Euro Croissance

compétitivité-prix, devient primordial. Rappel : Marché de change  Le marché de change est de loin le plus grand marché du monde. Chaque jour, plus de 3200 Milliards de dollars sont échangés, principalement sur la parité ou cross de devises euro / dollar qui représente 28% des échanges. Son volume de transactions quotidien moyen éclipse les trois bourses de valeur américaines et le marché des obligations combinés. Le marché de change n'a pas d'emplacement physique, C'est un marché basé sur

on peut très vite rencontrer des difficultés de trésorerie si l'un de nos clients venait à cesser de travailler avec vous ou ne parvenait plus à vous régler. Ainsi, aujourd'hui encore certaines entreprises font faillite car pour accélérer leur croissance elles engagent des dépenses trop fortes pour un retour sur investissement trop faible (psa Peugeot qui été obligé de fermer son site à Aulnay sous-bois) ou trop peu rapide. Certaines entreprises se voient également contraintes à la faillite du fait

Maastricht." Il faut dire que les différents pays ont des intérêts divergents. L'Allemagne a toujours été favorable à une monnaie forte, mais avec une croissance qui devrait dépasser les 2% cette année, elle peut se le permettre. D'autres pays où la reprise s'avère plus fragile comme l'Espagne, la Grèce mais aussi la France bénéficieraient grandement d'un euro plus faible. S'il y a peu de chances que la BCE intervienne sur le marché des changes, « Jean Claude Trichet pourrait éventuellement annoncer qu'il

mécanisme du SME n’est pas obligatoire pour les E membres de l’UE à l’exemple de la GB qui la rejoint en 1990 pour le quitter en 1992. 2/ l’existence d’une monnaie de référence : Euro La création de SME en 1978 a été suivie par l’instauration d’une nouvelle unité de compte : unité monétaire européenne appelé euro. L’euro est un panier qui comprend toutes les monnaies des E membres du SME avec un poids officiel pour chacune d’entre elles. En effet, le poids de l’euro allemand diffère totalement

relativement inférieures aux nôtres. Réduction des dépenses publiques, rigueur budgétaire, baisse du niveau d’endettement, telle est la stratégie préconisée par notre voisin d’outre-Rhin. Plus encore, l’Allemagne mise sur la demande pour stimuler la croissance. Il est donc intelligible de se demander si notre pays aurait à gagner s’il s’inspirait de l’Allemagne. La France doitelle s’aligner sur une répartition similaire à celle de l’Allemagne en termes de dépenses publiques ? Les dépenses publiques font

après jour et à laisser s’apprécier ou se déprécier les monnaies nationales. Ils autorisent les pays à mener des politiques économiques autonomes. C’est l’économie nationale qui détermine le taux de change. Un pays qui veut mener une politique de croissance par une politique budgétaire expansive laissera croître sa quantité de monnaie et la verra donc se déprécier. Le pays ne sera pas obligé de mener une politique de rigueur dans le seul but de maintenir le taux de change. Comme disait Friedman, partisan

national) ou du monde (PIB mondial). Le PIB national permet de comparer les performances économiques de plusieurs pays (par exemple, performances des états membres de la zone euro). Le PIB mondial représente la somme de tous les PIB nationaux, après leur conversion en dollars. L'accélération ou le ralentissement de la croissance de cet indicateur reflète la situation économique dans le monde. C) Un instrument de mesure imparfait Ce mode de calcul n'évalue que partiellement la richesse produite

Européens souhaitent voir le yuan s'apprécier davantage par rapport à l'euro, alors que le taux de change de la monnaie unique s'approche lui de 1,40 dollars, au risque de brider les exportations européennes et avec elles la croissance. Le 11/10/10 on constate un taux de change euro yen qui affiche un recul de -0.20% à 114.26 ¥ Le cours de l'euro est ainsi crucial dans la bataille commerciale entre Boeing et Airbus. Cela peut aussi favoriser les investissements et les IDE. En même temps, une monnaie

cher, les différents composants d'un produits sont envoyés dans des pays où le coût de travail sera moindre, et font appel à la sous-traitance. Nous pouvons dire que ces déséquilibres ne sont pas dus seulement aux écarts de croissance entre les différents pays de la zone Euro, mais aussi à cause d'une coexistence entre pays où la demande domestique monte moins vite que la demande potentielle et de pays ou le demande domestique monte plus vite que le demande potentielle. « La crise creuse le fossé

réaffirmer et renforcer la position du Groupe en tant qu’employeur de référence. Elle sera déployée à partir du 5 octobre, dans un premier temps en France et en Belgique. Le Groupe souhaite recruter et fidéliser les meilleures compétences en appui de sa croissance et de son internationalisation. En 2008, GDF SUEZ a recruté 32 000 personnes dans le monde dont 13 000 en France. D’ici 2013, le Groupe entend recruter 100 000 personnes dans le monde. A l’occasion du lancement de cette campagne, Gérard Mestrallet