Eluard Courage

continuellement lançait des mottes de gazon qui l'aveuglaient, tandis qu'elle criait : - « Dépêchez-vous ! dépêchez-vous ! » Mme Aubain descendit le fossé, poussa Virgi-nie, Paul ensuite, tomba plusieurs fois en tâchant de gravir le talus, et à force de courage y parvint. Le taureau avait acculé Félicité contre une claire-voie ; sa bave lui rejaillissait à la figure, une seconde de plus il l'éventrait. Elle eut le temps de se couler entre deux barreaux, et la grosse bête, toute surprise, s'arrêta. Cet

nationales et fermer les yeux sur ce qu’il va se passer, ce massacre qui nous attend… Car, quoi qu’il advienne, nous sommes perdus…perdant. Mon fils commence tout juste à faire ses premiers pas. Son sourire me donne chaque jour un peu plus de courage. Notre vie est devant nous, c’est ce qu’il me plait de croire. Nous sommes innocents et ne méritons pas de finir la face dans la boue et le torse criblé. Non ! nous ne le méritons pas ! Je rejette aussi l’idée d’ôter la vie à des hommes, nos présumés

« L’idiosyncrasie des décadents, avec l’intention cachée de se venger de la vie-et cela, avec succès ». Mensonge, rancune de l’impuissance vs la vie et la réalité, ressentiment vs la nature que l’on préfère condamner et calomnier plutôt que d’avoir le courage et la force de l’affronter, la morale ne serait-elle pas , énorme paradoxe, une, une de formes du m mal , voire le mal morale par excellence ; hypocrisie ? Le jugement, le conformisme, l’obligation et le devoir Faut-il pr autant se dispenser

ECRITURE PERSONELLE Le risque est un danger plus ou moins prévisible, la perception du danger est propre à chacun mais comment est perçu celui qui prend des risques dans la vie ? Tout les actes de la vie comporte un risque plus ou moins mesuré le simple fait de sortir dehors comporte un risque de se faire renverser, de tomber, de se blesser. Les personnes qui ont constamment peur du danger ne vivent pas mais survivent dans un monde ou le risque est de plus en plus présent. Comme dirait Amélie

valeurs guerrières. Le sport est en effet basé sur l’esprit de compétition et de domination. Comme à la guerre, il faut qu’il y ait un vainqueur et un vaincu. Pour cela, on demande au sportif de montrer sa force et de faire preuve de bravoure, de courage et d’endurance. Ainsi en exaltant la virilité, voire l’agressivité, le sport déclenche parfois des manifestations de violence comparables à des scènes de guerre comme en témoigne le phénomène du houliganisme. Néanmoins si le sport peut apparaître

à l’avant-dernier acte du Cid, à un moment où Rodrigue – qui vaudra à son courage contre les Maures son surnom de Cid, ainsi que le pardon du roi pour le duel qui l’a opposé au père de Chimène, c’est-à-dire que la péripétie que constitue l’épisode de la bataille contre les Maures rend possible le dénouement heureux (le mariage de Chimène et de Rodrigue) de la pièce – raconte cette bataille contre les Maures qu’il vient de livrer et durant laquelle il s’est montré héroïque. Les règles de bienséance

qu'elle est déterminée par les circonstances (peur, intérêt, désir et même sentiment) est un produit de la nature, sans valeur propre, valeur d'occasion seulement. Ce qui vaut c'est une action libre, entendez qui a pour fin la liberté même Exemple : courage, tempérance, justice, sagesse sont des variétés de la Force d'Âme, laquelle vaut par elle-même. Ainsi le seul devoir est d'être libre. La première faute, et la faute des fautes, est de nier que l'on soit libre (qu'y puis-je ?). Une faute est ainsi

son aspect répugnant, « écailles jaunissantes » vers21, « replis tortueux » vers 23 ou encore « front large » vers 20, créé une description du cracken des plus horrible. Jean Racine insiste donc sur l’aspect physique de cette bête pour montré le courage dont fait preuve Hippolyte en allant affronter se monstre. Par ailleurs, ce dernier le compare à un « taureau » vers 22, ce qui rappel en effet le minotaure vaincu auparavant par Thésée, l’auteur fait donc un rapprochement entre le père et son fils

Le roman d’Eneas, Traduction : La demoiselle qui avait pour nom Camille était extrêmement belle et avait une force extraordinaire, aucune femme ne rivalisait de savoir avec elle. Elle était très courtoise, vaillante et sage et avait en tous points de grandes qualités seigneuriales. Elle régnait merveilleusement sur sa terre et était rompue depuis toujours à l’art de la guerre, elle aimait beaucoup la chevalerie qu’elle pratiqua toute sa vie durant. Preuz origine: issu du latin tardif

passion? Mais Rousseau envisage la coexistence de plusieurs passions. Faut-il définir la passion par son ardeur, par la force considérable qu'elle déploie ? Mais toute intensité de la volonté est-elle de l'ordre de la passion ? La détermination, le courage, la force de caractère, sont-ils du même ordre que la passion? En outre, la notion de passion intervient dans un certain nombre d'opposition : passion-action ; passion-raison. Ces oppositions se superposent-elles? Que signifie, de plus, le mot raison