Eloge Paradoxal D Une Mouche

cuire à point, Et de rendre au centuple à la grande nature Tout ce qu'ensemble elle avait joint ; Et le ciel regardait la carcasse superbe Comme une fleur s'épanouir. La puanteur était si forte, que sur l'herbe Vous crûtes vous évanouir. Les mouches bourdonnaient sur ce ventre putride, D'où sortaient de noirs bataillons De larves, qui coulaient comme un épais liquide Le long de ces vivants haillons. Tout cela descendait, montait comme une vague, Ou s'élançait en pétillant ; On eût dit que

pentasyllabes . Nous nous demanderons en quoi Jean Duval a partir du portrait qui lui est peint permet a l'auteur d'atteindre l'idéal ? Cette analyse se fera autour de 3 mouvements : d'abord nous verrons que le poète effectue un éloge autour de Jean Duval permettant a l'auteur de rêver puis que Jean Duval est une femme ambivalent pour au final voir la fusion des corps vers l'idéal .Le poète s'adresse a quelqu'un = intimité ; amour illimité avec que aimer + tournure hyperbollique

pour voir si il y a des blessé, le succes des émissions de télé comme enquete criminelle sur des affaires criminelles réels, la fascination scandaleuse mais réelle pour la décapitation et le supplice » Le mal a tendance à nous attirer (comme des mouches :p) (sang, spectale d’horreur) Saint augustin raconte comme un de ses amis a trouvé le moyen d’aller à un spectacle de gladiateur contre lui, il a gardé les yeux fermé mais à un moment il n’a pas put se retenir le regarder la scène et n’a plus fermé

ce qui montre sa grande maîtrise de l’art poétique. Opposition entre modernité du poème et classicisme de la forme Problématique : Comment Baudelaire arrive-t-il à extraire la beauté de la laideur ? Mouvements 1 str 1 à 4 : une promenade paradoxale 2 str 5 à 9 : Une vision onirique 3 str 10 à 12 : apologue V1v2v3 : « Rappelez-vous » = évocation d’un souvenir, logiquement agréable , « Mon âme » = apostrophe = interruption du discours pour s’adresser à qqn ou vocatif = s’adresse à l’être

Spleen et Idéal » et interroge les origines morales de la Beauté. Il rappelle ainsi le projet esthétique des Fleurs du Mal en explorant les limites esthétiques du mal. A DIRE ABSOLUMENT !!! Ce poème structuré en sept quatrains est construit comme un éloge adressé à la Beauté. Mais progressivement, l’allégorie de la Beauté révèle toute la monstruosité de ses pouvoirs. Comment le poète fait-il l’éloge amoureux d’une Beauté toute puissante et monstrueuse ? JE VAIS PROCEDER A LA LECTURE DU TEXTE En étudiant

une jeune métisse qu'il surnomme sa Vénus noire. Le Serpent qui danse évoque l'amour charnel et passionnel entre Jeanne et le poète. C'est un poème hétérométrique composé de 9 quatrains dont le lyrisme est teinté d'un certain érotisme. Analyse : I. Éloge d'une femme aimée qui invite à la rêverie A. Une déclaration d'amour 1. L'énonciation (qui parle à qui) Dans le poème, le «je» s'adresse à un «tu». Le « je » est le poète et le « tu » est Jeanne Duval, Charles Baudelaire s'adresse donc directement

des « ornements », l’« abondance ». Le bonheur est ici collectif beaucoup plus qu’individuel. Voltaire recourt au procédé de l’opposition : pour faire l’éloge de son « siècle de fer » et de son « abondance », il commence par faire le blâme – paradoxal au regard de toute la tradition littéraire – de « l’âge d’or » des origines de l’humanité et de son dénuement (à la « source féconde », au « luxe », aux « plaisirs » s’opposent « l’ignorance » et la pauvreté : « ils n’avaient rien »). Face à la

qu’il est plus commun et plus familier27 ? Déjà la Rhétorique d’Aristote28 rapprochait la fable de la parabole socra- tique en citant deux récits que La Fontaine a repris dans « Le Cheval s’étant voulu venger du Cerf » (IV, 13) et « Le Renard, les Mouches et le Hérisson » (XII, 13). Ces genres didactiques, qui commencent par poser un sens littéral obscur pour dévoiler ensuite un sens figuré après une explication qui est aussi une application, fonctionnent de la même façon que l’emblème où une âme vient

de rendre au centuple à la grande Nature Tout ce qu'ensemble elle avait joint ; Et le ciel regardait la carcasse superbe Comme une fleur s'épanouir. La puanteur était si forte, que sur l'herbe Vous crûtes vous évanouir. Les mouches bourdonnaient sur ce ventre putride3, D'où sortaient de noirs bataillons De larves, qui coulaient comme un épais liquide Le long de ces vivants haillons. Tout cela descendait, montait comme une vague, Ou s'élançait en pétillant

cailloux »→ Focalisation sur l’objet de la description du poème→ Douceur ≠ Horreur- Allitération en [m] :→ Dimension un peu ridicule2ème quatrain :- Comparaison : « Comme une femme lubrique »→ La sensualité est associée au dégoût, ce qui est très paradoxal.→ Association amour charnel/décomposition→ Corps mort/vivant, animé de désirs- Dégouter le lecteur : « suant les poisons » / « exhalaisons »→ Insister sur l’odeur pestilentielle/méphitique- Utilisation de l’imparfait→ Description3ème quatrain :-