Emmanuel Guibert

La Théorie de la connaissance de Kant est exposée en particulier dans la Critique de la raison pure. Le point de départ de cette réflexion est, de l'aveu même de Kant, le scepticisme empiriste de Hume, qui l'a réveillé de « son sommeil dogmatique ». Hume a, en effet, construit une critique radicale des fondements de la métaphysique de Leibniz et de Wolff, dont Kant avait été un adepte. « Depuis les tentatives de Locke et de Leibniz ou plus exactement depuis la naissance de la métaphysique - aussi

Commentaire de texte sur « Comparaison du beau avec l’agréable et le bon d’après le caractère précédent » « La critique de la faculté de juger » de Kant date de 1790. Dans cet ouvrage, Kant se pose la question de savoir comment un jugement esthétique est-il possible ? Dans le paragraphe 7, Kant compare deux sortes de jugement : celui se rapportant à l’agréable et celui se rapportant au beau. Il oppose donc ces deux notions afin de démontrer que l’une des deux est universelle. Il nous démontre

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DAMILAVILLE, Article « Paix » , Introduction La réflexion sur la guerre est un thème qui occupe la pensée philosophique du 18éme siècle . De nombreux auteurs en ont dénoncé les méfaits Damilaville à son tour se lance dans une critique sévère de la guerre dans un article ou le titre semble paradoxal : l’auteur montre ainsi que les deux notions se définissent l’une par rapports à l’autre . L’extrait de l’article « paix » est essentiellement consacrée à la guerre et chaque paragraphes et construit

peut servir de loi à tout être raisonnable. Par contre et quelque soit mon sentiment pour l’humanité : « traiter l’humanité en ma personne et en la personne de tout autre toujours et en même temps comme un fin et pas simplement comme un moyen » (Emmanuel KANT) est une maxime exigible universellement, un devoir pour chacun. La volonté qui détermine sont action à partir d’elle-même est une volonté autonome en tant qu’elle se soumet librement à la loi de la raison pur pratique. Une règle est juste

I. Ce conseil n'est ni bon ni mauvais, il est tout simplement inapplicable On ne peut pas demander à quelqu'un de réfléchir à ne pas réfléchir. Ce conseil est donc inepte si nature = spontanéité, immédiateté. II. Ce conseil est un très mauvais conseil si naturel = sauvage, brutal Ce conseil créerait désordre et injustice. Nature = pulsion, désir (phusis [nature] -> emphusesis = gonfler, croître) Hegel -> Revenir à la nature, c'est troquer la liberté authentique pour une illusion de liberté

LA BEAUTE N’EST-ELLE QU’UN EFFET DE L’ART ? On peut affirmer qu’il existe deux beautés différentes : la beauté naturelle et la beauté artistique. Mais la nature pourrait en fait être le résultat d’un art divin. Auquel cas, tout est art, l’art regroupant la nature et toutes les productions humaines. Et on pourrait trouver une beauté partout dès que l’on s’occupe à comprendre la nature. L’homme rechercherait alors à imiter la beauté qu’il trouve dans la nature par un art conçu et par un art représenté

Pourquoi ce qui est laid dans la vie ou dans la nature peut-il devenir beau dans une œuvre d’Art ? * Qu’on y prête attention ou non, l’Art nous entoure constamment. Comme le dit Murielle Burbery, romancière francaise , « L’art c’est la vie mais sur un autre ton ». En effet, Il est coexistant à la vie. Dès la préhistoire, l’homme « créait » en peignant des fresques sur les murs. L’Art permet de retenir l’instant fugitif et nous donne l’illusion d’échapper au temps. L’œuvre d’art procure

Philosophie générale : Le monde La science du monde en tant qu'on la nomme cosmologie, voit ce terme apparaître au 18ème siècle. Chez Wolff qui publie une cosmologie inspirée de l'harmonie pré-établie, doublée d'être une forme d'explication philosophique du cosmos. A ce moment là on connait une crise de la représentation du monde, dont la représentation commune est affectée par de nouvelles conceptions scientifiques. *rapport entre la partie et le tout *possibilité de la pluralité des mondes

Le présupposé de la question : "Qu’attendons-nous pour être heureux ?", c’est que nous ne sommes pas heureux pour l’instant, et que nous ne serions pas près de l’être. Ce présupposé est-il légitime ? Pourquoi ne peut-on pas se déclarer heureux dans le présent ? Quelles peuvent être nos résistances au bonheur ? Pourquoi y en a-t-il, et sont-elles si puissantes qu’elles nous empêchent inévitablement d’être heureux ? En tant qu’"idéal de l’imagination" (Kant), le bonheur ne peut-il être que repoussé