En Quoi Le Rire Est Une Puissance Critique

Molière Molière, de son vrai nom Jean Baptiste Poquelin et le principale écrivain du 17ème siècle, il est l’un des auteurs les plus inventifs, critique, et drôle de son époque et encore d’aujourd’hui. Il va créer une œuvre considérable qui va marquer à tout jamais le théâtre et influencer de nombreux artistes. Le regard acerbes qu’il porte sur son époque lui permet d’inventer des personnages qui vont par la suite devenir des références comme le personnage de l’Avare, ou Dom Juan et d’autres…

deux exercices concomitants : le laboratoire utopique et la comédie de mœurs. Il joue également sur deux registres, le comique et le pathétique. Ces dualités assumées donnent à la pièce son caractère onirique qui permet de mieux faire accepter la critique très novatrice pour l’époque. En effet Marivaux aborde l’aliénation sociale et l’exclusion. Nous pouvons imaginer le choc que durent vivre les spectateurs d’alors devant cette inacceptable invitation à échanger les rôles sociaux, alors même qu’ils

liberté d’accentuer les situations et les événements : les événements au service de la dénonciation ou du plaidoyer. • Les événements et les actions n’étant pas historiques, on peut les exagérer pour apitoyer le lecteur (pathétique) ou pour le faire rire (comique, ironique). • L’auteur peut choisir ses personnages et les adapter à sa démonstration : – en faire une victime ou le rendre totalement sympathique : Ex. : Daudet dans le texte du corpus, Fantine dans Les Misérables. – le rendre particulièrement

différemment : « croire ce qu’elle voudra » ; « se flatter dans son imagination ». Conclusion : Don Juan a toujours la même stratégie. C. Une attitude contrastée Début : Don Juan dans l’urgence, déstabilisé, beaucoup de coupures de paroles : « MATHURINE. Quoi ? Charlotte… DON JUAN, bas à Mathurine. Tout ce que vous lui direz sera inutile ; elle s’est mis cela dans la tête ». Il a une réaction habile et intelligente. Fin : Les femmes se chamaillent et sont naïves, elles ne remettent pas en question la

notation généreuse, ils ne sont pas pour autant convaincus de la qualité réelle des copies en tant que dissertations. Car les candidats ont rarement fait le travail de méthode et de réflexion personnelle que la dissertation exige en principe. L’esprit critique et l’engagement de la pensée sont en crise depuis longtemps déjà. On a eu parfois le sentiment, cette année, qu’ils avaient carrément disparu. Le conformisme règne, l’imitation est la règle. Car, sans entrer dans l'analyse de détail d'un bilan qui

extension synonyme du siècle. La philosophie = Discours préliminaire de l'Encyclopédie (grd manifeste intellectuel des Lumières) de d'Alembert « l'application de la raison aux différents objets sur lesquels elle peut s'exercer » 2°) L'exercice critique de la raison Article « Philosophie » de l'Encyclopédie de Dumarsais « La raison est à l'égard du philosophe ce que la grâce est à l'égard du chrétien. La grâce détermine le chrétien à agir ; la raison détermine le philosophe. » Audace pour les

surestime les philosophes et la science, afin de démontrer le peu d'importance que les hommes ont de la science à son époque il annonce «  Ô atome intelligent » ligne1 qui a une valeur d'oxymore tel que le titre de l'oeuvre «  Micromégas », «  puissance » ligne. « Micromégas » pense que «  moins il y a de matière » ligne3 plus «  vous devez passer votre vie à aimer et à penser » ligne4 alors que les philosophe lui répondent «  nous avons plus de matière qu'il ne nous en faut » ligne8. Ainsi Voltaire

la guerre" de Jacques Prévert. En effet, ces deux auteurs sont des poètes engagés qui bannissent la guerre, qui est universelle et atemporelle, mais qui n'apporte que malheur, désolation des terres et désespoir du peuple. De plus, Jacques Prévert critique aussi les pouvoirs religieux et militaires, comme dans son poème "Pater Noster" qui apparrait juste après le poème "A tous les enfants" de Boris Vian, qui lui, condamne ici les pouvoirs politiques. La poésie permet de s'exprimer sans contraintes

(1907-1989) Gérard Philipe (1922-1959) | Le genre [modifier]Article détaillé : Genre théâtral. Un genre théâtral est le résultat d'une création dramatique correspondant à une forme précise. Le spectateur, connaissant un genre donné, saura à quoi s'attendre. Selon la présentation de l'œuvre (tragédie, comédie…), il aura une vision stéréotypique de l'œuvre. Le genre est donc, avant tout, une convention qui donne un cadre, une forme précise. C'est un premier échange implicite entre l'artiste

du plaisir « délicieux, séduisants attraits, charmant, plaisant, rire » et de l’enseignement « préceptes philosophiques, principes philosophiques, morale, connaissance, étude des caractères, instructif, apprentissage », ce qui montre que, selon lui, l’éducation doit mêlait plaisir et enseignement. Finalement, il y a des procédés rhétoriques, avec, par exemple la reprise anaphorique « Quoi de plus (…) – Mais quoi de plus (…) – Quoi de plus (…) » (l14-l27-l27) et les hyperboles « mille faits instructifs