à pied, l'argent me procure le repas et la chaise de poste, c'est-à-dire qu'il transforme mes vœux – êtres imaginaires – et les transfère de leur existence pensée, figurée ou voulue, dans une existence sensible, réelle ; il les fait passer de l'imagination à la vie, de l'être figuré à l'être réel. Cette fonction médiatrice fait de l'argent une puissance véritablement créatrice. Sans doute, l'envie existe aussi chez qui n'a