En Quoi Tartuffe Est Comique

évident est celui de Tartuffe. Alors que le comédien du XVIIIe siècle, Augé, tirait le rôle à la farce aux limites de l'obscénité, Stendhal en 1822 note que le public n'a “ri franchement qu'en deux endroits” dans l'interprétation avec Mlle Mars en Elmire. Louis Jouvet, lui, en 1950 au Théâtre de l'Athénée, incarne un Tartuffe réellement pieux et torturé par la tentation. Antoine Vitez au festival d'Avignon de 1978 offre la lecture d'une Elmire tentée par un séduisant Tartuffe. L'Argon de Roger Planchon

| |(Du début […] « donner quelques lumières ») | Problématique : En quoi cet incipit est-il original ? INTRODUCTION : Présentation générale de Dom Juan ++ Le Tartuffe → Pourquoi a-t-il été censuré ? I) UN PROLOGUE SURPRENANT Les premières lignent dérogent-elles à la tradition ? C'est seulement après que le lecteur découvre les identités des personnages. Les

première pièce de Racine. 10 nov.: mort de Louis. 29 janv.: le Mariage forcé (au Louvre). 8 mai: la Princesse d’Élide (fêtes de Versailles dites des Plaisirs de l’île enchantée). 12 mai: Tartuffe en trois actes, pour les mêmes fêtes. 31 août: premier Placet au roi, pour faire lever l’interdiction de jouer Tartuffe en public. 1665 3 août: naissance d’une fille, Esprit-Madeleine. 14 août: la troupe devient troupe du roi. 4 déc.: création d’Alexandre le Grand, seconde pièce de Racine; la brouille

1665 et « Les Fourberies De Scapin », 1671.Tartuffe a été produit en 1664 avec beaucoup de difficultés. Le Tartuffe ou L’imposteur a pour objectifs de dénoncé les faux dévots en montrant que certaines personnes prétendant être un dévot se servent de ce titre pour dépouiller des honnêtes gens. Cette pièce a été censurée à deux reprises car les faux dévots ont évoqués de mauvaises choses à son sujet au Roi. La première version ayant pour nom « Le Tartuffe », La deuxième « L’imposteur », pour la troisième

personnage mythique. Molière a créé des types universels en les dotant d’une force de généralisation qui les élève bien au-dessus des héros de théâtres ordinaires. Mais il n’a pas inventé Dom Juan. Dom Juan existait avant lui et a existé après lui. Tartuffe, Harpagon sont uniques. Dom Juan est innombrable, il se décline à l’infini. Telle est la différence entre un type et un mythe. Mais qu’est-ce qu’un mythe ? Comment définir exactement à propos de Dom Juan un mot aussi usé, aussi fuyant que celui-là 

également de ses pièces pour exprimer des critiques sur la société et sur les hommes, ainsi que pour exposer certaines de ses convictions et des thèmes qui lui sont chers. I . LA COMEDIE CLASSIQUE A POUR FONCTION DE DIVERTIR Afin de montrer en quoi la comédie classique a une fonction de divertissement, il convient d’abord de s’interroger sur ce que ce terme signifie. 1. Définition A l’époque de Molière, le philosophe Pascal, a défini le divertissement comme étant toutes les activités qui

| |Le texte A est la scène 2 de l’acte II de Tartuffe écrit par Molière en 1664. Dans ce texte, | | |Dorine, la soubrette, annonce à Tartuffe (déguisé en dévot) qu’Elmire arrive. Mais ce n’est pas | | |son unique fonction. En effet, Dorine résiste aux avances de Tartuffe : « Et je vous verrais nu | | |du haut jusques

André Durand présente ‘’Tartuffe’’ (1669) comédie en cinq actes et en vers de MOLIÈRE pour laquelle on trouve un résumé puis successivement l’examen de : l’intérêt de l’action (page 3) l’intérêt documentaire (page 4) l’intérêt psychologique (page 4) l’intérêt philosophique (page 6) la destinée de l’œuvre (page 7)

personnage mythique. Molière a créé des types universels en les dotant d’une force de généralisation qui les élève bien au-dessus des héros de théâtres ordinaires. Mais il n’a pas inventé Dom Juan. Dom Juan existait avant lui et a existé après lui. Tartuffe, Harpagon sont uniques. Dom Juan est innombrable, il se décline à l’infini. Telle est la différence entre un type et un mythe. Mais qu’est-ce qu’un mythe ? Comment définir exactement à propos de Dom Juan un mot aussi usé, aussi fuyant que celui-là 

l’unir non à Valère mais à Tartuffe. Il veut même entendre Mariane se réjouir de la perspective de ce mariage. Celle-ci se refusant fermement à « dire une telle imposture », Orgon lui oppose la « vérité » de sa décision. Il ne reste plus ensuite à Mariane, déjà peu loquace, que l’espace d’un demi vers d’une répartie désespérée. La deuxième scène de l’acte s’ouvre sur l’entrée inopinée de Dorine, décidée à faire changer Orgon d’avis. S’engage alors un dialogue éminemment comique. Dans un premier