Enfance I Rimbaud

de Jean Racine, Ophrys, 1957. PICARD Raymond, La Carrière de Jean Racine, Gallimard, 1961. ROHOU Jean, Racine entre sa carrière, son œuvre et son Dieu, Fayard, 1993. POULET Georges, « Notes sur le temps racinien », in Études sur le temps humain, t. I, Plon, 1952. SPITZER Léo, « L’effet de sourdine dans le style classique », in Études de style, Gallimard, 1970. VIALA Alain, La Stratégie du caméléon, Seghers, 1990. Sur Phèdre ALEMANY Véronique, Le Choix de l’absolu. Racine, Phèdre, RMN, 1999. BARRAULT

de la Lune) le Soleil n’eut point de postérité ; et que de l’autre il eut un fils, un fils unique, c’est le petit Horus, fils d’Osiris et d’Isis, c’est-à-dire du Soleil et de la Terre, comme on le voit dans L’histoire du ciel [de l’abbé Pluche], t. I, pages 61 et suivantes. C’est une allégorie égyptienne, dans laquelle le petit Horus, né de la Terre fécondée par le Soleil, représente les fruits de l’agriculture ; et précisément, on a placé la naissance du prétendu fils de Napoléon au 20 mars, à

Egalité, féminisme, révolte des femmes, cris des femmes h) Les relations hommes-femmes i) La famille j) Le travail k) La santé l) Le sport, les loisirs m) L’environnement n) Médias et communication o) La mode (habillement, langage, etc.) p) Violence, guerre, paix 5) Les sujets mixtes 6)Les sujets dits «libres» (essentiellement des citations littéraires) 3 Si les femmes nous étaient contées ETHIQUE (choix I) 1) « Il faut rechercher la liberté intérieure, seul garant du bonheur, la liberté

souvent malade, sa mère le couva et fit de lui un enfant-roi. Pour des raisons mal élucidées, son père se suicida d’une balle dans la tête, alors qu’il n'avait que neuf ans. Avec sa sœur aînée, Marthe, et son petit frère, Paul, il passa sa prime enfance soit à Maisons-Laffitte, soit à Paris, dans un hôtel particulier ; aussi disait-il : «Je suis né parisien, je parle parisien, je prononce parisien» (“Portraits-Souvenir”). Son grand-père, amateur éclairé, l'éveilla à la musique ; son père, qui dessinait

quoi nous donne-t-elle accès ? - ensuite, y a-t-il un inconscient ? Et, si oui, d’où vient-il ? - enfin, l’homme est-il totalement transparent à lui-même ? Doit-on dire avec Chateaubriand que « Je ne suis que ténèbres à moi-même » ou encore, comme Rimbaud, que « Je est un autre » ? 4) Problématique Il s’agira donc de construire un concept du sujet pour comprendre comment et jusqu’où la connaissance de soi est possible par l’intermédiaire de la conscience. 5) Plan - Dans un premier temps, on montrera

personnage. Pendant des siècles on a trouvé que c’était tout à fait naturel. Le critère unique du roman c’est donc L’ORIGINALITÉ. Intuition nouvelle de la vie et de l’écriture. S’il n’apporte rien de nouveau, il n’est pas tenu pour un grand r o m a n c i e r. Infini ? rien ne s’oppose dans le roman à une progression à l’infini ; casquette de Charbovary ? pourquoi pas sa naissance ? pas de raison interne aux bouquins de les arrêter à l’endroit où ils s’arrêtent. Roman a suscité les critiques les plus

président Salazar : Une révolution dans la paix. En 1940, il gagne les États-Unis pour la durée de la guerre puis revient s’installer à Nice. Il y meurt en 1949 après avoir publié, un an auparavant, Bulles bleues où il évoque les souvenirs de son enfance. Poète Son recueil poétique Serres chaudes paraît en 1889 chez Léon Vanier, l’éditeur de Paul Verlaine. Ces vers s’inscrivent dans la ligne de la « dépersonnalisation de l'écriture » et réalisent en partie l’idéal mallarméen : la suggestion, comme

date, qui renvoie à la mise en ordre du royaume de France par la monarchie, le nom du poète qui symbolisa très rapidement l'exigence d une esthétique rigoureuse pour la poésie (cf Boileau "Enfin Malherbe vint et le premier en France", Art poétique, Ch. I, v. 131-134) et la forme fixe que représente le sonnet, tout concorde pour faire de cette pièce un monument de recherche verbale plus qu'une expression subjective d'un sentiment personnel. La thématique amoureuse de l'absence ne conduit pas le poète

pour des criards sentis cloués peaux-rouges aux poteaux impassibles, ayant descendais je ne plus par le cible les, les nus de couleur ». Arthur Rimbaud. « comme je descendais des fleuves impassibles, je ne me sentis plus guidé par les hâleurs. Des peaux-rouges criards les avaient pris pour cible, les ayant cloués nus aux poteaux de couleur ». Arthur Rimbaud aussi. Les deux phrases contiennent les mêmes mots : l’une est un charabia incompréhensible, l’autre un assemblage de mots s’enchaînant naturellement

à l’école Directeur de mémoire (nom et prénom) : Isabelle Olivier « Pour ma part, j’ai eu l’intuition très tôt de ce pouvoir d’éveil que manifeste la poésie quand, enfant, j’écoutais subjugué un instituteur lire un poème de Ronsard ou de Rimbaud. Ce n’est pas que je trouvais cela beau ou même émouvant : je sentais, dans cette parole étrange, mystérieuse, parfois incompréhensible, qu’on me parlait au plus profond, avec franchise, que se livrait soudain cette part cachée de la réalité