Existence

existentiel, parfois ils oublient qu’ils attendent Godot et la raison de cette attente.il serait intéressant de lire une autre pièce portant sur l’absurdité qui aborde l’existence puisque cela nous amène à nous poser des questions sur notre propre existence.

pensons au présent, c’est pour « prendre la lumière pour disposer de l’avenir », c’est-à-dire pour aller plus vite vers l’avenir. De plus, « le présent n’est jamais notre fin », ce qui veut dire que nous ne faisons pas du présent le but de notre existence mais comme le passé, il est seulement « un moyen » pour « disposer de l’avenir » qui lui seul « est notre fin ». C’est pourquoi, comme « le seul avenir est notre fin », « nous ne vivons jamais, mais nous espérons de vivre ». C’est là la conséquence

Fondement : manière dont les grp soc sont hiérarchisés et leur relat° (stratificat° soc). a. Définition des groupes sociaux MARX : les classes soc sont déter par la posit° de l'inf ds le processus de p° (capitaliste ou pas). On peutdéf leur existence de classes « réelles » (classe en soi) mais elles sont + renforcées par la prise de conscience des ind d'apartenir à un même groupe dont les intérêts sont communs. ==> conscience de classe (qui fond la classe pour soi) → L'évo des CSP : prof

acte, sa pensée est réelle; mais il oublie que cette certitude ne rejaillit pas sur le contenu, la correspondance de ce qu'il dit avec la réalité de ce qui existe. L'opinion confond la réalité éprouvée d'une pensée et la réalité effective d'une existence.

Les choses de la nature n’existent qu’immédiatement et d’une seule façon, tandis que l’homme, parce qu’il est esprit, a une double existence ; il existe d’une part au même titre que les choses de la nature, mais d’autre part, il existe aussi pour soi. Il se contemple, se représente à lui-même, se pense et n’est esprit que par cette activité qui constitue un être pour soi. Cette conscience de soi, l’homme l’acquiert de deux manières : primo, théoriquement, parce qu’il doit se pencher sur lui-même

"Les choses de la nature n'existent qu'immédiatement et d'une seule façon, tandis que l'homme, parce qu'il est esprit, a une double existence; il existe d'une part au même titre que les choses de la nature, mais d'autre part il existe aussi pour soi, il se contemple, se représente à lui-même, se pense et n'est esprit que par cette activité qui constitue un être pour soi. Cette conscience de soi, l'homme l'acquiert de deux manières : Primo, théoriquement, parce qu'il doit se pencher sur lui-même pour

l'Émile (livre I), lorsque l'enfant crie en tendant la main vers l'objet qu'il ne parvient pas à saisir, il commande à cet objet de venir à lui. Il croit que tous les êtres matériels sont doués de vie et de volonté. C'est l'un des drames de notre existence que d'être marquée par cette découverte : les choses ne nous entendent pas ; elles sont soumises à des contraintes qui nous échappent. Être, c'est pour nous être au monde, et savoir ainsi que notre vie se déploie au cœur d'une réalité qui est régie

et donne un sens au monde. Dans ce texte il sera question de l'Étranger d'Albert Camus. Idée directrice: Montrer l'absurde Idée principale: Indifférence Explication: Meursault est indifférent envers tout ce qui l'entourre, il mène une existence neutre et insignifiante, sa vie ne semble pas avoir de but, il n’a aucune valeur et il ne se sent concerné par rien. Tout semble égal et sans importance à ses yeux, il ne s'implique pas. Il n'a pas de passion dans la vie, il ne fait que passer le

pouvoir sur la conscience de soi, sur ce que chacun est pour lui-même, et ce par la médiation de cette même conscience de soi? 3) La problématique - Comment conduire une vie, une existence, alors que tant de menaces pèsent sur le sujet, que tant d’angoisses l’écrasent, de la terreur de la mort et du temps jusqu’aux troubles issus des passions ? Comment assurer le salut de l’âme et échapper aux puissances de - Plan progressif qui procédera par déploiement et analyse de plus en plus fouillée

comme tel, or le surnaturel existe et il l’affirme l’avoir vu. Toutefois, la description des faits et de son angoisse est faite avec autant d’exactitude qui les autres personnages, et même le lecteur, sont amenés à croire dans la véracité de cette existence. Le conte fini par la phrase du docteur Marrande : « Je ne sais si cet homme est fou ou si nous le sommes tous les deux..., ou si... si notre successeur est réellement arrivé »². Cette fin inexacte de l’histoire propose au lecteur une confusion et