Eluard Courage

Quelle est la fonction des 7 monologues dans L'illusion comique de Corneille? Le corpus presente six monologues repartis tout au long des actes de la piece de theatre ecrite par Corneille, L'illusion Comique (1635). Ce corpus est donc formee du monologue de Geronte de l'acte III scene 2, du monologue de Lyse de l'acte III scene 6 ,du monologue de Matamore de l'acte III scene 7, du monologue d'Isabelle de l'acte IV scene 1 , du monologue

“Serai-je jamais capable d'écrire quelque chose de grand.” “Je ne veux pas, comme la plupart des gens, avoir vécu pour rien je veux continuer à vivre, même après ma mort…” “Pense à toutes les merveilles qui t’entourent et sois heureux.” “Le courage et la joie sont deux facteurs vitaux”. “Je n’ose plus rien faire, j’ai peur que ce soit interdit.” “Je vois comment le monde se transforme lentement en un désert, j'entends plus fort, toujours plus fort, le grondement de tonnerre qui approche

une décision dans une situation difficile. Ce qui est assez évident au cas de Charles vu son caractère passif se montre plus sublime avec Léon et Rodolphe : à un certain moment les deux voulaient rompre leur affaire avec Emma, mais aucun n’a eu le courage de le faire dans une conversation en quatre yeux. Ils ont prolongé les engagements comme des opportunistes, profitant des rencontres avec une belle femme. Rodolphe s’est finalement décidé de lui envoyer une lettre après avoir fui sans dire un mot

En grec, le mot héro signifie le fils de Dieu. Un héro se distingue par son courage, son intelligence, sa sagesse, sa force. Il réussit tout ce qu’il entreprend. Le héro défend les valeurs aux quelles il croit. Dans ce corpus quatre documents nous sont présentés, dont trois textes. Le premier est écrit par Victor Hugo « La mort de Gavroche » en 1862 issu d’un mouvement romantique. Le second date de la fin de la première guerre mondiale, il s’agit de « Voyage au bout de la nuit » et enfin le

démesure de nos passions. On doit laisser aller nos passions car elles font notre singularité, notre individualité. En les laissant libres, on crée notre propre individualité. Lutter contre nos passions c’est aller contre la nature. Il faut mettre le courage et l’intelligence au service des passions. Cet idéal de vie nécessite des capacités, des qualités individuelles. Le désir est ce qui met l'homme en mouvement. Il est comme une force qui fait agir les individus. C'est donc aussi, une recherche, une

Écrit d'invention : Done Elvire se livre à la défense du mariage. Done Elvire: «  Comment Don Juan, qu'ai je ouï de la bouche de Gusman, mon fidèle écuyer, vous auriez promis le mariage non pas à une mais à deux paysannes?Cela ne peut être! On ne peut épouser deux femmes à la fois! Une épouse est déjà trop pour vous si j'en crois votre départ! Vous m'abandonnez et sitôt vous vous engagez précipitamment auprès d'autres belles! Vous rompez des vœux que vous aviez formulés à mon égard, vous vous

comme dans le film de John G. Alvildsen. « Rocky Balboa » la prise de conscience du dépassement de soi ne s'apprend elle se vit. L'expérience que J. Krakauer a vécu est l'exemple mais cet effort progressif et passe par des stades la peur, puis le courage l'envahit, il grimpe et découvrir un paysage magnifique. il opposera souffrance à plaisir et déclare même avoir oublié sa peur. De même pour H. Murakami pour sa part courir 100 kilomètres en une journée et assouvir là une de ses passions. Courir

de changer de domicile4. Cette partie de la population est alors très peu représentée dans la littérature, ou seulement de manière idéalisée. Zola souhaite décrire les choses telles qu’elles sont. Ainsi, il affirme que « Ce serait faire preuve de courage que de dire la vérité et de réclamer, par l’exposition franche des faits, de l’air, de la lumière et de l’instruction pour les basses classes ». Son projet se révèle donc selon lui la « peinture d’un ménage d’ouvriers à notre époque. Drame intime

sont faites par les hommes, pour les hommes. Les femmes mariées au XIXème siècle n’avaient aucune liberté, aucun droit contrairement aux hommes. Elles leur devaient obéissance et soumission. En revanche, certaines femmes comme Indiana ont eu le courage de choisir leur vie, une autre destinée que celle définie par la société. Le livre Indiana défend la cause des femmes, principal sujet du livre, car George Sand décrit dans ce roman les conditions de vie d’une jeune femme mariée à un vieillard

connaissances » l.19, « s’il y en avait d’assez téméraires » l.23, « A d’autres », l.24 et 26, « D’autres » l.25, « Les uns » l.28, 32, 36, « D’autres » l.29, 30, 31, 32,33, « les autres » l.34, 36.  Termes qui permettent d’insister sur le nombre, donc sur le courage et la vaillance du moine. Le texte insiste également sur la force du moine : « du bâton de la croix, il donna si brusquement » l.3-4, « il les chargea donc si rudement » l.7, « il démontrait là la force de ses muscles » l.22  PARTIE II : Scène