En Attendant Godot Et Les Chaises

effrayant. Le comique est tragique. » 12 min 05 s Évocation des Chaises (1952) Évocation par Jacques Mauclair de la reprise de la pièce, Les Chaises, au théâtre du Marais. Chanson aux paroles à la fois symboliques et prophétiques : « Et puis, Monsieur, Madame, Mademoiselle, sachez qu’en ce moment je suis bien fatigué… J’en ai marre d’aligner des paroles et des paroles. […] Je voudrais bien me reposer… » (sur des images de chaises et des photos de Ionesco). PRINCIPAUX THÈMES Ce film met en

Mais avant son départ, il fait la rencontre de sa voisine. Texte 3 Le personnage principal porte en permanence une chaise retournée sur la tête. Les autres se moquent de lui jusqu’au jour où il croise Méline. C’était un soir, et il est vrai que j’avais beaucoup marché. Je titubais un peu. Je devais avoir l’air fatigué. Elle m’a très aimablement proposé de m’aider à porter ma chaise – est-ce que j’habitais loin ? –, il a fallu que je lui explique. Elle a semblé surprise, mais intéressée. Elle m’a

l’hystérie collective. Histoire des Arts : gravure d’Albrecht Dürer, Rhinocéros (1515) Histoire des Arts : extrait filmé de la pièce mise en scène par Emmanuel Demarcy-Mota (la métamorphose de Jean) Lecture cursive (au choix) : Samuel Beckett, En attendant Godot ou Samuel Beckett, Fin de partie En vue de l’entretien : - Le genre de la comédie - Le théâtre du XXème siècle - Biographie d’Ionesco - Etudes d’ensemble : 1) lecture tabulaire-bilan (évolution des lieux, personnages, rhinocéros). 2) Rhinocéros :

inspirateur pour les auteurs du théâtre de l´absurde. Citons, au moins, les représentants les plus connus de la littérature absurde tels que Samuel Beckett ( En attendant Godot, 1952 ; La dernière bande, à l´origine en anglais – Krapp´s Last Tape, 1959 ; en français en 1960), Eugène Ionesco (La Cantatrice chauve, 1950 ; La Leçon, 1950 ; Les Chaises, 1952), Arthur Adamov (Le Professeur Taranne, 1953 ; Le ping-pong, 1955), Jean Genet (1910-1986 ; Les Nègres, 1958 ; Les Paravents, 1961) ou Fernando Arrabal

Molière, Dom Juan, p. 124 Chapitre 2 • Le théâtre : texte et représentation • 65 – Claudel, L’Annonce faite à Marie, p. 119 – Genet, Les Bonnes, p. 152 – Serena, Rimmel, p. 134 • Objet d’étude : le tragique moderne Œuvre intégrale : Beckett, En attendant Godot, ou Ionesco, Le Roi se meurt ou Koltès, Dans la solitude des champs de coton ou Roberto Zucco, ou Lagarce, Juste la fin du monde. Groupement de textes extraits du manuel : – Genet, Les Bonnes, p. 152 – Beckett, Fin de partie, p. 128 – Cixous,

connu et un appel à la responsabilité idéologique de l’homme. PROLONGEMENT (LECTURES COMPLEMENTAIRES) • Caligula d’Albert Camus Caractéristiques fondamentales de l’homme, le courage et la capacité à assumer une décision. • Les chaises d’Ionesco • En attendant Godot de Beckett • Pour un théâtre de situations Lecture analytique 8 -> Supplément au Voyage de Bougainville de Denis Diderot (1772) BIOGRAPHIE Denis Diderot est né en 1713 et mort en 1784. C’était un écrivain et philosophe et était

remercie, répondit-il. Ma mère ne sort plus de son jardin. Vous retrouveriez la maison de la rue de la Banne, telle que vous l’avez laissée. Mme Campardon, qui semblait ne pouvoir rester longtemps debout sans fatigue, s’était assise sur une haute chaise à dessiner, les jambes allongées dans son peignoir ; et lui, approchant un siège bas, levait la tête pour lui parler, de son air d’adoration habituel. Avec ses larges épaules, il était femme, il avait un sens des femmes qui, tout de suite, le mettait

remercie, repondit−il. Ma mere ne sort plus de son jardin. Vous retrouveriez la maison de la rue de la Banne, telle que vous l'avez laissee. Madame Campardon, qui semblait ne pouvoir rester longtemps debout sans fatigue, s'etait assise sur une haute chaise a dessiner, les jambes allongees dans son peignoir; et lui, approchant un siege bas, levait la tete pour lui parler, de son air d'adoration habituel. Avec ses larges epaules, il etait femme, il avait un sens des femmes qui, Pot−bouille 7 Pot−bouille

remercie, répondit-il. Ma mère ne sort plus de son jardin. Vous retrouveriez la maison de la rue de la Banne, telle que vous l’avez laissée. Mme Campardon, qui semblait ne pouvoir rester longtemps debout sans fatigue, s’était assise sur une haute chaise à dessiner, les jambes allongées dans son peignoir ; et lui, approchant un siège bas, levait la tête pour lui parler, de son air d’adoration habituel. Avec ses larges épaules, il était femme, il avait un sens des femmes qui, tout de suite, le mettait

ans, nous bassinait à chaque réunion avec le cœur de Jésus, au centre duquel nous, jeunes survivants du cancer, étions littéralement réunis. Voilà comment ça se passait au cœur du cœur de Dieu : notre groupe de six, sept ou dix arrivait à pied ou en chaise roulante, piochait dans un malheureux assortiment de biscuits et se servait un verre de limonade, avant de prendre place dans le cercle de la vérité et d’écouter Patrick débiter pour la millième fois le récit déprimant de sa vie – comment il avait