Eloge Paradoxal De La Colere

Nouveau Monde (= signe de barbarie). Montaigne relativise, et fait l'éloge de ces « sauvages ». ➊ Genre et registres Genre* : Essai. Registre* : argumentatif, et même polémique (contre les xénophobes et les « racistes »). + registre épidictique : éloge de ces prétendus « sauvages ». ➋ L'énonciation Qui parle ? À qui ? – C'est Michel de Montaigne lui-même, l'auteur, qui essaie de nous convaincre. En faisant quoi (actes de parole) ? – Il argumente pour nous convaincre d'un paradoxe*. ➌ La démarche

d’ecclésiastiques, des spécialistes de l’écriture sérieuse qui, en cette occasion, délirent et organisent la parodie du monde sérieux. Des intellectuels qui « déconnent » (cf les « conards de Rouen »). + réhabilitation par les humanistes du « rire » (cf Erasme, Eloge de la folie). -Or, un des personnages préférés de la littérature populaire du carnaval, c’est le « géant », dont le gigantisme permet de jouer avec l’ordre « normal » du monde. Les récits de géant se présentent comme des parodies des genres sérieux

plus de toutes ses qualités, une valeur rare et inestimable dans ce monde de libertinage : la vertu d’une honnête femme qui est de« s'attacher à ce qui seul peut faire le bonheur d'une femme, qui est d'aimer son mari et d'en être aimée ». Singulier éloge du mariage « d’inclination » en un siècle où le mariage d’intérêt est la règle ! Mais pour atteindre ce bonheur, il ne suffit pas de se prémunir du mensonge des hommes, il convient tant «  il était difficile de conserver cette vertu » de se préserver

interjection pathétique : hélas - subversion ironique des images mythologiques d'Ulysse et Jason : Du B. ne retient que leur retour alors qu'ils incarnent l'épopée, l'aventure. > la nostalgie domine/ contamine ses reprèsentations. II) Un poème entre éloge et blâme 1) La figure structurante de la comparaison - comparaison initial au débat dans quatrain 1 qui est une comparaison traditionnelle avec l'outil comme, du Bellay introduit déjà les figures mythologiques - comparaison dans Tercet 1 et 2 >

ridiculiser Chiasme : croisement de deux symétries faites dans sens inverse : il faut manger pour vivre et vivre pour manger Comparaison : figure qui rapproche deux idées Diérèse : compter deux syllabes avec deux voyelles consécutives qui comptent pour une Eloge ; discours à la louange d’un homme, d’une idée, d’un ordre … etc. Enumération : juxtaposition de différents éléments d’un ensemble Epique : caractère d’aventure d’un héros et de faits extraordinaires Euphémisme : adoucissement d’une idée déplaisante

argumentation, Cicéron cherchera surtout à susciter la haine de Clodius. Si Cicéron cherche surtout à susciter indignation et pitié, ainsi que haine, cela n’empêche pas que dans certaines séquences il cherche plutôt à susciter de façon passagère la colère ou encore la crainte, comme nous le verrons. • Quant au logos, aux arguments, ils sont nombreux, et nous les étudierons au fur et à mesure ; nous verrons à quels lieux communs et à quels arguments spécifiques ils correspondent. Toutefois tout

de son auditoire : « Je suis demeuré à la tête d’un pays sous l’occupation. Voudra-t-on comprendre la difficulté de gouverner dans de telles conditions ? ». Il qualifie les allemands du terme fortement dépréciatif « ennemi » ce qui pourrait être paradoxal. En effet, il a lui-même lancé une politique de collaboration avec le pays sur le plan économique et militaire, collaboration par ailleurs symbolisée par la poignée de

contrairement à la traitrise qui porte davantage sur un acte ponctuel DG revient sur sa réaction afin d'émouvoir ses auditeurs mais aussi pour se disculper. Conclusion partielle et transition : ainsi la pétrification du début de l'extrait évolue en une colère exprimée avec violence qui contraste, avec l'échange passionnée dans la suite immédiate du texte. 2e mouvement : I.4 à 8, l'échange passionné l.4 : le discours de DG produit une réaction pathétique chez Manon (<< larmes>>). Le discours

s'écoutent pas· La ponctuation expressive et les phrases courtes → nous plongent dans une réalité prosaïque, en effet l’on sort de la forme traditionnelle poétique pour nous représenter une réalité prosaïque avec des points d’exclamation pour exprimer la colère.· “il” → femme meprisante, elle l’acuse d’ivrognerie, d‘un manque de resposabilite et de gain · “Ta” rejet de la faute sur la femme, il l’accuse de prostitution, d’une mauvaise education envers son fils et de tromperie· De “Va boire” a “Et toi tous

qui lui a fait la cour, elle est troublée. Les deux jeunes gens se font comprendre l'un à l'autre leurs véritables sentiments, en usant un langage à double sens, devant un Harpagon qui a du mal à saisir ces échanges codés. Mais Harpagon explose de colère lorsque Cléante lui ôte du doigt une bague de diamant pour l'offrir en son nom à Mariane. On annonce alors la visite d'une personne qui apporte à Harpagon de l’argent. L'avare s'empresse d'aller l’accueillir. ACTE IV Cléante et Mariane demandent