Erich Auerbach

Noir Article d�taill� : Le Rouge et le Noir. Le Rouge et le Noir (1830) est le premier grand roman de Stendhal. Il est le premier roman � lier de fa�on si subtile la description de la r�alit� sociale de son temps et l�action romanesque, selon Erich Auerbach dans sa c�l�bre �tude Mimesis. Julien Sorel, le h�ros principal du livre, est le pur produit de son �poque en un certain sens, le h�ros d'une France r�volt�e et r�volutionnaire94. Litt�ralement ivre d�ambition � cause de la lecture du M�morial

Bibliographie[modifier | modifier le code] Armoiries de Montaigne. « Je porte d'azur semé de trèfles d'or, à une patte de lion de même, armée de gueules (…) Quel privilège a cette figure pour demeurer particulièrement dans ma maison90? » Erich Auerbach, « L'humaine condition », dans Mimésis. La Représentation de la réalité dans la littérature occidentale, Paris : Gallimard, 1968 [Première publication Berne : A. Francke, 1946]. Aulotte: Robert Aulotte, Études sur les Essais de Montaigne, Europe

qui doit retenir attention aujourd’hui = dimension internationale du renouveau de la critiq après la 2nde guerre mondiale - nouvelle histoire : Lucien Febvre, Paul Bénichou Morales du grand siècle - philologie herméneutique allemande : Erich Auerbach Mimésis : la représentation de la réalité dans la littérature occidentale + Volume posthume de Léo Spitzer Etudes de style : ont renouvelé approche stylistiq : la démarche herméneutique progresse selon « un mouvement de va-et-vient » entre étude

qui dévoile, ou est-elle un discours qui raconte et qui représente ? Est-elle réaliste et naturaliste ou est-elle artificielle et esthétique ? Selon Hamon, le contraire du discours ironique est le discours « sérieux » (Hamon, 1996, p.59), qui selon Auerbach est la marque de la littérature réaliste. Comment être ironique alors, dans un texte réaliste, « d’autant plus que l’ironie est, aussi, un matériau réel des mœurs de l’époque à décrire » (Hamon, 1996, p.61) ? C’est par le fait que le discours ironique

Michael (1982). « Irony and the "Order of Discourse" in Flaubert », New Literary History, Narrative Analysis and Interpretation, vol. 13, n° 2, winter 1982, The John Hopkins University Press, pp. 253-286. 95 3. Rhetorique et analyse du texte AUERBACH, Erich (1968). Mimesis, la representation de la realite dans la litterattire occidentale, [1946] traduit de l'allemand par Cornelius Heim. Paris, Gallimard. BARTHES, Roland (1984). « L'effet de reel », in Le bruissement de la langue, Essais critiques

les romans de Flaubert étaient vivement discutés dans le domaine non seulement de la critique de la conscience et de la thématique, mais aussi des critiques psychologique, narratologique, sémiotique et sociologique. D’abord, dans Mimésis 61 , Erich Auerbach donne un aperçu de la scène du repas d’Emma et de Charles, qui ne représente pas leur vie quotidienne mais la vue intérieure du désespoir d'Emma lié à l’essence de ce roman, et où on peut retrouver la modernité de Flaubert. Puis Georges Poulet

, La cicatrice d’Ulysse, Erich Auerbach compare le système de référence de l’antiquité grecque (apollinien - paradisiaque) avec celui de la Bible (luciférien) : le premier dit trop (en soumettant l’objet de la connaissance à une impitoyable lumière analytique), le deuxième ne dit pas assez (en scindant l’objet de la connaissance en une zone claire, évidente, et une zone obscure, mystérieuse). Cette distinction appartenant au philosophe et poète Lucian Blaga (que Auerbach ne mentionne pas, même s’il

tous les genres litt. Aristote définit la poésie comme une imitation, une mimésis. Mise en parallèle avec la peinture. La notion d’imitation apparaît de façon constante : cf. : Mimésis, Représentation de la réalité dans la litt occidentale. Erich Auerbach, Tel, Gallimard : A partir de cette notion d’imitation on glisse vers le concept de fiction : « Ce n’est pas de raconter les choses réellement arrivées qui est l’œuvre propre du poète mais bien de raconter ce qui pourrait arriver » Recherche

nerveuses et d'un emportement furieux, presque athlétique, plus somatiques que psychologiques de la mystérieuse animalité d'anthropoïde solitaire et désolée qui est en chaque homme. À partir des années 1960, Bacon est rattaché, avec Lucian Freud, Frank Auerbach, Kossof, Andrews... à ce que l'on appelle l'« École de Londres ». Influencé par son ami Michel Leiris et par son goût de la violence, Bacon réalise trois Études pour la corrida en 1969. Jean-Claude Lebenztejn décrit Étude pour la corrida n° 1 comme

rêverie : « elle se leva […] avec sa longue chemise qui lui donnait l’aspect d’un fantôme », « gazon jaune comme du beurre », « les flots qui semblaient dormir sous les étoiles », « la mare de lumière répandue sur son plancher » (UV, I, p.11). En 1977, Erich Averbach dira de l’héroïne de Madame Bovary que « c'est à la fois Emma qui voit et dumas-00498644, version 1 - 8 Jul 2010 l'écrivain qui parle58 ». Nous avons donc toujours ce doute quant à la focalisation et une impression de deux points de