Eluard Courage

En lisant un peu sur les opinions des critiques sur Antigone d’Anouilh, on s’aperçoit que les critiques sont partagées à savoir si Antigone est une héroïne ou non. D’un côté, les critiques voient Antigone comme étant héroïque et de l’autre, qu’elle n’est qu’une lâche. Pour cette dissertation, je dirai pourquoi Antigone peut être vue comme héroïque, puis je montrerai le contraire. Enfin, je donnerai mon opinion. Avant de commencer à décortiquer Antigone et de déterminer si elle a joué un rôle héroïque

ses écrits pensés le sont aussi. CHAPITRE XI Des pronostications Montaigne évoque les règles s’appliquant aux batailles. La victoire dépend des forces et de l’importance de la personne qui envoie les troupes. Il explique que la vaillance (le courage, l’estime, voire l’obstination) de certains, fait qu’ils ne tiennent pas toujours compte de ces règles et finissent par mourir. CHAPITRE XV De la punition de la couardise L’auteur s’intéresse aux prédictions. Il affirme que les oracles et autres

est une personne possédant un pouvoir surnaturel, un personnage qui réussit à vaincre toute ses peurs, toutes ses angoisses, ses problèmes sans aucune difficulté. Le propre du héros, c’est d’être doué d’une force physique hors du commun, et d’un courage à toute épreuve. Il s’agit d’un être volontaire et courageux ayant la volonté de réussir à se surpasser tel que Ulysse (L‘Odyssée d‘Homère) qui présente des caractéristiques hors du commun; il quitte son Royaume, sa femme, et son fils pour se rendre

LE SUJET 5) Le désir * Repères : Idéal / Réel. Cause / Fin. Médiat / Immédiat. Objectif / Subjectif. IDÉAL / RÉEL : idéal c'est ce qui devrait être, ce qu'on souhaite voir exister. Il exprime un guide pour le réel. Réel c'est ce qui est, ce qui existe effectivement. Il exprime une perfection de l'imagination ou de la raison. Pour Spinoza la perfection c'est pas dans l'idéal mais dans le réel. L'idéalisme a pourtant ses torts puisqu'il conduit à des utopies. CAUSE / FIN : MÉDIAT / IMMÉDIAT

situe son roman, la ville est ravagée par la peste. Au début les rats, morts, ont envahi la ville puis le nombre de morts humains augmente énormément. AlbertCamus décrit les différents comportements des habitants, ces derniers réagissent soit avec courage soit avec lâcheté selon leurs degrés d’égoïsme : Rambert souhaite s’évader de cette « cité pestiférée », ou de générosité : Grand qui occupe toujours ses temps libres à travailler à l’hôpital. Les protagonistes sont décrits de manière objective et

dans plusieurs domaines, avoir une réaction différente de celle qu’ils auraient pu avoir. De plus, La personne que chacun de nous voudrait devenir existe, quelque part au-delà d'une montagne d'effort, de foi et de confiance. Encore faut-il avoir le courage d'affronter la tristesse et la peur de l'inconnu, pour enfin pouvoir atteindre son but est avoir un sentiment de satisfaction. Dans ce commentaire nous avons étudié les principes qu’avait le sport en équipe, c’est qu’il efface toutes différences

tragique, pathétique Roman : sorti sans auteur car une femme ne pouvait pas assumer ecrit frictionels, initialement intitulé «  prince de clève » Recit : personnage son le reflet de l'époque ( femme :vertu (force de caractère) gloire); ( homme : courage moral physique, maitrise d eson corp + esprit), société fondée sur le regard . Extrait 1 « Première rencontre » « Il parut alors une beauté à la cour, qui attira les yeux de tout le monde, et l'on doit croire que c'était une beauté parfaite

une fille au regard vide, aux sourires forcés, et au cœur déchiré ? Pourquoi ne suis-je plus moi, juste l’ombre de moi-même ? Ah oui c’est vrai, parce que je l’aime et lui non. ~ Il y a tes yeux qui me tuent, quand tu me dis que c’est fini. ~ Le courage ce n’est pas l’absence de peur mais plutôt la conviction que la peur n’est pas le plus important. ~ La chose la plus difficile dans ce monde, c’est d’y vivre. ~ J’ose à peine parler de notre bonheur à haute voix car la vie se rend compte de ce

compréhension, l’estime et la confiance mutuelles, elle permet tes échanges humains les plus élevés. Pour que cette amitié soit authentique, l’homme doit vivre selon les principes du BUSHIDO. A un degré suffisant, il doit posséder : rectitude, courage, bonté, politesse, véracité, sincérité, loyauté, désintéressement, détachement, sens de l’honneur, fidélité, modestie, respect, contrôle de soi. Toutes ces facultés se conditionnent et se renforcent mutuellement. Il n’est pas possible de concevoir

sur sa moralité qui n’est décidément qu’une façade, quand il dit « il n’y a pas de mal », le mal ne serait pas le péché ou l’impiété mais son caractère visible et ostentatoire. Il fait contrepoint avec son maître et le valorise, car il n’a pas le courage de Dom Juan et sa piété est une forme de lâcheté, il s’accommoderait sans problème avec des compromissions pas trop voyantes pour son plaisir mais ne peut se décider à une forme de rébellion ostentatoire de crainte du « Ciel », de l’ « Enfer » ou