En Attendant Godot Les Objets

courtes extraits des documents : chaque document doit avoir été cité une fois. Chaque exemple relevé doit être entièrement rédigé au sein d'une phrase qui s'intègre dans le cours de la réflexion.   Lire attentivement la consigne pour dégager les objets d’analyse (vous demande-t-on le genre,  le registre, la visée, la structure, l’énonciation des textes ?). Lire les paratextes : notez titre, auteur, genre, épo0que et éventuellement mouvement littéraire. Reprendre chaque texte, avec stylo et brouillon

avec ceux d’un homme qui marche dans la ville sans d’autre horizon que le spectacle, sans d’autre pouvoir que celui-là même de ses yeux. ». Très vite les médias s’emparent de ce nouveau mouvement, l’intérêt de créer un gros événement, de nommer un objet culturel et de vendre à gros tirages ainsi que d’être dans une position reconnue pour les écrivains participent à l’essor et à l’identification du NR. Une table ronde est organisée par Le Figaro Littéraire autour de la question « Une révolution dans

expression de l'absurdité de la condition humaine En attendant Godot de Beckett (20) Introduction : Dramaturge peu connu jusqu'à la publication de cette pièce qui a fait scandale (provoquait le bazar dans la salle). Théâtre de l'absurde avec expression de l'absurdité de la condition humaine. Une évolution du tragique mais sans toutes les règles de temps, d'unité et d'action. Nous sommes au début de la pièce, Estragon et Vladimir attendent Godot qui ne vient au final jamais. Problématique : Quelle

respecter vis à vis du décor. Il a donc décidé de faire une représentation de l’appartement du metteur en scène Grüber en l’adaptant à la pièce. C’est comme cela que s’est créées sur scène deux parties distinctes. Celle de Titus, masculine, avec des objets comme la coupole, le galet qui évoque une ambiance tombale, violente, lourde; et celle de Bérénice, empreint de légèreté avec le rideau transparent que le vent fait voler. Le metteur en scène doit combler des indications manquantes dans le texte,

Beckett (même si le travail s’applique au roman, Beckett nous présente dans le théâtre un très bon exemple de la théorie exposée). Chez Beckett, la qualité primordiale de ses personnages « c’est qu’ils sont là ». Dans sa pièce de théâtre En attendant Godot, les personnages -des prénoms simples- Gogo et Didi mangent une carotte et n’ont rien à se dire. Ils font mine de partir, de rester mais le décor est toujours le même. On ne connaît rien concernant leur vie. Donc pendant trois heures et malgré

les hommes dans le monde. C’est une lecture inversé de la formule cartésienne « Je pense donc je suis ». On le voit notamment page 91 quand Hamm soupire « Ah y être, y être ! » et page 83 « Clov : Il pleure. Hamm : Donc il vit ». Comme dans En attendant Godot, Beckett place ses personnages dans l’attente de quelque chose qui ne vient pas, mais dont l’espoir demeure : Dieu, la mort, ou à défaut un regain de vie. Les personnages de Fin de partie ne peuvent tenir leur existence et leur signification que

du roman ne réside pas tant dans l’intrigue, la trame ou l’analyse psychologique des personnages, mais dans « l’aventure de l’écriture », dans l’entreprise même du roman ; la littérature serait alors autotélique, n’ayant encore une fois pour autre objet qu’elle-même. Ainsi en 1956 dans l'Ère du soupçon, Nathalie Sarraute récuse les conventions traditionnelles du roman ; elle y cite également la nature novatrice des romans de Kafka, de Proust, de Joyce et de Dostoïevski. Aux côté de Michel Butor ou

lassitude car elle s’immice sans même que l’homme en prenne conscience et en cela elle peut etre dangereuse. Elle suggère une non pensée, une état de soumission face a sa conscience, face a toute forme de pensée. S’écarter de celle ci est donc souvent objet d’exclusion. L’homme qui s’ecarte, s’écarte non seulement d’une routine qui peut etre tout a fait benefique pour lui mais avec cet acte, il s’écarte aussi des autres en se différenciant et peut être alors un être incompris par autrui. De plus, s’il

Résumé et extraits proposés o Jean Anouilh, Antigone – affrontement d’Antigone et Créon (extrait) o Eugène Ionesco, La Cantatrice Chauve – Scène 1 o Albert Camus, Les Justes – Acte deuxième (extrait) o Samuel Becket, En attendant Godot – Acte premier (début) et acte deuxième (fin) ▪ Consignes o 1ère lecture  « Lisez attentivement le résumé puis l’extrait. Pouvez-vous, grâce au résumé, repérer certaines caractéristiques que nous avons déjà vues et qui permettraient

acquérir une certaine densité. C'est le cas, par exemple, dans l'existentialisme de Jean-Paul Sartre, ou dans la littérature de l'absurde d'Albert Camus et d'Eugène Ionesco. Si les auteurs ne traitent pas directement de l'homme, ils prennent comme objet d'étude la matrice même de la littérature : le langage. Dès lors, la littérature semble se retourner sur elle-même et sur son pouvoir signifiant. Ce phénomène est à rapprocher du doute qui s'empare des écrivains quant au rôle qu'ils peuvent avoir dans