En Quoi Les Ong Sont Ils Acteur Dans La Mondialisation

de l’Université Paris 8 Vincennes-Saint-Denis Discipline : Anthropologie et Sociologie du Politique et du Développement Par : Cheikh DIALLO LES DYNAMIQUES LOCALES DE DEVELOPPEMENT URBAIN AU SENEGAL: ENTRE STRATEGIES DE REPRODUCTION DES ACTEURS ET CONSTRUCTION D’UNE NOUVELLE GOUVERNEMENTALITE ETUDE DE CAS SUR LA VILLE DE SAINT-LOUIS Thèse soutenue publiquement le 22 Mars 2012 Membres du jury Alphonse Yapi-Diahou, Professeur de Géographie, Université Paris 8, Président du jury Prierre-Philippe

dans son ensemble, mais seulement vis-à-vis de leurs parties prenantes. Pour d’autres, la responsabilité de l’entreprise vaut à l’égard de la société civile et à l’égard de ses autres partenaires : collaborateurs, clients, consommateurs, actionnaires, ONG, collectivités locales, médias, etc.). De même, les principes qui motivent la mise en place d’une stratégie RSE au sein des entreprises sont divers. Selon Swanson1, il existe trois types de motivation. Le premier type fait référence à une responsabilité

actionnaires ;– les clients (professionnels ou particuliers) ;– les fournisseurs ;– les pouvoirs publics (État et collectivités) et les autorités de régulation ;– les partenaires financiers (banques, créanciers…) ;– la société civile : consommateurs, associations/ONG, médias, le grand public…On distingue traditionnellement les parties prenantes internes et les parties prenantes externes. Les parties prenantes internes sont constituées des personnes et des groupes de personnes internes à l’organisation. Il s’agit

................................. 2 2.2 Relations internationales et géopolitique : généralités ................................................................................................. 5 3 Relations économiques internationales et mondialisation ......................................................................................... 11 3.1 Ouvrages........................................................................................................................................

Faustine Lescanne Promotion 2011   «  Partenariats  ONG  /  entreprise  :  comment  les   associations  arrivent-­‐elles  à  gérer  leur  image  ?  »   Sous la direction d’Eric Aimond, professeur de communication interne à l’EFAP COM Parrainé par Fanny Girard, chargée des développements des partenariats UNICEF A la suite du stage effectué au département partenariat entreprise de l’association UNICEF            

préoccupations des acteurs en présence sur la scène internationale (Hommes d’Etat, diplomates, armée, ONG, opinion publique etc.) et s’interroge sur les aspects spatiaux au sein des plans élaborés par ces divers acteurs : elle s’interroge sur les calculs des uns et des autres afin de comprendre ce qui les pousse à agir ». De toutes ces définitions, il est possible de dégager un point commun : « toute géopolitique est une réflexion sur la puissance ». La puissance est le produit de la force des acteurs et de

seulement politiques ou stratégiques , mais aussi économiques , culturelles , scientifiques, etc… Mais c'est quoi une sté internationale. On définira une sté comme un groupe uni par des liens objectifs et subjectifs de solidarité et d'échange , dont les membres sont identifiables et dont les rapports sont organisés par des règles communes. La SI , constituée de nombreux acteurs (OI, ONG, stés transnationales , voire individus….) parmi lesquels les Etats souverains conservent un rôle central représente

développement ne peut se concevoir que comme économiquement viable, c'est à dire reposant sur des structures économiques équilibrées, socialement justes et écologiquement durables pour préserver notre Terre pour les générations à venir. La mondialisation nous a appris à penser "globalement" et, à cette échelle, le socialement juste doit prendre la forme de la solidarité internationale. En effet, si le monde a atteint aujourd'hui un niveau de développement et de richesse jamais égalé, dans

considérés comme des marchandises ou des biens de consommation comme les autres» Cette déclaration, qui a mis plus de dix ans avant dʼêtre adoptée, est lʼaboutissement de la revendication de «lʼexception culturelle» dont lʼun des enjeux est la mondialisation de la culture. A. La revendication de lʼexception culturelle Cʼest à la France que lʼon doit lʼinitiative de la démarche à laquelle se sont ralliés plus de quarante Etats dont la majorité des Etats de lʼUE. En 1995, lors des discussions de lʼOMC

suivi et d’évaluation des cantines ont été pensés et formalisés par les seules équipes du PAM et les démembrements des ministères concernés. De fait, les populations ne perçoivent pas les cantines scolaires comme des projets locaux dont ils sont les acteurs clés. Au contraire, elles les appréhendent comme une « manne ». L’approche participative est donc mise à mal dans la démarche du PAM. De fait, il est prématuré de parler actuellement « d’appropriation » du projet par les populations locales. En