En Quoi La Mise En Scène Constitue T Elle Une Interprétation

Cyrano de Bergerac est une comédie héroïque écrite par Edmond Rostand en 1897. Elle met en scène un personnage historique, qui, gêné par sa laideur et son grand nez, ne peut être aimé par une précieuse Roxane. Celle-ci aime le jeune et beau Christian. Cyrano profite alors de la beauté du jeune homme et de sa maladresse avec les femmes pour déclarer ses sentiments à Roxane sans que celle-ci se doute du subterfuge. Mais face à l’aveu de Roxane qui dit pouvoir aimer Christian même laid, Christian se

spectateur pour percevoir le texte dans toutes ses implications. Car c’est seulement par sa "mise en scène" que l’œuvre dramatique acquiert une signification définitive. Par ailleurs, ce processus de transposition à la scène qui donne vie à son texte n’appartient plus à l’auteur. Il relève de la responsabilité de ces lecteurs privilégiés que sont d’une part les acteurs, d’autre part le metteur en scène et tous les professionnels qui l’assistent. De la façon dont ils comprendront le texte dépendra

ensuite si la notion de fidélité constitue un argument valable d’appréciation d’un film adapté d’une œuvre littéraire. L’affiche du film : Quels acteurs met-elle en valeur ? Quels personnages incarnent-ils ? Que promet cette affiche aux futurs spectateurs, en termes d’intrigue, de registre, d’esthétique ? 3 › Actualité des Liaisons dangereuses Argumentation i On lit dans l’Avertissement de l’éditeur : « En effet, plusieurs des personnages que [l’auteur] met en scène ont de si mauvaises mœurs,

Andromaque d’Euripide, une traversée des interprétations I. La tragédie grecque ancienne Origine de la tragédie La tragédie est d’abord une performance, une fête à la fois religieuse et civique. La tradition rapporte qu’elle serait née sous l’impulsion du tyran Pisistrate qui organisa le 1er concours tragique lors des Grandes Dionysies, i.e des fêtes en l’honneur de Dionysos. Aristote la fait naître des improvisations liés au dithyrambe (dans ce chant à Dionysos un initiateur, l’exarkhos, improvisait

suggère l’indication « librement adapté », le film de Marion Laine n’est pas une simple illustration du récit de Flaubert mais constitue une véritable lecture de l’œuvre, c’est-à-dire une interprétation qui insiste sur certains de ses aspects, au détriment d’autres. Sa fidélité au conte permet de cerner aisément avec les élèves les points qui relèvent d’une interprétation plus personnelle. Le film permet donc de poser la question de l’adaptation d’une œuvre littéraire au cinéma, c’est-à-dire de sa

la culture commune que les élèves pourront partager avec les générations précédentes) est remarquable, dans sa brièveté, par sa puissance évocatrice et suggestive. 1) Des animaux qui représentent des comportements humains : La fable met en scène très classiquement deux animaux. Leurs comportements dont la plupart sont bien ceux de la vie animale (la cigale chante l’été, la fourmi travaille sans cesse, accumule, et cela de manière très organisée ; elle le fait néanmoins dans cette fable de

pas de décrire le texte, de le raconter ou de répéter ce qu’il dit avec d’autres mots (paraphrase). ▪ Faire un commentaire, c’est témoigner de capacités à comprendre le sens littéral du texte, mais aussi le sens implicite ; à en donner une interprétation ; à analyser comment la langue et le style sont utilisés par l’auteur, et à justifier pour le correcteur ses hypothèses de lecture en les soutenant par des arguments et en les ordonnant. ▪ Tout comme la dissertation, le commentaire est en

point de départ d’une recherche sur ce que les mises en scène dans les expositions communiquent réellement du patrimoine et de ses valeurs : savoirs véridiques et objets authentiques. La nature indiciaire des objets de patrimoine 2 ainsi que des vestiges archéologiques, se définissant tous comme les traces physiques de leur monde d’origine, a permis d’aborder la recherche avec un angle fortement sémiotique. L’archéologie constitue à la fois une porte d’entrée vers la relation aux savoirs

Jean-François Guermonprez C. Geertz, Bali. Interprétation d'une culture In: L'Homme, 1985, tome 25 n°94. pp. 182-185. Citer ce document / Cite this document : Guermonprez Jean-François. C. Geertz, Bali. Interprétation d'une culture. In: L'Homme, 1985, tome 25 n°94. pp. 182-185. http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/hom_0439-4216_1985_num_25_94_368585 182 Comptes rendus taw ! Une note devrait expliquer pourquoi cette phrase est intraduisible. Tout se passe comme si

permettent de voir le monde tel qu'il est ? 19) En quoi la mise en scène d'une œuvre théâtrale en constitue-t-elle, à sa manière, une interprétation ? 20) Qu’apporte la représentation au texte théâtral ? 21) Dans quelle mesure le personnage de roman donne-t-il au lecteur un accès privilégié à la connaissance du cœur humain ? 22) Pensez-vous que les romans doivent développer longuement l’analyse psychologique des personnages qu’ils mettent en scène ? 23) Raconter tout événement d'une vie (la sienne